Solutions RH & E-Learning Expo gagnent leurs lettres de noblesse dans la région Rhône Alpes

La 3ème EDITION RHÔNE ALPES DES SALONS SOLUTIONS RH & E-LEARNING EXPO A GAGNE SES LETTRES DE NOBLESSE DANS CETTE REGION :

– 1 368 VISITEURS PROFESSIONNELS
– 24 CONFERENCES ET 17 ATELIERS COMPTABILISANT 1 824 AUDITEURS

Avec 1 368 visiteurs et 1 824 entrées comptabilisées aux conférences et ateliers, la 3ème Edition Rhône Alpes des Salons Solutions RH (le Salon des outils et Services dédiés aux dirigeants d’entreprises, aux responsables des Ressources Humaines, de la Formation et des Systèmes d’Information), et eLearning Expo (le rendez-vous des entreprises et des fournisseurs de ce vaste ensemble de contenus, d’outils logiciels, de services et d’innovations) a, non seulement gagné ses
lettres de noblesse dans cette région, mais devient LA première manifestation professionnelle du Grand Sud-Est de la France et de la Suisse Francophone dans ces domaines.

Une journée et demie, pour un panorama complet des dernières tendances RH

Côté exposition :
Sur près de 80 stands d’exposition, 1 368 visiteurs professionnels – porteurs de projets – ont pu découvrir les solutions pour mettre en place, développer ou optimiser leurs ressources humaines.

La dynamique de cette manifestation : 24 conférences et 17 ateliers, dont la quasi totalité affichait complet, offraient la possibilité d’approfondir ses connaissances sur des sujets à orientation technique, stratégique, informative calés sur l’actualité du moment :1 824 entrées ont été comptabilisées


Source : https://www.salon-srh.com/

Contact : d.bertille@infoexpo.fr

Partenariat entre La Mache & L’ESDES

L’École La Mache et l’ESDES, Grande École de Management et de Commerce ont officialisé leurs relations privilégiées le 20 novembre, par la signature d’une convention de partenariat. Cette nouvelle collaboration permettra aux étudiants lyonnais de La Mache, de poursuivre une 5ème année en Commerce, afin d’obtenir, le grade tant convoité, de Master.

Le partenariat avec l’ESDES permettra désormais aux étudiants de La Mache, en formation de Chargé d’Affaires et Développement International (niveau II – BAC +4), de poursuivre une cinquième année de commerce en alternance et d’obtenir un Master en Management & Stratégie d’Entreprise, de Niveau I. Ce BAC+5 en commerce, possible grâce au partenariat avec l’ESDES, offrira une double compétence, technique et commerciale, aux étudiants.

L’ESDES, Grande École de commerce dépend de l’Université Catholique de Lyon. Elle forme des professionnels du management à un niveau Bac +5 et au grade de Master. L’ESDES dispense une formation généraliste et progressive qui donne à l’étudiant la capacité d’évoluer tout au long de son itinéraire professionnel. www.esdes.fr

L’École LA MACHE, située dans le 8ème arrondissement de Lyon, réunit plus de 1.000 élèves et étudiants autour de formations professionnelles, technologiques et supérieures, de la 3ème au Bac+5 dans les métiers de l’industrie, du BTP et des technologies nouvelles. L’École propose un système de formation au plus proche des entreprises au travers de nombreuses mise en situation réelle des élèves. www.ecolelamache.org

Les juristes d’entreprise sortent deux codes éthiques

Paradoxe d’une profession à l’activité parsemée de règles et de textes, il manquait encore aux juristes d’entreprise un document formalisant clairement leurs propres droits et engagements professionnels.

Lorsque le juriste disposait d’une déontologie, il s’agissait bien souvent de celle en vigueur dans son entreprise et non dans sa profession. Interrogés sur l’importance ou non de se doter de règles de conduite dans tous les aspects de leur métier, ils y étaient majoritairement favorables. Il ne restait plus qu’à formaliser ces points dans un document.

L’Association française des juristes d’entreprise (AFJE), en France et l’Association européenne des juristes d’entreprise (ECLA) en Europe, viennent de publier leurs codes de déontologie.

L’AFJE, qui représente plus d’un quart des juristes d’entreprise de France, disposait d’un code centré autour des six principes fondamentaux qui régissent la profession : indépendance intellectuelle, honneur et dignité, discrétion et confidentialité, discernement, diligence, loyauté, confraternité. L’Association a souhaité aller plus loin et le 3 avril dernier, elle a lancé une consultation publique auprès de ses membres, mais aussi auprès d’autres associations interprofessionnelles, comme le Medef ou l’AFEP, auprès des universités, et auprès des juristes en général et de tout tiers intéressé.

Cette consultation a été suivie par dix mois de travaux menés par le comité de déontologie de l’AFJE composé de Philippe Coen, Vice-Président et Président du Comité de Déontologie, Jean-Charles Savouré, Président d’Honneur, Véronique Chapuis-Thuault, Jean-Yves Trochon et Stéphanie Couture, administrateurs, sous la présidence de l’AFJE d’Hervé Delannoy.

L’ECLA a également de son côté produit un code de déontologie applicable à l’ensemble de ses 43.000 membres, soit les juristes d’entreprise composant vingt associations représentatives des juristes d’entreprise en Europe. Il comporte également dix articles touchant entre autre la définition de la profession, les devoirs, l’indépendance intellectuelle, les règles en cas de conflit d’intérêt, la confidentialité, les relations avec les tiers, la formation…

Une profession mobilisée pour faire avancer le droit

Alors que le projet de loi Macron sur les professions réglementées tend à établir le statut d’avocat en entreprise, ces deux codes sont des pas importants franchis par la profession dans son travail de promotion au sein des entreprises françaises, européennes et internationales. De nombreux chantiers restent à mener et c’est pour confronter tous les avis que Legal Suite, sensible à ces thèmes et fidèle aux valeurs qui ont présidé à sa création en 2000, a décidé d’organiser 9 décembre prochain, une matinée exceptionnelle, autour d’intervention d’experts reconnus sur les thèmes de la déontologie et de l’éthique en entreprise.

Stéphane Moinard, Directeur technique chez QualNet, présente l’hébergement avant que tout le monde n’arrive…

Ce matin, aucun rendez-vous dans mon agenda. Je ne me presse donc pas en arrivant au bureau et je soupçonne même Stéphane de prendre un certain plaisir à repousser notre #5MinutesAvant9h… Pas évident, il doit être partout en permanence (même si je sais, entre nous, qu’il adore ça…). Son statut de Directeur technique ne lui accorde pas énormément de temps. Alors attraper Stéphane lorsqu’on ne parle pas lignes de code, serveur ou SCRUM relève de l’exploit. Vous vous en doutez, je ne me fais pas prier lorsqu’il m’interpelle dans les couloirs « j’ai 15 minutes, c’est maintenant ! ». J’attrape au vol un café, mon ordinateur, me jette dans une chaise et c’est parti pour 15 minutes chrono … (et avec Stéphane, c’est toujours avec un grand plaisir…)

FP : Nous te connaissons déjà dans ton rôle de SCRUM MASTER mais ta mission première chez QualNet est celle de Directeur technique. Peux-tu nous en dire un peu plus à ce sujet ?

Stéphane Moinard : Effectivement, mon rôle n’est pas uniquement de jouer avec les post-it !
Ma mission de Directeur Technique est d’assurer avec la direction générale le bon développement des produits dans les règles de l’art. C’est le socle de ma mission.
Il est également de mon ressort de faire évoluer le produit d’un point de vue sécurité et stabilité.
Une autre mission qui anime mon quotidien, c’est de travailler avec le directeur produit pour imaginer l’avenir des solutions QualNet. Faire en sorte de détecter les nouvelles technologies que nous pouvons utiliser peut paraître simple, mais cela demande une veille quotidienne. Opter pour les meilleures solutions dans le seul et unique but que l’intégration soit toujours plus simple et les solutions toujours plus faciles à utiliser.
Les différents processus dont je suis responsable : technique, développement et intégration doivent travailler de concert. Alors une cohérence entre les trois processus s’impose !
Enfin, en termes de management, je dois m’assurer que mes équipes restent au fait des dernières technologies. Et là je me fais vraiment plaisir. J’adore les titiller régulièrement avec des choses nouvelles…

FP : QualNet propose un hébergement de nos solutions pour ses clients.
L’accroissement de la mobilité en entreprise est-elle à l’origine de ce nouveau service ?

SM : Cela fait déjà quelques années que je souhaite offrir à nos clients des solutions d’hébergement très complètes…
L’accroissement de la mobilité reste indéniablement une des premières raisons qui nous pousse à développer ce type de service. Il existe bel et bien un lien de cause à effet.
De nombreuses entreprises dont les équipes se déplacent énormément ont une problématique multi site. Celles-ci sont donc déjà prêtes dans leur démarche d’externalisation pour un certain nombre de leurs services ou encore à l’extension de leur SI sur des hébergements externalisés.

FP : En quelques mots « simples », peux-tu nous en dire un peu plus sur cet hébergement ?

SM : Notre offre d’hébergement est très claire. Les prestations que nous annonçons s’adaptent aux spécificités de chaque client. Elles respectent des contraintes que nous voulons élevées en termes de sécurité et de qualité de services gérés. Le tout par des équipes qui ont la même culture que nous. Cette dernière notion est particulièrement importante pour QualNet.

FP : Quels sont les principaux avantages de l’hébergement pour un client ?

 SM : Les avantages sont nombreux et pour donner les plus significatifs, en voici quelques-uns.

–  une rapidité de mise en œuvre
– une disponibilité d’accès aux applications proche de 100% (engagement de 99.9 %)
– une tranquillité d’esprit où QualNet s’occupe de tout pour le client (Dev/Prod, montées de version)
– des données sauvegardées qui restent en France au sein de data centers certifiés
– une administration et supervision par les meilleurs experts
– une accessibilité facilitée pour les nomades
– une transparence
– un coût maîtrisé et ajustable en fonction de l’usage (loyer mensuel)

FP : Et la sécurité des données ?

SM : Les accès aux applications peuvent être limités pour garantir la confidentialité et leur sécurité. L’hébergement que nous proposons est totalement verrouillé. Pour résumer : les données sont stockées et les accès sécurisés. D’ailleurs, les data centers peuvent être visités et audités par les clients (sur demande bien sûr)…

FP : 3 mots pour définir l’hébergement chez QualNet ?

SM : Sérénité, performance et adaptabilité.

Fanny Piederriere

Source : https://mag.qualnet.fr/stephane-moinard-directeur-technique-presente-lhebergement-monde-narrive/

Idex crée Multidex

Multidex propose des solutions globales afin d’optimiser les performances des installations techniques (multitechnique), offrir le meilleur service aux occupants (multiservice) tout en assurant le pilotage global des prestations  (Facilities Management). L’expertise ingénierie de Multidex permet également d’accompagner ses clients dans leurs démarches d’amélioration continue (plan de progrès, …), d’expertise énergétique (achat d’énergie, CPE, CEE,…), d’audit de conformité réglementaire, de certification HQE Exploitation/ISO 50001, de tri sélectif/valorisation des déchets.

Avec un chiffre d’affaires de près de 100 millions d’euros, 475 collaborateurs et 7 agences opérationnelles en Ile de France, Multidex peut en effet d’ores et déjà se targuer d’un savoir-faire étendu auprès de clients du tertiaire, de l’industrie, de la santé, de l’hôtellerie et des collectivités.

Et cette stratégie semble bien fonctionner puisque Multidex a dernièrement renouvelé plusieurs de ses contrats, notamment celui en FM du Ministère des Affaires Etrangères (9 sites en région parisienne) ou encore avec le groupe SAFRAN (4 sites SNECMA et 2 sites SAGEM). Le pôle d’activités a également récemment été choisi par Nexity Property Management (4 sites), l’hôpital Américain de Neuilly ou encore l’hôtel Plaza Athénée.

Le contrôle de gestion, outil de la stratégie

Une mutation profonde s’est opérée au cours des trente dernières années dans l’environnement et la pratique des entreprises, avec la déréglementation et la libéralisation des marchés d’une part, et le développement des nouvelles technologies de l’information et de la communication d’autre part.

Il en découle des marchés toujours plus vastes, des clients mieux informés et plus exigeants, une concurrence exacerbée, une incertitude latente. Ces risques économiques et opérationnels toujours plus élevés obligent maintenant l’entreprise à contrôler davantage les ressources et les résultats.

Pourquoi une fonction contrôle de gestion et comment la définir ? Quels sont les différents moyens de contrôle dans une entreprise ? À quel moment intervient le contrôle de gestion dans le pilotage stratégique et la prise de décision ? Quelle est la distinction entre contrôle de gestion et pilotage ? Quels sont les enjeux de la profession dans les années à venir ? …

Rédigé sous forme de plus de 200 questions-réponses simples et accessibles, ce guide pratique vous permettra de mettre en oeuvre votre propre stratégie de contrôle de gestion, quel que soit le secteur d’activité de votre entreprise.

Pour lire un extrait : https://www.la-librairie-rh.com/client/extraits/CGES.pdf

Le Contrôle de gestion, Marc Duménil, Editions Gereso, 161 pages, format 15 x 22 cm, 23 euros

Symposium Industrie le 16 octobre à Mitry : expérience réussie à renouveler !

Le jeudi 16 octobre dernier, Messer France – expert en gaz industriels et médicaux- et son fournisseur et partenaire Félix Informatique – expert en logiciels pour l’industrie – ont eu le plaisir d’accueillir une quinzaine d’acteurs du monde du laboratoire, du contrôle qualité et de l’instrumentation sur le site Messer de Mitry-Mory (77). Cela dans l’objectif de présenter de façon concrète des solutions informatiques de gestion d’appareils de mesure et de données d’analyse.

En premier temps, une présentation en salle par Gwendal Le Scouezec – Directeur Commercial Messer France – a permis aux participants de prendre rapidement la mesure des activités de Messer et plus particulièrement du site de Mitry-Mory.
En deuxième temps, Hervé Tardieu et Laurent Touboul de Félix Informatique nous ont fait découvrir les fonctionnalités et avantages des solutions qu’ils proposent et développent pour l’industrie :
– LUG : gestion des données d’analyse et contrôle
– DECA : identification et gestion d’un parc d’instruments de mesure
– LOGIFORM : gestion de la pesée et suivi d’un parc de balances

Ces logiciels sont entièrement configurables et permettent à Félix Informatique de développer des solutions sur mesure répondant parfaitement aux besoins des utilisateurs. Ils sont certifiés NF Logiciel et répondent aux normes de l’industrie pharmaceutique.

Sébastien Vannier, Responsable du laboratoire d’étalonnage de Messer France à Mitry-Mory, a appuyé leurs interventions et démonstrations par son témoignage d’utilisateur des solutions LUG et DECA depuis 12 ans. Il gère plusieurs centaines d’appareils d’analyse et plusieurs milliers de lots de production.

Sur un registre plus ludique, Elisabeth Rubin et sa fontaine à azote Deliza ont éveillé nos papilles par diverses spécialités, telles que du foie gras croûté au coulis de mangue par exemple… Pause déjeuners… Echanges et partages d’expériences puis, digestion oblige, nos invités équipés d’Equipements de Protection Individuelle ont visité le laboratoire et le site de production Messer.

La visite du laboratoire a permis d’appréhender de façon concrète l’utilisation des logiciels présentés dans un contexte opérationnel. Frédéric Sinamalé, Responsable du site de Mitry, a poursuivi la démarche en entrainant nos visiteurs vers les ateliers de production (conditionnement de gaz industriels comprimés, d’hélium liquide, technologies innovantes 300 bar…) puis vers le hall technologique. Là, y sont testées de nouvelles applications des gaz Messer notamment pour l’agroalimentaire et le traitement des eaux.

Plusieurs pilotes ont été présentés et expliqués :

– Extraction par CO2 supercritique : le solvant universel du futur sans nuisance pour notre santé et notre environnement ;
– Pelletisation (pour transformer des produits liquides en billes surgelées dans l’azote) et Atomisation au CO2 (qui permet de transformer des liquides gras en poudres fines) ;
– Cellules et tunnels de refroidissement, surgélation, croûteuses, barattes… Autant d’équipements de pointe utilisés pour la transformation par le froid intense de denrées alimentaires. L’azote et le CO2 permettent une surgélation dite « cryogénique » présentant de nombreux avantages : qualité (finesse des cristaux), flexibilité (mise en route et réglages ultra-rapides), faible coût à l’investissement et respect de l’environnement (bilan carbone favorable).
– Neutralisation de pH au CO2 (qui dans ce cas remplace des acides chimiques forts), Anesthésie des volailles ou autres animaux, une solution d’étourdissement plus douce que la classique électrocution avant les abattages.

La visite s’est alors terminée par des enquêtes de satisfaction : les résultats nous démontrent l’intérêt porté par nos visiteurs à ce symposium. Une première expérience réussie à renouveler ! Nous remercions nos visiteurs et collègues qui ont participé à l’événement.

Auteurs: Angélique RENIER, Responsable Communication Messer France, et Damien Chevallier, Chargé de missions Marketing Félix Informatique

Source : https://industrie.felix.fr

Risques professionnels, bien les gérer est un avantage concurrentiel

L’agence européenne pour la sécurité et santé au travail (EU-OSHA) vient de publier un recueil d’études de cas sur l’analyse coût-bénéfice des actions de prévention. Pour elle, le bilan est clair : investir dans la prévention des risques professionnels est rentable.

Les PME, dans l’UE, représentent à elles seules 67 % de l’emploi et 82 % des accidents du travail. Les inciter à prévenir les risques professionnels constitue donc un enjeu majeur, tant sur le plan humain que financier. L’EU-OSHA, à travers 13 études de cas, s’attache à démontrer aux PME qu’elles ont tout à gagner en investissant dans la prévention. Les secteurs couverts sont vastes : agriculture, boulangerie, travail du métal, revêtement de sol, construction, traitement des déchets…

Les PME observées n’étaient pas seulement motivées par le ROI pour mettre en œuvre des mesures de prévention ou des moyens de protection. La protection des salariés, de l’image de l’entreprise et la conformité réglementaire étaient leurs plus fortes motivations.

Un retour sur investissement positif en cinq années

Aux Pays-Bas, une PME, a pu faire baisser l’absentéisme lié aux TMS de 20%, en investissant dans un nouveau système de récolte et de traitement des concombres. Les arrêts de travail ont été réduits de 20 %. La productivité s’est accrue de 15% pour la cueillette et la qualité des concombres s’est améliorée. L’investissement a été rentabilisé sur quatre ans et l’entreprise a pu mieux se développer.

Autre exemple, des salariés d’une entreprise lituanienne de fabrication de meubles se plaignaient d’être exposés à la poussière, aux fumées et aux particules métalliques. L’entreprise a alors investi dans un système de filtration de l’air et dans de nouveaux équipements de protection individuelle (EPI). Le retour sur investissement a été positif en une année seulement : cette mesure considérée par les salariés comme une amélioration très significative, a permis à l’entreprise d’économiser sur les pièces détachées et les outils pour gagner au final, en productivité.

Les initiatives en faveur de la prévention des risques professionnels qui ont été le plus souvent mises en œuvre par les entreprises sont des systèmes de filtration ou d’assainissement de l’air mais aussi, des formations, des équipements pour porter les charges ou faciliter les tâches physiques, la mise en place de consignes et l’intervention d’un ergonome. Les mesures qui se sont avérées les plus profitables sont des mesures générales et déjà reconnues (ex : équipements pour porter les charges) plutôt que les actions destinées à protéger contre un risque spécifique à l’entreprise. Par ailleurs, l’implication des salariés dans les projets SST est déterminante pour leur succès.

 

Source : https://osha.europa.eu/fr

Le manager et la dynamique humaine du travail

Cinquième et dernier opus de la série « Manager mieux, Stressez moins » édité par Gereso, l’ouvrage « Le manager et la dynamique humaine du travail » de Claudine Blackburn et Sylvain Tétreault, nous invite à explorer les relations interpersonnelles et leurs dynamiques propres. Car un management réaliste doit s’appuyer sur une connaissance de l’humain en général et de son équipe en particulier.

Le livre donne une foule de conseils tous plus précieux les uns que les autres pour gérer les différentes personnalités qui composent une équipe, afin de mieux communiquer sur les changements organisationnels et d’anticiper pour mieux appréhender les risques psychosociaux.

Ainsi, dès l’introduction, le décor est planté : « l’Homme n’est pas un objet qui peut être asservi à la machine, à la technologie ou à l’entreprise elle-même, car il n’obéit pas aux mêmes règles. On ne peut attendre d’un employé qu’il soit motivé et fidèle à son entreprise quand la nature de son travail devient totalement dépersonnalisée, justifiée sur la base de données économiques et assujettie à une dynamique purement mécanique. » Et un peu plus loin, le propos se fait plus précis : « tant et aussi longtemps qu’on fera appel à des humains pour assurer le fonctionnement d’une entreprise, la compétence relationnelle des hommes et des femmes impliqués devrait avoir préséance sur le matériel et la technologie. »

S’il peut parfois déranger les adeptes d’une vision strictement hiérarchique passéiste et paternaliste des rapports sociaux au sein de l’entreprise, ce dernier ouvrage vient en point d’orgue, proposer une véritable dynamique pour que l’humain soit enfin une ressource dans l’entreprise du 21e siècle.

Indispensable !

Source : https://www.la-librairie-rh.com/management-et-leadership_8_le-manager-et-la-dynamique-humaine-du-trav