HAS : Véronique Ghadi, nommée directrice de la qualité de l’accompagnement social et médico-social

La directrice générale de la Haute Autorité de Santé (HAS), Katia Julienne, annonce la nomination de Véronique Ghadi à la tête de la Direction de la qualité de l’accompagnement social et médico-social (DiQASM). Elle pilotera cette nouvelle direction qui intègre les missions et personnels de l’Agence nationale de l’évaluation et de la qualité des établissements et services sociaux et médico-sociaux (Anesm), transférés à la HAS depuis le 1er avril.

Véronique Ghadi, 47 ans, est nommée à la tête de la Direction de la qualité de l’accompagnement social et médico-social (DiQASM). Cette direction est créée dans le cadre de l’intégration de l’Anesm à la HAS, décidée par la loi de financement de la sécurité sociale 2018. Véronique Ghadi sera en charge de piloter les travaux de cette nouvelle direction, notamment l’évolution de l’évaluation des établissements sociaux et médico-sociaux, le recueil de la satisfaction des personnes âgées ou l’élaboration de travaux transversaux avec les 2 autres directions de la HAS dédiées au champ sanitaire. Elle s’occupait depuis 2010 à la HAS des sujets de qualité de vie au travail, de bientraitance et de place des usagers dans les démarches d’amélioration de la qualité des soins.

Véronique Ghadi a suivi un double cursus en sociologie et en santé publique, elle est titulaire d’un DEA Système de santé et société à Paris VII Denis Diderot (1995) et d’un DEA Sociologie du travail à Paris X Nanterre (1993). Sa carrière a été marquée par de nombreux travaux de recherche et études, mais aussi de projets d’accompagnement réalisés à la demande des acteurs du champ de la santé : établissements de santé, association d’usagers, ministère, mutualité française… Elle a pu notamment exercer ces différentes missions au sein de l’Institut de recherche et documentation en économie de la santé (Irdes, 1999), l’Ecole nationale de santé publique (1999-2001), la Fondation de l’avenir (2001-2006) l’Assistance Publique Hôpitaux de Paris (2007-2008), le Collectif interassociatif sur la santé (Ciss, 2008-2010) ou en tant que consultante (2006-2010).

Le fil rouge de sa carrière a été de soutenir la prise de parole des usagers tant au niveau individuel que collectif et de travailler à son articulation avec le point de vue des professionnels. Ce parti pris l’a conduit naturellement à s’investir sur des problématiques sociales et médico-sociales : évaluation de la satisfaction des personnes âgées atteintes de la maladie d’Alzheimer, conditions d’entrée en EHPAD, parentalité, évaluation d’un réseau de gérontologie, solutions de répit, nouveaux métiers d’accompagnement dans le champ du handicap, réduction des risques dans la toxicomanie…

Ses travaux sur la maltraitance ordinaire dans les établissements de santé l’ont amenée à rejoindre  la HAS en 2010. Au sein de l’institution, elle s’est notamment consacrée à l’élaboration d’outils pour promouvoir la bientraitance dans les établissements sanitaires et médico-sociaux en partenariat avec la Fédération des organismes régionaux d’amélioration des pratiques et des organisations en santé (Forap). Elle a également piloté des expérimentations de démarches de qualité de vie au travail dans les établissements de santé ou accueillant des personnes âgées et des personnes handicapées, en partenariat avec l’Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail (Anact). En 2014, elle co-écrit avec Claire Compagnon, le rapport Pour l’an II de la démocratie sanitaire remis à la ministre chargée de la santé.

Source : https://www.has-sante.fr

Norme européenne « Mise en place de cabines sanitaires mobiles autonomes » reconduite pour 5 ans

Cinq organisations professionnelles européennes, dont l’ex-Syndicat National des Professionnels du Sanitaire Mobile (devenu depuis le début de l’année la Commission « Sanitaires et Unités Mobiles ») de la DLR (Fédération Nationale des Distributeurs, Loueurs et Réparateurs de Matériels de Bâtiment, de Travaux publics et de Manutention) se sont associées en 2008 pour soumettre un projet de norme auprès du Comité Européen de Normalisation (CEN). Au coeur du sujet : l’instauration d’exigences techniques minimales, en termes de sécurité et d’hygiène, pour la mise en place de cabines sanitaires mobiles et autonomes et l’utilisation de produits sanitaires associés, sur chantiers ou lors d’événements. En 2012, la norme européenne NF EN 16194 « cabines sanitaires mobiles autonomes – exigences relatives aux services et produits, liées à la mise en place des cabines et des produits sanitaires » a officiellement été publiée par l’Afnor. Cette norme vient d’être reconduite pour 5 ans.

Un standard européen pour une bonne utilisation des cabines sanitaires mobiles autonomes


Pour créer cette norme européenne, les 5 syndicats initiateurs de la démarche se sont appuyés sur les travaux de l’association professionnelle allemande BDE, qui avait déjà entamé des travaux d’écriture en ce sens dans son pays. En 2012, celle-ci a été transposée dans les pays dont sont originaires les 5 organisations professionnelles : Allemagne, Espagne, France, Italie et Royaume-Uni. Elle est mise en application dans 33 pays du CEN.

Une norme européenne qui prévoit des exigences techniques minimales


La norme européenne NF EN 16194 est une norme de services, d’application volontaire, qui concerne les cabines sanitaires mobiles (à l’exclusion des toilettes sèches) qui ne sont pas raccordées à un collecteur d’assainissement. Elle spécifie des exigences relatives à l’utilisation de matériels écologiques et sécuritaires adaptés au contexte du site, un entretien et une vidange hebdomadaire avec des produits appropriés, hygiéniques et respectueux de l’environnement, qui limitent les odeurs dans le temps.

Cette norme est adaptée au Code du Travail français qui oblige de mettre à disposition des travailleurs les moyens leur permettant d’assurer leur propreté individuelle (vestiaires, lavabos, cabinets d’aisances et le cas échéant douches). Tous les ans, 150 000 chantiers, en France, ne sont pas équipés d’espaces sanitaires. La norme prévoit l’installation d’une cabine d’aisance pour 10 personnes alors que le Code du Travail en prévoit une pour 20 personnes.

Le SNPSM s’est rapproché du DLR


Depuis le début de l’année, le Syndicat National des Professionnels du Sanitaire Mobile (SNPSM) a intégré DLR. Une Commission « Sanitaires et Unités Mobiles » a été créée au sein de la fédération. La structure juridique SNPSM a été dissoute. Hervé Montagne, dirigeant de la société WC Loc, leader français de la location d’espaces sanitaires mobiles autonomes et raccordables, a été élu Président de cette Commission. Bernard Louvet, dirigeant de la société CNSE (conception et fabrication d’abris modulaires) en est le Vice-Président.

Le SNPSM a été créé en 2008 à l’initiative des loueurs de cabines sanitaires mobiles autonomes, caravanes, roulottes, vestiaires, base-vie et de tout autre type de sanitaire mobile autonome et raccordable, des prestataires de service et des fabricants. En 2013, les fabricants et loueurs de véhicules autonomes de cantonnement (bases-vie mobiles et unités mobiles de décontamination) ont rejoint le Syndicat. Au total, ce sont 22 adhérents qui représentent 80% de l’activité de la profession, en France. Ce marché cible les acteurs du BTP et les organisateurs de manifestations publiques (concert, sport, mariage…).

Source : https://www.dlr.fr

Renouvellement de la convention de partenariat entre MASE et l’OPPBTP

Didier Méné, président de l’association MASE (Manuel d’Amélioration Sécurité Entreprises), et Paul Duphil, secrétaire général de l’Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics (OPPBTP), ont signé une nouvelle convention de partenariat visant à favoriser la mise en place dans les entreprises du BTP de systèmes de management Santé et Sécurité au travail (SMS&ST) adaptés et efficaces. Dans la continuité du premier accord conclu en 2012, le renouvellement du partenariat poursuit deux objectifs majeurs : renforcer la synergie entre les deux acteurs et accompagner les entreprises du BTP dans le nouveau contexte créé par la parution de la norme ISO 45001 « Systèmes de management de la santé et sécurité au travail – exigences et lignes directrices » le 14 mars dernier.

Favoriser la mise en place de systèmes de management SMS&ST

Un système de management de la santé et sécurité au travail (SMS&ST) a pour objectif de favoriser l’amélioration des conditions de travail, de manière globale et partagée par tous les acteurs de l’entreprise. Il s’agit d’une méthodologie de gestion de la performance de la santé et de la sécurité au travail basée sur des politiques de prévention, des procédures, des plans d’action, impliquant chaque niveau de responsabilité. Le schéma de développement d’un système de management de la santé et de la sécurité au travail s’élabore à partir d’un projet d’entreprise, s’inscrit dans une dynamique de changement qui requiert de la pédagogie, une démarche participative et collaborative, ceci dans une dynamique d’amélioration continue.
Les systèmes de management S&ST jouent un rôle primordial dans l’amélioration des conditions de travail et la performance des entreprises. C’est pourquoi, l’association MASE et l’OPPBTP ont souhaité poursuivre la dynamique commune engagée depuis 2012 en renouvelant leur partenariat.
Celui-ci se traduit notamment par :
La nomination et l’initiation au système MASE de correspondants OPPBTP en région afin de favoriser les synergies entre les deux organismes et des échanges réguliers entre les correspondants OPPBTP et les correspondants MASE (interventions en AG locales MASE ou en réunions d’agence OPPBTP, participation à des réunions entreprise/donneurs d’ordre, participation au jury des MASE Awards…).
Des actions de promotion et d’information conjointes, comme par exemple :

▪ La reconnaissance par le système MASE des formations Prév’action de l’OPPBTP comme répondant aux exigences de compétences et de formation des personnels des entreprises souhaitant la certification MASE ;

▪ La création de liens entre les sites Internet du MASE et de l’OPPBTP ;

▪ La valorisation par l’OPPBTP des démarches MASE, en particulier au travers d’articles dans le magazine Prévention BTP et sur son site Internet ;

▪ La promotion des démarches et outils de l’OPPBTP par l’association MASE, en particulier de son site www.preventionbtp.fr riche en solutions pratiques pour les entreprises, et du magazine Prévention BTP.

Une étude commune de comparaison entre la norme ISO 45001 et le système MASE

Son objectif est de mettre en regard les deux référentiels, en en relevant les similitudes et les différences, y compris quant aux processus de certification associés et aux modes de mise en oeuvre par les entreprises, notamment par les TPE. Cela permettra d’identifier les passerelles entre les deux systèmes.

La valorisation du MASE par le biais d’études Prévention & Performance

La conviction partagée que les systèmes de management Santé et Sécurité au travail contribuent de façon notable à la performance de l’entreprise a mené naturellement les deux organismes à prévoir la réalisation d’études Prévention et Performance (P&P) dans des entreprises certifiées MASE, avec l’objectif de valoriser et démontrer l’impact positif du MASE sur la performance de l’entreprise.
« Le renouvellement de notre convention est un signal fort envoyé aux entreprises du BTP qui représentent aujourd’hui plus d’un tiers des entreprises certifiées « système commun MASE-UIC ». C’est aussi une reconnaissance de la qualité du travail réalisé par notre réseau afin d’aider les entreprises à progresser en sécurité, santé et protection de l’environnement grâce à un système de management pragmatique et orienté terrain. » se félicite Didier Méné.
« Le renouvellement de cette convention, c’est aller plus loin dans la synergie entre le MASE et l’OPPBTP au service de la prévention des risques santé et sécurité au travail dans les entreprises du BTP. C’est aussi une opportunité pour explorer, sur des exemples concrets, l’apport des systèmes de management sur la performance globale de l’entreprise. Je suis convaincu que la certification mène aux progrès des organisations et que c’est un des vecteurs de l’excellence. Dans le contexte de la parution de la norme ISO 45001 sur les systèmes de management Santé et sécurité au travail, le MASE est un référentiel et une démarche qui sont bien adaptés aux situations des entreprises du BTP. Notre étude commune permettra au MASE de travailler les convergences et de parfaire la complémentarité entre les deux référentiels. Le sens doit cependant rester au centre de la réflexion, la conformité à un référentiel n’est pas la finalité, la finalité est bien la prévention des risques, le bien-être des salariés et la performance de l’entreprise », commente Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP.

Source : https://www.mase-asso.fr

Avanteam : une nouvelle version d’Avanteam Mobile et un catalogue applicatif enrichi

Editeur français de solutions de dématérialisation de documents et d’automatisation de processus, Avanteam lance la toute dernière version de son application 100 % mobile, Avanteam Mobile, ainsi que ses deux nouveaux modules applicatifs : Risk Manager et Contract Manager. Offrant un accès sécurisé aux documents, tâches et activités depuis tout terminal iOS, Android ou Windows Phone, Avanteam Mobile facilite le pilotage des opérations terrain. Les utilisateurs peuvent en effet, même en mode déconnecté, saisir et remonter tous types d’informations depuis le terrain, mais aussi suivre facilement l’avancement de leurs dossiers.

Maximiser l’efficacité des équipes terrain

Disponible nativement sur tous les smartphones et tablettes compatibles iOS, Android et Windows Phone, Avanteam Mobile permet aux utilisateurs en quelques clics de :
– Saisir et remonter depuis le terrain tous types d’informations : déclaration d’incident, réclamation client, fiche d’intervention, audit ou inspection, visite client, rapport d’activité, suivi de chantier, état des lieux, contrôle propreté d’immeubles, visite médicale à domicile, expertise d’assurance, relevé d’heures, etc.
– Suivre l’état d’avancement d’un dossier ou consulter un document : la synchronisation bidirectionnelle des données permet à l’entreprise de garder à tout moment le contact avec ses équipes terrain, afin de les renseigner sur l’avancement des dossiers, de leur transmettre des informations ou de leur affecter de nouvelles tâches.
– Participer aux workflows et prendre des décisions : demande d’achat, de congé ou notes de frais, validation de courrier, signature de contrat, etc.
Accessible également en mode déconnecté, l’application permet aux équipes terrain de travailler même dans des environnements totalement dépourvus de connexion internet. L’utilisateur peut ainsi continuer à saisir ses données, qui seront ensuite transférées automatiquement vers le serveur Avanteam, sans aucune intervention de sa part, dès que l’application aura détecté une connexion internet de qualité.
Non seulement l’utilisateur retrouvera ses informations sur son poste de travail à son retour au bureau, mais par ailleurs, pendant qu’il est sur le terrain, le moteur Workflow d’Avanteam analyse automatiquement les données pour solliciter les bonnes personnes et accélérer les traitements. C’est un gain de temps et d’efficacité considérable pour les équipes, et un pas significatif vers le zéro papier. De plus, les données saisies via Avanteam Mobile peuvent être exportées facilement vers des bases de données ou applications CRM et ERP. Cela permet aux entreprises d’automatiser toutes les étapes d’un processus métier, sans avoir besoin de réaliser des interfaces complexes ou de perdre leur temps à ressaisir les données.

Une nouvelle version d’Avanteam Mobile et un catalogue applicatif enrichi

Avanteam présente également la version 3.3 d’Avanteam Mobile, qui s’enrichit de nouvelles fonctionnalités, afin de répondre encore plus précisément aux besoins des utilisateurs métiers :
– Un nouveau champ du type « Inline » pour la gestion de la signature manuscrite sur mobile,
– La gestion des sections dans les formulaires électroniques,
– Une personnalisation avancée des formulaires avec des champs « Interrupteur », « Label » et « Commentaire »,
– Une meilleure ergonomie des tableaux de détails,
– Une gestion renforcée de la sécurité des flottes de mobiles.
Avanteam Process Suite, la plateforme innovante de gestion de documents (ECM) et d’automatisation de processus (BPM) d’Avanteam, proposait déjà un large catalogue d’applications prêtes à l’emploi et capables de couvrir un large panel de besoins métiers : qualité, courriers et emails, factures fournisseurs, achats, ressources humaines… Ce catalogue applicatif s’enrichit de deux nouveaux modules : Risk Manager, pour la cartographie et la gestion des risques professionnels, opérationnels et financiers, et Contract Manager, une solution permettant la gestion des contrats avec workflow et signature numérique à valeur probante.
Par ailleurs, grâce à Avanteam Mobile Studio, l’atelier de design d’applications mobile de la suite Avanteam, les utilisateurs métiers peuvent créer et personnaliser très facilement leurs propres applications, et ce en quelques heures, sans avoir besoin de solliciter les équipes informatiques internes. Chaque application offre un interface utilisateur simple et ergonomique, qui s’adapte à la charte graphique de l’entreprise et exploite pleinement les fonctions de géolocalisation et de prise de photos des appareils mobiles et tablettes.

 

 

Source : https://www.avanteam.fr

Bilan positif pour la 24ème édition du Salon Documation et Solutions RH et Intranet, Collaboratif, Digital Worplace & RSE

Le salon Documation & le Data Intelligence Forum/i-expo- le rendez-vous annuel des professionnels du management de l’information, des processus documentaires et de la Data – a battu son plein tant au niveau des conférences que dans les allées… Malgré la grève du Jeudi 22 mars, ils ont été 3 402 visiteurs professionnels uniques  et  4 257 auditeurs aux conférences et ateliers exposants qui se sont rendus à cette 24ème édition. Au total, le Hall 4 (Salons RH/eLearning – Salon Documation Solutions Intranet, Collaboratif, Digital Worplace & RSE)  a accueilli plus de 14 000 visiteurs  professionnels.

L’édition 2018 a confirmé que c’est le rendez-vous pour se tenir au courant de tous les enjeux de la transformation numérique, de la gouvernance de l’information et de la valorisation de la Data des entreprises pour tous les professionnels qui gèrent des documents, des contenus et des données.

Les conférences et tables-rondes de Documation déroulent les tendances de fond indispensables à l’orientation des organisations dans leur mutation numérique. Dématérialisation fiscale et purchase to pay, transformation et automatisation des processus métiers sont quelques exemples d’offres techniquement maitrisés mais que les entreprises ont pourtant encore du mal à intégrer dans leurs projets. Il y a encore en 2018 un fossé entre les besoins des entreprises, besoins qui ne sont pas toujours clairement identifiés et formulés, et la pléthore d’offres des fabricants, des éditeurs et des intégrateurs. La plupart des entreprises sont encore à l’amorce de leur transformation et ont une vision par métier et non pas encore globale de la dématérialisation de toutes leurs activités. 

Un facteur important devrait leur faire mettre un peu plus le pied à l’étrier : la réglementation. Eidas l’année dernière, RGDP cette année. La contrainte est le meilleur accélérateur. A charge pour les professionnels de la démat de réguler finement le marché pour adapter les enjeux sécuritaires, normatifs et juridiques à l’inertie des prises de décisions dans les organisations. L’accompagnement de celles-ci est plus que jamais nécessaire, dès lors qu’on leur parle de big data, d’IA et de BI… Une réponse cohérente est de leur fournir un service de bout en bout à travers un prestataire unique ou pour le moins présent sur une grande partie de la chaine des traitement documentaires. Ce qui implique des consolidations. Les récents rachats de Numerial par Konica et de Spigraph par Everteam en sont l’illustration.

Enfin, dans les salons Salons Solutions RH – Elearning et Performance et Talents 2018,  innovation technologique, transformation digitale, l’Intelligence Artificielle… sont au cœur de la stratégie de toute la communauté RH et Digital Learning. les solutions Cloud, la dématérialisation, le Big Data, les Objets Connectés et la gestion des compétences sont toujours omniprésents. Digital learning,  Moocs,  serious games ont fait l’objet de nombreux débats avec le développement de nouveaux outils digitaux pour une pédagogie innovante… Les rendez-vous d’affaires ont rencontré un vif succès : 900 RDV programmés entre exposants et visiteurs porteurs de projets.

En parallèle des salons Solutions Ressources Humaines et Solutions Intranet, Collaboratif, Digital Worplace & RSE, la 25ème édition du salon Documation & le Data Intelligence Forum/i-expo se tiendra du 19 au 21 Mars 2019 dans le Hall 4 à Paris à la Porte de Versailles.

 

 

Source : https://www.i-expo.net