Résultats de l’étude de satisfaction des utilisateurs d’ERP réalisée par le CXP

En janvier 2014, le CXP, en partenariat avec ERP-INFOS, lançait une grande enquête de satisfaction auprès des utilisateurs français d’ERP. Cette enquête portait sur l’utilisation du logiciel mais aussi les services d’intégration, de maintenance, de formation, etc.

Des ERP qui vieillissent ou dont le coût total reste parfois une vague estimation au périmètre fluctuant. Les entreprises ne connaissent pas toujours le budget de leur installation… Le niveau de satisfaction des utilisateurs est en fonction des modules utilisés et l’ergonomie laisse le plus souvent à désirer… Résultat : les projets d’évolution sont nombreux. Tels sont les principaux résultats de l’étude de satisfaction* réalisée par le CXP, en partenariat avec erp-infos.com, auprès des utilisateurs français d’ERP. Cette deuxième édition, qui dépeint la réalité des ERP dans l’Hexagone a été présentée en amont des Salons Solutions organisés par Infopromotions Groupe Solutions et qui se dérouleront du 6 au 8 octobre, Porte de Versailles, à Paris.

Plus de la moitié des ERP (56 %) sont installés depuis plus de 5 ans (très proche des 54 % de l’an passé) et 28 % (contre 29 % l’an passé) le sont depuis plus de 10 ans. 17 % (contre 16 % l’an dernier) des installations datent de moins de deux ans. Le parc logiciel reste donc âgé, les évolutions, même si elles vont dans le bon sens, n’étant pas franchement significatives. Mais les installations sont plutôt à jour, car dans 60 % des cas, la dernière mise à jour date de moins d’un an. 

L’hébergement demeure très majoritairement on-premise (84 %), alors même qu’éditeurs, acteurs et médias font un battage colossal autour du cloud. Seules 12 % des installations résident sur des serveurs distants, en mode cloud, SaaS ou en hébergement dédié et 2 % des répondants ont adopté une solution hybride, consistant à déployer certains modules dans l’entreprise et à en externaliser d’autres. Dans deux tiers des cas, l’ERP est installé sur un site en France et dans 24 % des cas il l’est sur plusieurs sites. 

À la question « si votre système d’information venait à évoluer, quelles applications êtes-vous prêt à envisager en mode SaaS ? », 32 % répondent le CRM, 24 % la gestion commerciale et 22 % la comptabilité et les ressources humaines. Mais ils sont encore 33 % à estimer que toutes les applications doivent être déployées sur des serveurs au sein de l’entreprise (contre 25 % l’an passé). 

Les deux modules les plus installés sont les achats (74 %) et la gestion commerciale (71 %). Arrivent ensuite la GPAO (51 %), la comptabilité (47 %) et le CRM (30 %). Dans l’étude de l’an passé, si les achats étaient également en tête avec 73 %, la comptabilité (73 % également) devançait alors la gestion commerciale (67 %). 

Environ un tiers des répondants ne connaissent pas le coût total de leur projet ERP. Cependant, pour 19 % d’entre eux, ce coût a été compris entre 30 k€ et 100 k€. 15 % l’estiment entre 100 et 300 k€, 4 % entre 1 et 2,5 M€, 2 % entre 2,5 et 5 M€ et 2 % à plus de 5 M€. Ce coût est notamment lié au nombre de modules déployés, des chiffres cohérents avec la population étudiée. 

C’est dans les entreprises de moins de 200 salariés que le budget a été le plus respecté : 33 % contre 22 % pour les entreprises plus importantes, la moyenne s’établissant à 29 %, tout comme l’an passé. 

Cependant, dans un cas sur dix environ, le périmètre a évolué en cours de projet, faisant déraper le budget : 15 % des répondants estiment que leur budget a été dépassé de moins de 20 %, 8 % de 20 à 50 % et 4 % de plus de 50 %. Avec 43 % des répondants estimant que le budget initial a été respecté, les entreprises de services sont les meilleurs élèves. En queue de peloton, avec 15 %, on trouve les entreprises de négoce.

Ces dépassements ne sont pas forcément à attribuer aux développements spécifiques, qui dans deux tiers des cas demeurent inférieurs à 25 %. 11 % des répondants estiment néanmoins le poids des développements spécifiques dans leur entreprise à plus de 50 %. « Les développements spécifiques restent limités grâce aux versions verticales de plus en plus souvent proposées par les éditeurs et à la standardisation des processus« , commente Patrick Rahali, analyste ERP au CXP en charge de l’enquête. 

La satisfaction des utilisateurs est fonction des modules utilisés : c’est dans le domaine de la gestion commerciale que la valeur ajoutée est la plus forte, puisque c’est à la fois le module qui recueille le plus de réponses et de notes élevées. Suivent les achats, la gestion de production, la comptabilité/finances, la logistique, la qualité et la gestion de projets. 

Il était également demandé de noter différents critères relatifs à la solution logicielle sur une échelle de 0 à 10. Tout comme l’an passé, la fiabilité du progiciel arrive en tête, avec 7,01 (très similaire au 7,00 de la première édition) talonnée par la richesse fonctionnelle, à 6,7. La possibilité d’utiliser le progiciel en mobilité décroche 5,16, en légère hausse par rapport au 4,91 de l’an passé. La satisfaction globale s’établit à 6,35 (cf. schéma 2). 

L’ergonomie des logiciels laisse toujours à désirer pour la plupart des répondants, qui sont « tout juste satisfaits », comme le constate Patrick Rahali. En effet, de la facilité de prise en main aux temps de réponse en passant par la fluidité de la navigation ou la facilité à trouver une information, les notes attribuées oscillent toutes autour de 6,00. L’ergonomie, au global, obtient tout juste 6,25. 

Dans 69 % des cas, c’est l’éditeur lui-même qui a installé le logiciel, un taux encore en rapport avec la population des répondants, majoritairement issus de PME. Seuls 31 % ont fait appel à un intégrateur.

Une liste de points permettant d’évaluer l’intégrateur a été proposée, avec toujours une notation sur 10. C’est au niveau de maîtrise du logiciel par les consultants que la note est la plus forte (7,01), suivie de près par la connaissance du métier par les consultants, avec 6,74. En queue de peloton, avec 5,95, on trouve l’assurance qualité (en légère hausse, toutefois, par rapport aux 5,72 de l’an passé). 

Les autres possibilités de réponse, qui ont obtenu des notes intermédiaires, concernaient la méthodologie, la réactivité de l’intégrateur, le respect du cahier des charges lors de la mise en œuvre du logiciel, la capacité de l’intégrateur à s’adapter aux besoins de l’entreprise, la prise en compte des contraintes de l’entreprise et le suivi commercial. Mais, malgré leurs doléances, les trois quarts des répondants pensent faire appel au même intégrateur s’ils devaient refaire un achat. 

Une bonne chose : dans une liste d’affirmations concernant le logiciel et son fournisseur, celle qui recueille le plus de « tout à fait d’accord » est : « j’ai confiance en mon fournisseur » (24 %), suivie de « mon logiciel améliore la productivité des salariés de mon entreprise », puis « mon logiciel améliore la collaboration interne et externe ». Autrement dit, même si les entreprises n’ont pas forcément mis en place de KPI, elles estiment tirer des bénéfices de leur ERP. 

S’agissant de ROI, ils sont 24 % à attribuer un « Oui tout à fait » et 40 % à attribuer un « Oui un peu » au domaine de l’organisation de l’entreprise. Suivent la gestion des stocks, avec 20 % de « Oui tout à fait », la relation avec les tiers, avec 18 % et la satisfaction des clients, avec 16 %. En revanche, la baisse du budget informatique et la motivation des salariés de l’entreprise ne recueillent respectivement que 4 et 6 % de « Oui tout à fait ». Un peu plus d’un tiers des répondants (38 %) estiment que la contribution de l’ERP aux performances de l’entreprise a été forte ou très forte (cf. schéma 3).

Près de la moitié des répondants déclarent avoir des projets d’évolution dans les douze prochains mois, dont 23 % de manière certaine. Parmi ceux-ci, on trouve encore souvent un simple changement de version (50 % des 312 réponses concernées – il était possible d’apporter plusieurs réponses à la question). 60 % pensent faire évoluer leur solution en installant de nouveaux modules ou de nouvelles fonctionnalités et 24 % concernent des projets de BI. À noter que 14 % des répondants déclarent vouloir remplacer leur solution par un nouveau logiciel. La mobilité est citée par 20 % des 312 répondants concernés, les outils de planification, de simulation et d’analyse prédictive par 19 % et les outils collaboratifs par 18 %. 

Au bilan, les résultats de cette deuxième enquête, qui a porté sur un échantillon bien plus important que la première, viennent confirmer les éléments qui ressortaient déjà de l’étude de l’année dernière : parc logiciel ancien mais qui donne satisfaction, adoption des solutions SaaS/cloud en retrait par rapport à l’ensemble du marché, projets encore souvent en dépassement de budget, relation de confiance avec l’éditeur et même l’intégrateur. D’une année sur l’autre, les évolutions restent mineures même si imperceptiblement, le monde de l’ERP fait son chemin vers les outils modernes comme la mobilité, l’analyse prédictive ou le cloud. 

* L’enquête a été réalisée en ligne, via un questionnaire électronique disponible de décembre 2014 à février 2015. Plus de 1 000 réponses ont été acceptées et 757 validées. L’étude a ciblé les utilisateurs d’ERP en France, issus d’entreprises de toutes tailles et de tous secteurs d’activité, même si ce sont les PME et les ETI qui sont les plus représentées à travers les répondants. 
Deux répondants sur trois travaillent dans une entreprise de moins de 200 salariés. 16 % des répondants font partie d’entreprises de plus de 500 salariés. Dans 46 % des cas, le chiffre d’affaires de l’entreprise est inférieur à 10 M€ alors qu’il dépasse les 100 M€ dans 16 % des cas. 
Les secteurs d’activité sont assez bien répartis sur les 757 répondants mais, avec 15 % des répondants, le secteur de l’industrie ou des biens d’équipements industriels domine. 36 % des répondants sont des managers et 32 % des DSI ou des chefs de projet ; 6 répondants sur 10 sont des décideurs et 92 % ont participé au choix de l’ERP. Enfin, ils sont près de 90 % à être des utilisateurs quotidiens ou presque de leur ERP.

Plus d’informations sur l’enquête et le CXP

Vous souhaitez télécharger le rapport d’enquête ? Pour ce faire cliquez ici

Source : https://www.objectifsecuriteinformatique.com/quelle-est-la-realite-des-erp-en-france/

Résultats baromètre enjeux RSE

Pour la 3ème année consécutive, PRODURABLE, en partenariat avec l’ORSE et MALAKOFF MEDERIC, propose de suivre l’évolution de la place de la RSE dans les organisations et d’identifier leurs enjeux RSE en 2015.

En particulier cette année, le baromètre explore les actions et impacts en faveur du climat, dans le contexte annuel des débats de la COP 21 et du sommet de Davos. 

3e édition du barometre des enjeux RSE 2015 – avec la participation de Francois Fatoux, ORSE, Caire Tutenuit, EPE, Agnès Lancy, Malakoff Médéric 
Focus annuel : les entreprises et les solutions climat 
Pour 28% des entreprises, l’adaptation au climat est une priorité du top management

Pour consultez les résultats de l’étude cliquez ici

Source : https://www.produrable.com/

Chez 3M, l’éthique augmente la performance

Le groupe 3M vient d’être désigné parmi les 132 entreprises les plus éthiques au monde par l’Institut Ethisphere ; distinction qui lui est octroyée pour la seconde année consécutive. 

Présent dans plus de 70 pays à travers le Monde, le groupe qui compte 90 000 collaborateurs au total, réalise un chiffre d’affaires de 32 milliards de dollars.

L’Institut Ethisphere qui prend la forme d’une organisation indépendante, est aujourd’hui l’un des leaders mondiaux dans la définition et la promotion des standards éthiques des affaires qui nourrissent la culture d’entreprise, la confiance des marchés et le succès commercial.

L’Institut Ethisphere récompense le programme d’éthique et de conformité de 3M et son implantation réussie au sein d’entreprise partout dans le monde, permettant la création d’une véritable entreprise citoyenne ayant une conscience aigüe de sa responsabilité sociale.

« Les entreprises que nous distinguons au sein de notre classement font concorder conduite éthique des affaires et amélioration des performances », a déclaré Timothy Erblich, président-directeur général d’Ethisphere.

« Elles utilisent l’éthique comme un moyen de renforcer leur leadership sur leur secteur, et ont conscience que la mise en œuvre d’une culture de l’éthique et sa reconnaissance par Ethisphere demandent bien davantage qu’un simple affichage des valeurs. C’est l’action collective de l’ensemble des salariés à tous les niveaux qui permet d’obtenir cette reconnaissance. Nous félicitons tous les  salariés de 3M pour cette remarquable performance. »


Retrouvez l’intégralité de cet article dans les colonnes du magazine Qualité Références n°66

Source : https://www.qualite-references.com/

Fuites d’informations : un guide AFNOR pour les prévenir et s’en protéger

Ordinateur volé, document confidentiel oublié dans une salle d’attente, mot de passe piraté… pour aider les entreprises à prévenir et gérer une fuite d’informations, les professionnels de la sécurité informatique ont élaboré, avec AFNOR, un guide de bonnes pratiques d’application volontaire.

Un smartphone ou un écran d’ordinateur visible par tous, un mot de passe trop simple, une clé usb perdue, une discussion à caractère confidentielle tenue dans un lieu public, un salarié mal intentionné… autant d’exemples d’erreurs ou d’actes de malveillance conduisant à des fuites d’informations.
La prévention de la fuite d’informations est donc devenue une préoccupation majeure en matière de sécurité informatique. Avec un environnement informatique plus ouvert et en évolution permanente, les organisations doivent redoubler de vigilance pour protéger leurs données.
 
Comment s’organiser pour prévenir ces risques ? Quelles actions mettre en place ? Comment construire une politique de prévention des fuites d’informations – Data Leak Prevention (DLP) ?
 
Elaboré de manière collective au sein d’un groupe de travail* composé de représentants d’organismes institutionnels et juridiques et de sociétés utilisatrices, le guide de bonnes pratiques AFNOR, BP Z90-001, permet d’accompagner les organisations dans leur problématique de sécurité de l’information en leur proposant un ensemble de recommandations et de solutions techniques.
 
Ce document, fruit d’un consensus, couvre les aspects principaux de la prévention et de la gestion de ce type de crise : le facteur humain, les concepts et grands principes d’une mise en place d’une politique de DLP, les étapes de sa mise en œuvre, la gestion de la fuite… Ainsi, le guide invite les organisations à miser sur la formation du personnel pour le sensibiliser à la « discrétion professionnelle », à l’intérieur et à l’extérieur des locaux, quant aux informations données à des tiers non identifiés et habilités.
 
Il est également essentiel qu’elles identifient certains points cruciaux avant la mise en œuvre d’une politique DLP (Data Leak Prevention) : quels sont les types de fuites possibles ? Les vecteurs de fuite potentiels (personnel, réseaux et médias, smartphone, clé usb…) ? Les moyens et outils pouvant être utilisés (e-reputation, solution logicielle, cryptage…) ?
Le guide précise l’ensemble des étapes à suivre pour la mise en œuvre d’une politique DLP efficace (identification des données à risque, d’une équipe de projet dédiée, actions et procédures à déclencher, déploiement…) avant de détailler les axes d’une bonne gestion de la fuite d’informations.
 
Avec ce guide, les organisations de toutes tailles disposent d’un outil pratique, d’application volontaire, pour la mise en place d’actions efficaces que ce soit avant, pendant ou après une fuite d’informations.

* Les organisations impliquées dans l’élaboration du guide AFNOR BP  Z90-001 : 3M, Agence Leprivé & Stratég-IE ; BERSAY & Associés ;  Daphné Dailloux (juriste) ; DGA Défense ; EISTI (Mastère Intelligence  Economique) ; ID-LOGISM ; La Marine Nationale ; MIRCA ; SINDUP ; SNARP  France Détective ; SSL EUROPA ; SYMANTEC ; THALES.


Vous souhaitez commander le guide bonnes pratiques AFNOR BP Z90-001 « Prévention et gestion de la fuite d’informations – protection du patrimoine informationnel » ? Cliquez ici ou .

Source : https://www.afnor.org/profils/activite/tic/fuites-d-informations-un-guide-afnor-pour-les-prevenir-et-

Réussir dans un monde en mutation

La nouvelle édition revue et modernisée d’un livre qui s’est vendu  à plus de 20 millions d’exemplaires dans le monde arrive dans quelques jours… Mais qu’est-ce qu’un manager efficace ?

Dans cette allégorie, devenue l’un des grands classiques du management, les auteurs expliquent au lecteur qu’il s’agit non seulement d’accroître la productivité et les profits de son entité, mais aussi de contribuer à l’épanouissement des membres de son équipe. Cette quête initiatique du manager idéal ne manque pas d’interpeller par sa simplicité et sa limpidité. Elle propose au lecteur quelques principes élémentaires très précieux pour bien gérer les hommes.

Cette nouvelle édition introduit dans le conte une approche nouvelle, plus collaborative, plus motivante, adaptée au monde d’aujourd’hui.

Une lecture hautement recommandée pour tous les managers actuels et futurs, et qui constitue un excellent support de formation.

« Le nouveau manager minute », Ken Blanchard et Spencer Johnson, éditions Eyrolles, 128 pages, 17€


Intégrer l’ISO 45001

Publié aux éditions Afnor, ce livre de Jean-Marc Gey et Daniel Courdeau, permet au lecteur de disposer de tous les éléments nécessaires pour réussir la mise en place d’un système de management de la santé et de la sécurité au travail.

Avec cette nouvelle édition, le lecteur dispose de tous les éléments nécessaires pour réussir la mise en place d’un système de management de la santé et de la sécurité au travail et appréhender au mieux les exigences du futur référentiel ISO 45001.

Après un rappel des concepts, des principes généraux et des principaux référentiels des systèmes de management de la santé et de la sécurité au travail, les deux auteurs explicitent les exigences de l’OHSAS 18001.

Ils décrivent ensuite les étapes nécessaires à sa mise en œuvre et à son intégration dans un système Qualité Sécurité Environnement.

 

 

« Le management de la santé et de la sécurité au travail », Jean-Marc Gey et Daniel Courdeau, Editions Afnor, 272 pages, 30 euros


Source : https://www.boutique.afnor.org/livre/le-management-de-la-sante-et-de-la-securite-au-travail-maitriser

ISO 9001 et 14001, mobilisation sans précédent en France

A l’occasion de l’enquête publique réalisée en France, Afnor a recueilli plus de 2000 commentaires formulés par des utilisateurs de la norme ISO 9001 version 2015 et plus de 800 sur l’ISO 14001

Un taux de participation exceptionnel, jamais vu jusqu’à présent ; preuve que ces normes phare d’organisation, demeurent un socle essentiel pour le management des entreprises et que leurs nouvelles versions reflètent au mieux les bonnes pratiques de management.

Les réunions de dépouillement des commentaires achevées, on remarque que dans une large mesure les avis portaient sur le vocabulaire et les définitions. Citons par exemple le terme « risque » qui fait son apparition dans la révision 2015, les utilisateurs se sont largement exprimés sur la formation de nouveaux concepts, comme l’analyse du contexte de l’organisme et de ses parties intéressées pertinentes ou encore la disparition de certaines exigences. Notons que très peu de remarques portaient sur le fond de ce qui pouvait apparaitre comme de nouvelles exigences, elles demandaient surtout des précisions ou des éclaircissements.

Retrouvez le détail de cette analyse dans les colonnes du magazine Qualité Références n°66


Source : https://www.qualite-references.com/

L’ERP, coeur de gestion de l’entreprise !

200 EXPOSANTS, 6500 VISITEURS 

En 2014 ils ont été plus de 6 160 visiteurs professionnels à franchir les portes du CNIT à la rencontre des 250 sociétés exposantes pour y découvrir de nombreuses innovations présentées par les principaux acteurs.

3 208 auditeurs ont participé aux 83 conférences & ateliers. Cette forte fréquentation valide l’attractivité des grands sujets traités. Lieu d’échanges et de rencontres, le programme des conférences a permis aux auditeurs de trouver réponses à leurs besoins, et de mieux définir leurs projets.

En 2015, les Salons Solutions vous accueillent à Paris Expo, Porte de Versailles ! Dans un hall moderne, le pavillon 4, récemment conçu et construit pour cette activité spécifique, les Salons Solutions accueilleront ses visiteurs et ses exposants dans un surcroît de confort, gage d’une manifestation professionnelle réussie.

RDV les 6, 7 et 8 octobre 2015 à Paris Porte de Versailles et venez décourvrir les nouveautés et évolutions présentées sur le salon des progiciels de gestion intégrés pour les grandes entreprises et les PME-PMI

Source : https://www.salons-solutions.com/