À peine rentrés, les cadres sont déjà stressés !

À peine rentrés, les cadres sont déjà stressés !

Selon une enquête effectuée en ligne auprès des candidats inscrits sur les sites cadreo et RegionsJob, totalisant les réponses de 636 cadres français actuellement en poste ou en recherche d’emploi, 94 % des cadres sont stressés par leur travail.

La source de stress que les cadres citent en premier tous sexes confondus, est la charge de travail. Mais pour les femmes cadres, la seconde source de stress est aussi liée au rythme, et à la difficulté de tenir les délais. Elles sont aussi plus nombreuses que les hommes à citer la charge de travail comme source de stress principale. De leur côté, les hommes sont plus préoccupés par les relations avec la hiérarchie.

Pour consulter l’étude : https://www.cadreo.com/actualites/dt-cadres-travail-vacances

« Et la confiance, bordel ? » ou comment faire le pari de la confiance en entreprise

Stress, absentéisme, burn-out, désengagement des cadres : que s’est-il passé dans les entreprises depuis 30 ans ? À la base de tout cela, un déficit de confiance.

Il y a là un enjeu crucial, au-delà même du bien-être de chacun. Car ce manque de confiance nuit dramatiquement à l’efficacité du travail et à la compétitivité des entreprises. Cet ouvrage explore les racines de ce « mal français » qu’est la défiance, ses différentes déclinaisons dans l’entreprise et ses conséquences concrètes sur son fonctionnement. Surtout, il donne les clés pour penser autrement notre vivre-ensemble, de la transformation du management et du dialogue social à la recherche de projets fédérateurs, de la refondation du système scolaire à l’intégration des nouvelles générations.

Croisant les regards d’une trentaine d’auteurs – sociologues, économistes, psychiatre, dirigeants d’entreprise, DRH, consultants en organisation, avocats, syndicaliste, etc. –, cet ouvrage propose un nouveau rapport au travail, un autre mode de fonctionnement qui demande à chacun de faire le pari de la confiance.

Le livre « Et la confiance, bordel ? » a été réalisé sous la direction conjointe de L’Institut Montaigne et de Financi’Elles. L’Institut Montaigne est un think tank indépendant élaborant des propositions concrètes dans les domaines de l’action publique, de la cohésion sociale, de la compétitivité et des finances publiques. Financi’Elles est la fédération des réseaux de femmes cadres du secteur de la banque, de la finance et de l’assurance dont l’objectif est de contribuer à accélérer l’agenda de la mixité et d’améliorer l’accès des femmes aux sommets des organisations du secteur de la finance.

https://www.dailymotion.com/video/x20zq1d_et-la-confiance-bordel-par-clara-gaymard_news

Sur le Web, éphémère rime avec délétère

Les chercheurs de Blue Coat (www.bluecoat.com) ont analysé plus de 660 millions noms de serveurs uniques ayant fait l’objet de requêtes de la part de 75 millions d’utilisateurs dans le monde sur une période de 90 jours. Ils ont découvert que 71 % de ces serveurs, soit 470 millions, étaient en réalité des « merveilles éphémères », des sites n’existant que pour un jour.

Bien que la majorité de ces merveilles éphémères « One-Day Wonders » soit essentielles au partage et à la diffusion de contenu sur Internet, leur quantité phénoménale sert également de couverture aux activités malveillantes, y compris à des communications vers des systèmes infectés. Le rapport « Merveilles éphémères : comment du code malveillant se dissimule derrière des sites Internet temporaires » détaille la nature et les activités de ces adresses apparaissant et disparaissant rapidement du Web, permettant ainsi de mieux comprendre les problématiques de sécurité qu’ils représentent pour les entreprises.

« Bien que la plupart de ces sites éphémères soient inoffensifs et indispensables à des activités légitimes sur Internet, leur quantité faramineuse crée un environnement parfait pour des activités malveillantes, » explique Tim van der Horst, chercheur en chef spécialisé dans les menaces chez Blue Coat Systems. « La création et la suppression rapides de nouveaux sites inconnus déstabilise beaucoup de systèmes de sécurité actuels. Il est essentiel de comprendre ce que sont ces sites et comment ils sont utilisés afin de mieux assurer la sécurité des systèmes d’information. »

Les cybercriminels apprécient particulièrement les sites éphémères car les domaines dynamiques sont plus difficiles à bloquer pour les solutions de sécurité que les domaines statiques. Ils submergent les solutions de sécurité en générant un volume de domaines important, les cybercriminels augmentent ainsi leurs chances de passer au travers des systèmes de sécurité.

En associant les sites éphémères au chiffrement et à l’exécution de code malveillant entrant ou au vol de données sortantes sécurisées à l’aide du protocole SSL, les cybercriminels peuvent rendre leurs attaques invisibles.