Hymer : la norme EN 131 actualisée pour les échelles

Selon l’INRS, l’utilisation des échelles et escabeaux est, aujourd’hui, la 2ème cause de chutes graves dans le cadre du travail : plus de 18 % des chutes entraînant une incapacité permanente dans les accidents du travail sont dues à la mauvaise utilisation de ces équipements. Garante de la sécurité des utilisateurs et de la qualité des produits, la norme EN 131 sur les échelles a subi des modifications dont le but est de faciliter la meilleure utilisation des échelles en modifiant les produits mêmes et de mieux s’assurer de la qualité des produits en modifiant les règles de test des échelles. L’entrée en vigueur de la nouvelle règlementation est prévue pour le 1er janvier 2018. Expert des solutions d’accès en hauteur depuis plus de 50 ans, Hymer a basculé sa production depuis le début de l’automne 2017 déjà.

Définissant les règles techniques européennes concernant la fabrication et le contrôle des échelles et s’appliquant aux échelles portables, la norme EN 1312, composée de plusieurs parties, se voit évoluer afin d’assurer plus de sécurité aux utilisateurs : plus de stabilité grâce à des échelles conçues autrement, mais aussi une résistance mieux éprouvée grâce à des tests conçus et notés d’une autre manière. En effet, sur les quatre parties qui composent la norme, deux font l’objet d’une modification. Il s’agit d’une part de la première partie concernant la terminologie, les types et dimensions fonctionnelles ; d’autre part, de la seconde partie concernant les tests effectués en amont de la commercialisation.

Ainsi, suite à la modification, la première partie impose notamment :
– une base, sous forme de traverse par exemple, aux échelles d’appui (qu’elles soient télescopiques, simples, transformables ou coulissantes) qui dépassent les 3 mètres de hauteur
– le blocage des plans amovibles pour les échelles de plus de 3 mètres ou l’ajout d’une base sur le plan amovible
La taille de cette dite base sera définie selon un calcul très précis et ne devra, par ailleurs, pas excéder 1,20m. Ainsi, certaines échelles bénéficiant déjà d’une traverse, devront tout de même voir la taille de cette base modifiée selon les règles de ce calcul, pour respecter la norme. Quant à la seconde partie, elle s’assure que le matériel a fait l’objet d’une évaluation qui prenne en compte sa solidité et la sécurité qu’il offre à l’utilisation. Les changements apportés à cette partie imposent notamment de nouveaux tests :
– deux classes d’échelles différentes ont été créées (l’une pour particuliers et l’autre pour professionnels), qui imposeront des exigences de test différentes (concernant le test de résistance pour toutes les échelles et le test de durabilité pour les échelles doubles)
– un test de torsion pour les échelles d’appui et les échelles doubles
– un test de durabilité pour les échelles doubles
– un test de résistance au glissement sur le sol pour les échelles d’appui
Toujours dans cette seconde partie, apparaissent des process différents pour des tests existants. Ainsi, l’essai de résistance pour les échelles d’appui et les échelles doubles s’effectue non plus en position couchée, mais en position d’utilisation. De manière générale, les exigences en matière de tests sont plus élevées : les poids auxquels les échelles sont soumises sont plus importants et les tests sont répétés plus de fois.

Source : https://www.hymer-alu.fr

SRP : 10 000 certificats d’économie carbone délivrés en 2017

Syndicat national des Régénérateurs de matières Plastiques (SRP) annonce que leurs membres sont aujourd’hui en mesure, après plusieurs mois de test en 2017, de généraliser la remise des certificats d’économie carbone. C’est ainsi que depuis la fin mars ils ont remis à leurs clients près de 10 000 certificats représentant une économie potentielle de plus de 300 000 tonnes de CO2eq. Cette nouvelle étape intervient moins d’un an après la mise en place des éco-profils des 8 principales matières premières de recyclage produites en France : R-PEBD Granulés et R-PEBD Granulés Agri, R-PEHD Granulés et R-PEHD Paillettes, R-PET Granulés et R-PET Paillettes, R-PP et R-PVC.
« Dans le contexte de la transition écologique et de l’élaboration, sous l’égide du Gouvernement, de la feuille de route sur l’économie circulaire, qui vise à recycler 100% des déchets plastiques en 2025, les certificats d’économie carbone ont un rôle essentiel à jouer. Ils constituent un puissant outil incitatif en permettant aux entreprises utilisatrices de MPR d’évaluer la réduction de leur empreinte carbone. De plus, cela encourage aussi à intégrer la dimension recyclage dès la conception de leurs produits : intégration de MPR et recyclage en fin de vie.
Les régénérateurs du SRP sont prêts à contribuer à relever le défi que constitue l’objectif gouvernemental, et à être moteurs dans l’économie circulaire. Les certificats sont à disposition et il suffirait de leur attribuer une valeur financière (par exemple, 40 à 50 euros la tonne de CO2eq économisée) pour passer à la vitesse supérieure ! » explique François Aublé, président du SRP et directeur général de VEKA Recyclage.

Un potentiel de plus de 500 000 tonnes par an d’économie carbone !


L’avantage environnemental est considérable pour l’utilisation de matières recyclées en substitution de matières vierges : jusqu’à 17 fois moins de CO2eq et jusqu’à 9 fois moins d’énergies non renouvelables pour leur production. Dès le premier kg de MPR utilisé, il y a une économie carbone quantifiable, et quantifiée grâce aux certificats délivrés. Les plasturgistes et donneurs d’ordre peuvent désormais apporter la preuve de leurs efforts et justifier leurs choix.
Comme le souligne Alain Mano, responsable Ccommercial chez Suez RV Plastiques Atlantique et Président du Groupe de Travail Communication au SRP, « nos clients, soucieux de communiquer sur leur responsabilité sociétale et environnementale, sont en mesure de quantifier leurs efforts de réduction d’émissions de gaz à effet de serre et de l’empreinte carbone des produits dans lesquels ils incorporent les MPR. »

Du bâtiment à l’emballage

François Aublé confirme : « Pour le SRP, le secteur du bâtiment représente un potentiel d’économie carbone de plus de 150 000 tonnes par an. » Les certificats permettent de quantifier les économies au niveau de ce que l’on appelle l’énergie grise, celle des produits eux-mêmes, et d’encourager l’utilisation de matières premières de recyclage pour leur fabrication. « Par exemple, pour un camion de 24 tonnes de granulés PVC recyclés, nos clients réalisent une économie carbone de 44 tonnes », ajoute-t-il.

Ces certificats d’économie carbone donnent une image positive du travail des régénérateurs, et améliorent celle de l’ensemble de la filière plastique : on passe du statut de déchet « dont on peinait à se débarrasser » à celui de matière première de recyclage. Leurs performances techniques sont quasiment équivalentes à celles des résines vierges, et ont une vraie valeur économique, avec des performances environnementales remarquables. « Le SRP estime que le potentiel d’économie carbone dans l’emballage s’élève à 225 000 tonnes par an et les exigences sont énormes ! En témoignent la modernisation de nos équipements et l’amélioration des performances techniques et environnementales de nos MPR. Pour certains de nos clients, qui fabriquent des barquettes de salade transparentes par exemple, nos paillettes régénérées doivent atteindre une très grande pureté », explique Alain Mano.

Le Syndicat national des Régénérateurs de matières Plastiques (SRP) est l’organisme français représentatif des entreprises qui gèrent en France une unité de régénération de déchets de matières plastiques, c’est-à-dire un site industriel qui réalise au moins deux des opérations suivantes : lavage, broyage, densification, micronisation, granulation, compoundage.

Source : https://www.srp-recyclage-plastiques.org/

La startup M2X obtient l’agrément CIR

La startup M2X annonce l’obtention de l’agrément CIR et revendique un très haut degré de technicité, avec des possibilités illimitées pour accroître l’efficacité des entreprises. Véronique Rochard, présidente et co-fondatrice de M2X, souligne : « Notre force réside dans notre capacité à innover et à proposer à nos clients des solutions nouvelles, faciles à installer, robustes et pérennes et avec un ROI rapide.« 

Véritable colonne vertébrale entre l’informatique et l’électronique, M2X s’appuie sur plus de 15 ans d’expertise de ses quatre ingénieurs-fondateurs pour développer des applications de A à Z. Il intervient, en effet, de la conception du cahier des charges à l’installation des logiciels sur le Cloud, des mobiles iOS et Android ou des tablettes dans 3 domaines d’activités :
– Production et Qualité : suivi de la qualité, amélioration de la productivité, traçabilité en temps réel, pilotage des autocontrôles, remontées d’information, suivi d’indicateurs de production, automatisation du Lean Management, supervision de ligne de production
– IOT et objets communications :
• réalisation de logiciels en lien avec les équipements électroniques, les systèmes
d’information, ou les bases de données
• mise à disposition de données sur le cloud, les tablettes, les mobiles…
• installation, paramétrage et suivi d’exploitation
-Sur-mesure : développement de logiciels spécifiques sur cahier des charges, création d’applications web professionnelles interfacées avec des sites bancaires, création de briques applicatives pour dynamiser les sites web, mise à niveau d’anciennes applications, assistance technique sur les outils existants, expertise et assistance à la
rédaction du cahier des charges, reprise en maintenance d’applications…

Un haut degré de technicité valorisé 

L’agrément Crédit Impôt Recherche (CIR) est délivré aux entreprises disposant de solides compétences techniques et réalisant des projets de recherche innovants pour le compte de ses clients ou pour son propre compte.
L’obtention de l’agrément CIR est donc, pour M2X, la reconnaissance de l’expertise de ses fondateurs, qui ont développé des connaissances de pointe dans différents domaines :
• Développement : C#, VB.NET, C++, Java, …
• Bases de données : SQL Server, Oracle, MySQl, …
• Web : HTML, Javascript, CSS, ASP.NET, Angular, …
• Windows Server et Client
La startup est désormais référencée sur le site du Ministère de la Recherche.

Source : https://www.m2x.fr/

L’Oréal : n° 1 mondial en matière de performance environnementale en 2017

L’Oréal a été reconnue à plusieurs reprises en 2017 pour son leadership en matière de performance environnementale, par des organismes de référence et de renommée internationale. Le dernier en date établi par Newsweek Green Ranking en partenariat avec Corporate Knights attribue à L’Oréal un « green score » de 89,90 % soit le meilleur score parmi 500 entreprises mondiales.

L’Oréal a également été l’une des deux seules entreprises au monde à recevoir un A dans chacune des trois catégories de notation du CDP – protection du climat, gestion durable de l’eau et lutte contre la déforestation – organisme de référence internationale qui analyse la performance de plus 3 000 entreprises sur ces trois sujets clés.

Ces notations mettent en lumière l’engagement responsable de L’Oréal depuis de longues années et à travers le programme Sharing Beauty With All lancé en 2013. Jean-Paul Agon, Président- Directeur général de L’Oréal a déclaré : « Cette reconnaissance démontre l’engagement fort de L’Oréal sur la voie d’une transformation durable et nous encourage à aller encore plus loin. Nous voulons jouer un rôle moteur et pilote pour contribuer activement à relever les grands défis environnementaux auxquels le monde fait face. »

Le programme Sharing Beauty With All repose sur quatre piliers :
– Innover durablement, pour réduire l’empreinte environnementale des produits et des formules ;
– Produire durablement, pour réduire l’empreinte environnementale des usines et des centrales de
distribution ;
– Consommer durablement, pour offrir au consommateur la possibilité de faire des choix de
consommation durable ;
– Partager la croissance avec toutes les parties prenantes du Groupe (communautés, fournisseurs et
salariés).

Source : https://sharingbeautywithall.loreal.fr/

Les travaux du Centre Français de Fiabilité, lancé par Normandie AeroEspace, se structurent à l’international

Créé en 2016 sur le territoire normand à l’initiative de Normandie AeroEspace, le Centre Français de Fiabilité participe aujourd’hui à l’avancement des travaux sur la normalisation de la fiabilité des systèmes et des composants à l’échelle européenne.
De nos jours, la nécessité d’être plus compétitif sur un marché fortement concurrentiel et exigeant pousse les industriels à concevoir des produits de plus en plus complexes et intégrés, avec un temps de développement toujours plus rapide. La fiabilité des systèmes et des composants est donc une brique indispensable pour garantir la compétitivité des industriels et elle se traduit par :
-­ une maîtrise de cette dernière dès la conception et en intégrant les processus industriels
-­ une quantification de la fiabilité des produits par des études de vieillissement des systèmes embarqués
-­ une analyse des défaillances afin de prévenir et anticiper les problématiques éventuelles pouvant intervenir durant le cycle de vie du produit.
Afin de répondre à un besoin des acteurs de la fiabilité tout en capitalisant sur des compétences fortes et différenciantes en Normandie, Normandie AeroEspace a structuré ses travaux sur la fiabilité des systèmes et des composants en créant le Centre Français de Fiabilité (CFF), en synergie avec des acteurs comme les pôles de compétitivité ASTech Paris Région et MOV’EO. Déployé à l’origine en Normandie, le CFF regroupe différents partenaires tels que des sociétés savantes (SIA, 3AF, IEEE France, CEES, Aste), FIDES, le GIFAS, laDGA, afin d’accompagner et de soutenir des problématiques industrielles sur des thématiques prioritaires :
-­ connaissances et moyens d’investigation sur les matériaux «électriques » et les composants
-­ systèmes mécatroniques
-­ technologies liées à la connectique
-­ packaging des électroniques miniaturisées et la dissipation thermique.

Aujourd’hui, un enjeu majeur de la fiabilité est de disposer d’outils de mesure pour quantifier ce niveau de fiabilité. A cette fin, la Direction Générale de l’Armement (DGA) a déployé le dispositif FIDES qui permet à l’aide d’un logiciel d’analyser la fiabilité d’un système ou d’un composant. Cette norme reconnue dans le secteur de la défense et aéronautique, vient de franchir un cap. En effet, elle fera prochainement l’objet d’une normalisation au niveau international par le biais du groupe de travail IEC63142 : « A global methodology for reliability data prediction of electronic components ». Le CFF, par l’intermédiaire de ses acteurs tels que la DGA, participe activement à ces travaux en permettent un déploiement et une prise en charge plus globale des enjeux de la fiabilité, ainsi qu’une reconnaissance de la France comme leader sur cette thématique. La première réunion du groupe rassemblant des experts de 12 nations (USA, Japon, Canada, Danemark, UK …) avait lieu en octobre dernier à Tokyo. L’objectif est d’avoir une version finale de cette normalisation IEC63142 en 2019.

Fondé en 1998, Normandie AeroEspace est le réseau normand des acteurs du domaine aéronautique, spatial, défense et sécurité, participant aux grands projets de demain. Présidé par Philippe Eudeline, le réseau NAE, dont le siège est basé sur le Technopôle du Madrillet (Rouen / 76), est présent sur toute la Normandie. Il est aujourd’hui constitué de 141 membres : de grands groupes industriels, de plusieurs aéroports et d’une base militaire, de nombreuses PME et PMI, de différents laboratoires de recherche et d’établissements d’enseignement supérieur.

Source : https://www.nae.fr/

Prix nationaux de la Qualité et de l’Excellence Opérationnelle décernés le 29 janvier 2018

Organisée par l’association France Qualité (AFQP), la Direction générale des entreprises (DGE) et le MEDEF, la 25ème Cérémonie de remise des Prix nationaux de la Qualité et de l’Excellence Opérationnelle (PQEO) se déroulera à Paris le 29 janvier 2018, au MEDEF. Cette édition 2018 est marquée par la signature d’un accord de partenariat conclu entre le Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI) et l’AFQP, et par une division de la « journée annuelle de la Qualité » en 2 temps forts. La Cérémonie récompensera 10 lauréats venus de toute la France, à travers le Grand Prix France Qualité Performance, les Prix des Bonnes Pratiques, les Prix des Etudiants, le Prix du Livre et les Prix de l’Excellence Opérationnelle.

Un accord de partenariat avec le MESRI pour le Prix des Etudiants et de la Qualité

La convention de partenariat avec le Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation vise à renforcer la visibilité du Prix des Etudiants Qualité Performance (PEQ). En signe de cette coopération nouvelle, un représentant du Ministère remettra les Prix des Etudiants lors de l’édition 2018. S’ensuivra un rapprochement entre les structures régionales de France Qualité et les universités pour renforcer la visibilité du Prix des Etudiants, valoriser sa cohérence avec le contenu des cursus universitaires et favoriser la communication avec les établissements d’enseignement supérieur préparant à des diplômes reconnus dans les domaines Qualité, Sécurité, Environnement et Développement Durable. Le MESRI s’impliquera pleinement dans l’organisation des Prix des Etudiants Qualité Performance 2019.

Création de 2 temps forts annuels autour de la Qualité

En 2017 avait été organisée la première Journée Française de la Qualité intégrant, outre la Cérémonie de remise des trophées, un nouveau format de rencontres (conférences, tables rondes, ateliers, stands…). Près de 300 acteurs de l’écosystème venus de toute la France s’étaient mobilisés pour ces rencontres. Au vu d’un tel succès, la Journée Française de la Qualité devient en 2018 un temps fort à elle seule et sera organisée au cours du 3ème trimestre, afin d’offrir davantage d’occasions de rencontres aux professionnels de la Qualité

Source : https://www.qualiteperformance.org

World Efficiency Solutions 2017 pour une économie sobre en ressources et carbone

Du 12 au 14 décembre dernier, à Paris, World Efficiency Solutions a réussi à répondre à un défi majeur : mettre en relation les nombreux acteurs économiques engagés dans le déploiement d’une économie plus sobre en ressources et carbone. Novateur par son approche résolument trans-sectorielle, l’événement a développé une méthode d’accompagnement des marchés visant à référencer puis mettre en relation des projets de transition et des solutions de tous horizons. Ce choix a permis de favoriser des interactions et des échanges inédits entre les participants, dans toutes les dimensions de l’événement.
Organisé en parallèle du One Planet Summit dont il a constitué un événement satellite officiel permettant d’illustrer les nouveaux modèles économiques peu à peu intégrés par les acteurs de terrain publics et privés, World Efficiency Solutions a accueilli près de 5 000 participants dont 19% d’internationaux. Ces derniers, gouvernements, entreprises, villes et collectivités, ont répondu présent aux défis planétaires du climat, de la réduction des émissions et de l’adaptation aux impacts déjà irréversibles et, plus largement, d’un développement durable partout dans le monde.

Un événement pionnier

Dans leur ensemble, les témoignages recueillis pendant et après l’événement convergent dans le même sens : chacun se réjouit d’avoir participé à cet événement aux enjeux majeurs et aux réalités concrètes auxquels les acteurs économiques en première ligne doivent faire face pour assurer au quotidien la transition vers des voies bas-carbone et efficientes dans la gestion des ressources. Le choix d’un format hybride offrant un contenu à la fois prospectif et pragmatique – sous de multiples formes qui toutes ont pour objectif de favoriser les rencontres inédites – fait de World Efficiency Solutions un rendez-vous incontournable pour les professionnels engagés dans la mise en oeuvre de l’Accord de Paris et des Objectifs de Développement Durable des Nations unies. WE a permis à cette communauté d’acteurs de renforcer leurs actions et d’établir des partenariats solides pour assurer un déploiement large des solutions et la généralisation de projets à grande échelle sur tous les continents et sur tous les territoires.

Une place majeure pour booster l’innovation

Les organisateurs ont placé l’innovation, ses écosystèmes et ses acteurs au coeur de World Efficiency, à travers le programme WEBoost qui a fait l’unanimité. Pas moins de 53 innovations technologiques ou de service ont ainsi été valorisées sur la plateforme WEConnect. De nombreuses entreprises ont également été primées dans le cadre des prix et trophées rassemblés sur l’événement.
L’envie de découvrir des solutions innovantes ne s’est pas démentie sur toute la durée de l’événement en particulier sur le Pitch Ring. Cet espace d’expression au coeur de l’événement a accueilli 85 pitcheurs face à un public captif qui a apprécié ce format d’intervention court et dynamique durant 15 séances variées : startups du CUB by WE, spin-offs du CEA, jeunes entreprises accompagnées par InnoEnergy ou par le Club Ademe International, finalistes de l’Innovation Showcase by WE, startups internationales à fort potentiel réunies par Paris Region Entreprises ou encore lauréats du concours My Positive Impact organisé par la Fondation pour la Nature et l’Homme et l’UNCPIE (Union Nationale des Centres Permanents d’Initiatives pour l’Environnement), partenaires de l’événement.

Un moteur de rencontres et de collaborations nouvelles

Par son positionnement transverse, World Efficiency Solutions a dès le départ fait le choix du décloisonnement entre les secteurs, les acteurs et les organisations, favorisant ainsi les rencontres, les échanges, les collaborations et les partenariats, véritables clés d’un passage réussi vers une économie circulaire, bas carbone, soutenable et durable.
La programmation du #WESummit a pleinement confirmé ce positionnement à travers ses différentes sessions thématiques, en particulier lors de la conférence de clôture « Pourquoi la collaboration sera la clé pour atteindre les objectifs mondiaux ? ».
Ainsi, au-delà des échanges entre homologues, World Efficiency a favorisé des rencontres entre professionnels qui partagent sur les mêmes sujets des réalités profondément différentes qu’il s’agit de mieux concilier pour gagner en efficacité et en action collective : jeunes pousses et investisseurs ou grands comptes ; villes et entreprises, notamment startups et TPE/PME ; échanges entre startups elles-mêmes et, plus globalement, rencontres entre organisations institutionnelles françaises et internationales et entreprises ayant des solutions innovantes adaptées à des besoins spécifiques locaux.
Pas moins de 449 rendez-vous ont eu lieu durant les trois jours de l’événement. Ils ont impliqué 200 acteurs venus de 19 pays d’Europe, d’Afrique, d’Amérique du Nord et du Sud et d’Asie. Dans leur ensemble, ces rendez-vous ont permis plus de 900 mises en relation, avec des potentialités de marché évidentes pour nombre d’entre elles.

Source : https://www.world-efficiency.com

Le centre Euromaster de Martigues obtient sa première certification MASE

Euromaster, enseigne spécialisée dans l’entretien des véhicules, annonce l’obtention de la première certification MASE (Manuel d’Amélioration Sécurité des Entreprises) de son centre situé à Martigues. 

Un haut niveau d’exigence en SSE

Le MASE est un référentiel de système de management dont l’objectif est l’amélioration permanente et continue des performances Sécurité, Santé au poste de travail et Environnement des entreprises. Il a été élaboré par un groupement d’associations dont les membres sont les entreprises utilisatrices et les entreprises intervenantes. C’est un référentiel d’industriels, au service des industriels.
Le MASE repose sur cinq axes fondamentaux : engagement de la direction de l’entreprise, compétences et qualifications professionnelles du personnel, organisation du travail, efficacité du système de management et amélioration continue. L’objectif de cette certification est de garantir un système de management SSE (Sécurité, Santé et Environnement) adapté et efficace qui aide à la gestion des risques liés à la co-activité d’entreprises partenaires. Cette certification peut être exigée lors des interventions sur les sites industriels à fort niveau de risque. Ainsi, une entreprise peut exiger de ses partenaires une certification selon le référentiel MASE afin de pouvoir accéder à son site d’exploitation.
La certification est attribuée pour une durée de une à trois années, par le comité de pilotage régional, après réalisation d’un audit confié à un organisme extérieur sélectionné. Cet audit intervient après un processus de mise en place du système durant 18 mois au sein de l’entreprise candidate à la certification, et porte sur l’évaluation du respect des exigences du MASE. A l’issue de l’audit, une notation sur 6 000 points est attribuée qui permet à l’auditeur de présenter les résultats au comité de pilotage qui arbitre sur la décision finale.

La reconnaissance de l’engagement d’Euromaster

En octobre dernier, le centre Euromaster de Dunkerque, déjà certifié MASE depuis 3 ans, a obtenu de très bons résultats lors de son audit de renouvellement. Aujourd’hui, c’est au tour du centre Euromaster de Martigues d’obtenir le 6 décembre dernier, sa toute première certification MASE. Véritable gage d’engagement en matière de sécurité, ces certifications s’inscrivent dans une politique de qualité menée par Euromaster, qui répond ainsi aux besoins et exigences de ses clients pour une satisfaction optimale.

Comme le souligne Philippe Chambat, coordinateur MASE chez Euromaster France, « il s’agit d’une nouvelle preuve de l’engagement de notre enseigne dans une vraie stratégie sécuritaire et managériale. C’était important pour le centre de Dunkerque de confirmer ce renouvellement de certification, comme pour le centre de Martigues d’obtenir sa première certification, afin de pérenniser la confiance de ses clients, et répondre à leur demande de garantie sécurité sur toutes nos activités. Nous appliquons l’exigence du cahier des charges de la certification MASE à toute notre organisation interne, afin d’apporter une réponse pragmatique aux enjeux métiers et locaux ».

Source : https://www.businesspro.euromaster.fr

BEI soutient le développement de Latécoère par un financement de 55 M€

Latécoère, groupe international partenaire de « rang 1 » des grands avionneurs mondiaux a contracté un financement de 55 M€ auprès de la Banque Européenne d’Investissement (BEI).

Ce financement viendra soutenir les investissements programmés dans le cadre du plan de Transformation 2020 qui vise à conquérir de nouveaux marchés grâce à une plus grande place donnée à l’innovation et à améliorer la compétitivité industrielle avec des process modernisés et automatisés, dans un objectif d’excellence.

Les efforts de développement de nouveaux produits et technologies, appuyés par la BEI, accompagneront les projets industriels ambitieux portés par Latécoère, dont l’usine 4.0 en périphérie de Toulouse (Montredon) labélisée « Vitrine Industrie du Futur » ainsi que le nouveau site de production en Bulgarie. Cette nouvelle usine, partie intégrante du Plan de Transformation 2020, répond à de multiples enjeux :

  • Productivité : mieux orienter son outil industriel, en le réorganisant en centres de compétence capables de répondre au mieux aux besoins de ses donneurs d’ordre. En outre, cette nouvelle usine de production de petits assemblages procurera de la souplesse au site de Prague (créé en 2000) ;
  • Proximité client : accompagner ses principaux donneurs d’ordre dans leur stratégie de développement international dont Airbus ; 
  • Compétitivité : accroître ses capacités de production en zone best cost afin de préparer l’avenir et se positionner sur les nouveaux programmes.

Parallèlement, le Groupe réaménage la structure de son endettement au travers la renégociation de son programme d’affacturage et le remboursement de son crédit syndiqué. L’ensemble de ces ressources financières soutiendront la stratégie du Groupe qui s’est engagé à mener une politique active d’investissements.

Yannick Assouad, Directeur Général de Latécoère, déclare : « Nous sommes fiers d’obtenir la confiance de la BEI qui constitue une reconnaissance de la crédibilité et de la dynamique de Latécoère. Ce soutien de la banque européenne s’inscrit pleinement dans notre volonté d’innovation et de performance industrielle. »

 

Source : https://www.latecoere.aero

4 salons pour la gestion des ressources humaines et la digitalisation

Du 20 au 22 mars 2018, dans le pavillon 4.1 & 4.2 à Paris Expo Porte de Versailles, à partir de 14h00, se dérouleront  différents salons sur la gestion des ressources humaines, l’intranet collaboratif et digital workplace & RSE.

Les solutions Cloud, la dématérialisation, le Big Data, les objets connectés et la gestion des compétences sont omniprésents. Le e-learning, les Moocs, les serious games font, en effet, l’objet de nombreux débats avec le développement de nouveaux outils digitaux pour une pédagogie innovante… 3 autres manifestations aborderont ces 5 grands domaines :

– 24ème édition du salon Solutions Ressources Humaines dédiée aux outils et services pour dirigeants d’entreprises, DRH, responsables de la Formation et DSI. 4 grands domaines sont représentés : Gestion informatique des RH (SIRH) – Conseil et Management – Formation -– Protection sociale et prévoyance.

– 6ème édition de Performance & Talents pour Identifier les talents, développer les compétences, motiver les collaborateurs, optimiser la performance : Plateformes, Conseil, Coaching, Formation, Evaluation, Mobilité, Plan de succession, Collaboratif, Incentive, Team building…

– 18ème édition du salon de la Formation du eLearning et du Digital Learning. Plateformes eLearning (LMS et LCMS) – Contenus eLearning “sur étagère”- Serious Games – Formations Langues – Outils d’évaluation et de suivi – Classe virtuelle – Dispositifs de formation mixte (blended learning) – Tutorat et accompagnement – Gestion et diffusion de contenus – Outils et plateformes eLearning « open source » – Social Learning… toute l’offre est présente dans sa diversité.

Enfin, à l’heure de la transformation digitale, du conversationnel et de la mobilité, l’intranet et les plateformes collaboratives sont au cœur de la transformation des entreprises et deviennent des leviers de productivité et d’efficacité collective comme individuelle… Le point sur ces marchés qui seront largement développés lors de la 13ème édition du salon Intranet Collaboratif, Digital Workplace & RSE.

 

Source : https://www.solutions-ressources-humaines.com