Universign reçoit l’un des premiers Visas de sécurité de l’ANSSI

Universign, expert français des solutions de signature électronique, fait partie des premiers lauréats du Visa de Sécurité de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI).

Face à une menace croissante et de plus en plus sophistiquée, le choix de solutions de sécurité représente un enjeu stratégique au sein des organisations aussi bien publiques que privées. Si de nombreux acteurs de l’informatique prétendent offrir des solutions fiables et sécurisées, toutes ne disposent pas des mêmes niveaux d’efficacité. Annoncés lors du dernier Forum International de la Cybersécurité, les Visas de sécurité délivrés par l’ANSSI permettent d’identifier facilement les plus fiables d’entre elles. Ces visas disposent que leur détenteurs ont fait l’objet d’une évaluation réalisée par des laboratoires agréés selon une méthodologie rigoureuse et éprouvée.

Parmi les premières entreprises qui se sont vu remettre un Visa de Sécurité, à l’occasion d’une cérémonie ce jeudi 21
juin dernier, figure Universign pour qui cette distinction vient reconnaitre les efforts et l’expertise dans le domaine des
services de confiance et notamment de la signature électronique. Julien Stern, CEO et Fondateur d’Universign, a déclaré : « Le Visa de Sécurité que nous remet l’ANSSI est une vraie valeur ajoutée pour Universign. Nous évoluons dans un milieu où les questions de sécurité, d’intégrité et de conformité réglementaire ont une place prépondérante. Nous savons donc que c’est une chose à laquelle nos clients seront sensibles. »

Universign, pure-player des Services de Confiance, est un plateforme SaaS de services de signature électronique, de cachet électronique et d’horodatage. En tant que Prestataire de Services de Confiance qualifié eIDAS, Universign sécurise et facilite les transactions numériques conformément aux règlementations. Gage de sécurité dans les échanges numériques, les Services de Confiance Universign respectent deux principes d’usage : simplicité et conformité.

Source : https://www.universign.com

Bureau Veritas : Origin, la première solution de traçabilité alimentaire construite sur la blockchain

Bureau Veritas propose Origin, le premier label de traçabilité à offrir aux consommateurs la preuve complète du parcours produit, de la fourche à la fourchette. Origin, qui repose sur la technologie blockchain, offre aux consommateurs un moyen fiable et pratique d’accéder aux informations de chaque étape de fabrication d’un produit. En scannant un QR code en magasin, ils accèdent à l’historique complet du produit avant de prendre leur décision d’achat.
Origin apporte également un bénéfice considérable aux industriels de l’agroalimentaire. Marques et distributeurs pourront mieux contrôler leurs chaînes d’approvisionnement grâce à une meilleure visibilité. La durée des rappels produits sera significativement réduite.
Des projets sont en cours avec un certain nombre de clients de Bureau Veritas, et la technologie est maintenant prête à être déployée à grande échelle.
Vincent Bourdil, Vice-Président des activités Food chez Bureau Veritas, a déclaré : « Le lancement d’Origin est, pour Bureau Veritas, le résultat de deux années de travail durant lesquelles nous avons évalué de nombreuses applications blockchain. Origin est une solution gagnant-gagnant, non seulement pour les consommateurs, mais aussi pour les fournisseurs, les transformateurs, les industriels et les distributeurs, car elle ajoute de la valeur au produit final. Avec Origin, les rappels produits peuvent être gérés en temps réel, ce qui permet à la marque de préserver sa réputation et de réduire ses coûts.« 
L’utilisation de la blockchain est une innovation technologique qui résout les problèmes jusque-là classiquement rencontrés dans la mise en oeuvre de solutions de traçabilité. Développée en partenariat avec Worldline, leader dans le secteur des paiements et des services transactionnels, Origin est la première solution de traçabilité à tirer parti de la blockchain.
Olivier Stuckens, Managing Director Mobility & e-Transactional Services chez Worldline, a déclaré : « La blockchain offre des avantages uniques pour un tel produit : elle est sécurisée, ouverte, transparente et ne nécessite pas d’entité centrale de contrôle. La blockchain révolutionne la façon dont les transactions sont vérifiées, augmentant ainsi la fiabilité de l’information. Si Origin a été en premier lieu pensé pour l’industrie agroalimentaire, cette solution peut également trouver des applications dans de nombreux autres secteurs. »

 

Source : https://www.bureauveritas.fr

IT’M Factory : un outil d’accompagnement des PME à la transition industrielle lancé par Mines Saint-Etienne et l’UIMM Loire

Mines Saint-Etienne et l’UIMM Loire ont inauguré la plateforme technologique IT’M Factory, destinée à accompagner les PME-TPE et ETI du département de la Loire vers l’Industrie du Futur. Concrètement, les entreprises auront accès à une usine numérique physique et virtuelle et à un espace de coopération qui fera travailler ensemble les entreprises, les chercheurs et les élèves-ingénieurs. Pour Pascal Ray, directeur de Mines Saint-Etienne : « IT’M Factory est la première plateforme technologique du programme Mines Saint-Etienne Tech à voir le jour. Inscrit dans le plan stratégique de notre école, Mines Saint-Étienne Tech accompagne les acteurs des territoires des régions Aura et Paca dans leurs projets liés à l’industrie du futur. Mines Saint-Etienne Tech allie plateformes industrielles, pédagogies innovantes, entrepreneuriat et design afin de déployer une offre complète : de la formation initiale et tout au long de la vie à l’accompagnement des entreprises dans leur transition numérique. Nous ciblons en priorité les secteurs suivants : médecine du futur, IOT, manufacturing, chemical engineering ».

Booster la compétitivité des entreprises

Pour développer leur compétitivité et répondre aux défis de l’Industrie du Futur, les PME-TPE et ETI seront sensibilisées et formées au Digital Lean, aux Nouvelles technologies IT, à la Place de l’Homme dans l’usine et à la Transition énergétique et écologique. Notons que la plateforme IT’M Factory est équipée d’outils, techniques et méthodes des plus modernes : digital lean, réalité virtuelle et augmentée, Scanner et Impression 3D, drone, Robot collaboratif (cobot), digital twin, Big Data, Intelligence Artificielle, Cyber sécurité des données et des réseaux, etc.). Le caractère unique d’T’M Factory tient à sa pluridisciplinarité, elle est ainsi représentative des savoirs faire R&D et de transfert de Mines de St Etienne, dans les domaines du Génie Industriel, du Management des hommes et des organisations, de l’environnement, des mathématiques, de l’informatique, des objets connectés et de la sécurité informatique.

Expertise de l’École des Mines de Saint-Etienne

IT’M Factory a été conçue en partenariat avec l’UIMM par l’Institut Fayol de l’École des Mines de Saint-Etienne qui mène des recherches pluridisciplinaires motivées par les problématiques des entreprises et organisations en lien avec leur développement et leur performance. Son caractère unique tient à sa pluridisciplinarité, elle est ainsi représentative des savoirs faire R&D et de transfert de Mines de St Etienne, dans les domaines du Génie Industriel, du Management des hommes et des organisations, de l’environnement, des mathématiques, de l’informatique, des objets connectés et de la sécurité informatique.

Source : https://www.mines-stetienne.fr

2 nouvelles accréditations Cofrac pour sa filiale Apave Certification

Apave Certification, filiale du Groupe Apave, acteur indépendant référent de la maîtrise des risques techniques, humains et environnementaux, annonce l’obtention de 2 nouvelles accréditions Cofrac (comité français d’accréditation). Elle enrichit, en effet, son offre à destination de l’industrie aéronautique et est désormais habilitée à délivrer la certification EN 9100 s’appuyant sur la norme ISO 170211 et EN 9104. Cette certification reconnue au niveau mondial permet aux acteurs du secteur aéronautique et spatial de valider et prouver la performance de leur système de management de la qualité. Apave Certification est également accréditée ISO 17 0652 pour sa marque de certification volontaire « C by Apave Produits Electriques ». Cette accréditation vient sanctionner le respect des exigences, notamment d’impartialité et de compétences, dévolues aux organismes certifiant des produits. Apave Certification détient désormais, pour l’ensemble de ses activités, 4 accréditations délivrées par le Cofrac, gages de son indépendance, de son impartialité et de la qualité de ses solutions et prestations.

Accréditation ISO 170211 pour la certification EN 9100 

Afin d’améliorer la qualité et la sécurité de tout le secteur de l’industrie aéronautique, la certification EN 9100 permet aux constructeurs et fournisseurs de produits et services des secteurs aéronautique et spatial de planifier, établir et mettre en oeuvre un système de management de leur démarche qualité.

Prévue pour s’adapter à toutes les organisations, indépendamment de leur taille et en tenant compte de leur environnement et de la complexité de leur fonctionnement, cette certification est la référence internationale incontournable, reconnue par tous les donneurs d’ordre de l’IAQG (International Aerospace Quality Group). Elle s’applique à tous les domaines de la chaîne d’approvisionnement : conception, fabrication des équipements, d’accessoires aéronautiques, pièces de rechanges, compagnies aériennes, constructeurs…

Accréditation ISO 170652 pour « C by Apave Produits Electriques » 

L’accréditation ISO 170652 vient attester et garantir la compétence, la cohérence des activités et l’impartialité des organismes de certification à réaliser des activités d’évaluation de la conformité d’un produit. Une accréditation que vient d’obtenir Apave Certification pour sa marque « C by Apave Produits Electriques ». Cette certification volontaire créée par Apave Certification, permet à toute entreprise d’évaluer la conformité d’un produit électrique à un référentiel de certification.

Source : https://www.apave.com/prestation/certification

Norme ISO 22000 : une nouvelle version pour une meilleure sécurité alimentaire

La norme volontaire internationale sur le management de la sécurité des denrées alimentaires vient d’évoluer. L’ISO 22000 version 2018 propose des exigences renforcées en matière de management et conserve le même objectif : aider les entreprises à garantir des produits et des aliments sûrs.

Utilisée par plus de 30 000 organisations dans le monde, dont 600 en France, l’ISO 22000 est une norme sans contrainte d’application. Sa version 2018 propose une nouvelle approche pour prévenir, éliminer et maîtriser les dangers d’origine alimentaire, du site de production au lieu de consommation.

Une affaire de management

La maîtrise opérationnelle de la sécurité des aliments ne peut rester l’apanage des équipes de production, de maintenance ou de logistique. Voilà le message délivré par la nouvelle norme ISO 22000. Désormais, la direction doit s’impliquer, pour engager un travail de réflexion visant à définir le contexte dans lequel s’inscrit l’organisme. La direction et les porteurs opérationnels de la démarche doivent identifier les enjeux internes et externes qui pourraient avoir un impact (positif ou négatif) sur la sécurité des produits.
Pour y parvenir, l’ISO 22000 impose de déterminer les parties intéressées pertinentes et comprendre leurs besoins et leurs attentes. Il s’agit par exemple des fournisseurs, des consommateurs, des distributeurs, des services officiels de contrôle ou encore des médias.
L’entreprise doit également déterminer les risques et les opportunités qui pourraient affecter les objectifs définis, afin d’agir dans les processus concernés. Les questions de fraude alimentaire, de prévention des actes malveillants, peuvent alors être intégrées à la réflexion.

Même structure que l’ISO 9001

« Cette démarche managériale est commune à celle qu’une organisation impulsera si elle utilise l’ISO 9001 pour la qualité, l’ISO 14001 pour l’environnement et l’ISO 45001 pour la santé et la sécurité au travail. Toutes les normes de systèmes de management impliquent totalement la direction pour développer une approche préventive et s’assurer que l’organisation en place permet d’atteindre les objectifs escomptés », résume Stéphanie Tiprez, cheffe de projet AFNOR en normalisation.

La sécurité des aliments, une question technique

Autre nouveauté importante de l’ISO 22000 : certaines exigences propres à la maîtrise opérationnelle de la sécurité des aliments sont réécrites. Les experts coordonnés par l’ISO consacrent l’expertise nécessaire pour mener cette activité parfois complexe, de par les compétences spécifiques qu’elle requiert. La nouvelle ISO 22000 est assez prescriptive concernant la méthode HACCP. Elle clarifie, pour les utilisateurs, les concepts de programmes prérequis (PRP), de programmes prérequis opérationnels (PRPO) et les points critiques pour la maîtrise (CCP). A noter également que l’approche PDCA (Plan-Do-Check-Act / Planifier-Réaliser- Vérifier-Agir) est désormais requise à deux niveaux : pour le système de management global, puis précisément au niveau de l’HACCP.

Dates clés


Plus de 35 pays se sont impliqués dès 2014 pour mettre à jour la version de 2005 de l’ISO 22000, toujours selon une approche ouverte et consensuelle, propre à l’exercice de la normalisation volontaire. Plus de 650 commentaires ont été examinés lors de l’enquête publique réalisée en 2017. Les entreprises certifiées ISO 22000 ont désormais trois ans pour faire évoluer leur système de management vers la nouvelle version de la norme, sous peine de perdre leur certificat.

Source : https://www.afnor.org

Le Lavoir Moderne obtient le label French Tech

Le Lavoir Moderne, l’entreprise parisienne lancée en 2014 par Alphadio Olory-Togbé et Pierre-Henri Canonne spécialisée dans le service écologique d’entretien du linge de maison avec livraison à domicile, annonce sa labellisation « French Tech ». La société a été également récompensée en février dernier par le Prix Mercure des Entrepreneurs 2018, valorisant les sociétés qui se démarquent par leur esprit et participent activement au développement des valeurs entrepreneuriales. Cette nouvelle récompense permettra au Lavoir Moderne de faire entendre sa voix auprès des principaux acteurs de l’aide au développement économique pour concrétiser ses ambitions. L’entreprise pourra ainsi bénéficier d’une visibilité nationale et internationale accrue, de l’appartenance à une communauté d’excellence et d’un accès prioritaire et coordonné aux offres des partenaires du Pass French Tech : Bpifrance, DGE, Business France, Coface, Inpi, AFPC et AFIC.

Alors qu’auparavant, la labellisation French Tech se faisait au niveau des villes, le gouvernement a décidé de créer un titre spécifique, « Le Pass French Tech ». Son objectif : permettre aux pépites françaises répondant à des critères très sélectifs (2 ans d’exercice minimum, un chiffre d’affaires entre 100 K€ et 50 M€ et un potentiel d’hyper croissance au service d’un projet innovant porté par une équipe solide et ambitieuse) de recevoir un soutien gouvernemental renforcé.

Le Lavoir Moderne, entreprise parisienne créée en 2014 par Pierre-Henri Canonne et Alphadio Olory-Togbe, propose un service écologique d’entretien du linge de maison avec livraison à domicile en 30 minutes. Avec ses trois gammes différentes disponibles : Essentiel, Classique et Tradition, Lavoir Moderne est une alternative quatre fois moins chère au pressing traditionnel. Engagée dans la protection de l’environnement, la société veut révolutionner les tâches ménagères et remplacer la machine à laver par un service « Prêt-à-Ranger® », très simple d’utilisation grâce à une application mobile gratuite.

Source : https://www.lavoirmoderne.com

Une formation certifiante pour limiter l’impact écologique et social du numérique

L’université de La Rochelle s’intéresse fortement à l’impact écologique et social du numérique. Alors que le premier label « Numérique responsable » co-crée par l’université et le Club GreenIT a été remis à la cité scolaire de Surgères, le Pôle Formation Continue de l’université propose les 14 et 15 juin, une formation courte pour sensibiliser les entreprises aux enjeux du numérique responsable.

Porteuse d’innovation, d’efficacité et de rapidité, la transition numérique a également un coût social et environnemental. Fabrication, envoi de mails, stockage en ligne, recherche internet, etc. l’impact des activités numériques est aujourd’hui mesuré. Ainsi, un salarié français émet en 1 an, à cause de son utilisation numérique, 360 Kg d’équivalent CO21. Cela correspond aux émissions d’un trajet d’environ 2500 km en voiture !

Heureusement des solutions existent, mais encore faut-il les connaître. Par exemple, on divise par 4 les émissions de gaz à effet de serre en allant directement à l’adresse du site web recherché.

La candidature de la Communauté d’Agglomération de La Rochelle, associée à la Ville, l’Université, Atlantech et Port Atlantique La Rochelle sous l’intitulé La Rochelle 1er territoire littoral zéro carbone a été sélectionnée en janvier 2018 par le Secrétariat Général à l’Investissement dans le cadre de l’appel à manifestation d’intérêt « Territoires d’innovation de grande ambition ». Le consortium rochelais a notamment travaillé sur les émissions de carbone de tout type.

Les entreprises du territoire ont donc tout intérêt à travailler sur la réduction de l’empreinte écologique et sociale de leurs activités numériques.

Certification « Numérique Responsable »

A l’initiative de Vincent Courboulay, maître de conférences et chercheur en informatique à l’université de La Rochelle, la formation certifiante « Numérique Responsable » a pour objectifs de :

– présenter de façon globale et cohérente les nuisances générées par les équipements informatiques,

– proposer une méthodologie et des outils pour une mise en pratique du numérique responsable,

– obtenir la certification « Numérique responsable » créée par le club GreenIt.

Une première session de formation a lieu les 14 et 15 juin à l’Université de La Rochelle. Une autre session est prévue en octobre 2018.

Source : https://www.univ-larochelle.fr

Journées de la Mesure 2018 : la mesure pratique au plus près des besoins !

Le Collège Français de Métrologie organise les JM 2018 les 3 et 4 octobre prochains à Lyon, Espace Tête d’Or. Les Journées s’articuleront autour de thèmes au centre des préoccupations : les bonnes pratiques dans l’industrie d’aujourd’hui, la normalisation et l’évolution de l’industrie. De la théorie à la pratique, ces journées se veulent pragmatiques et conviviales pour une mesure simple et concrète. Elles ont pour vocation de réunir les sujets intéressants tous les secteurs d’activités du monde de l’industrie ( la mécanique, le pharmaceutique, l’agro alimentaire, la biologie, l’environnement … ) et tous les publics ( techniciens de laboratoire, RQ, responsable métrologie… ). L’événement sera animé par : l’Aspec, BEA Métrologie, le Cetiat, le Cetim, le CT2M, JRI, Stil et l’Université de Bourgogne. Au programme :
– 2 conférences introductives : la « Métrologie dans l’Industrie du Futur » et les « Evolutions normatives ».
– 6 tutoriels sur les techniques de mesures industrielles, suivis de 12 ateliers pratiques pour manipuler les instruments et évaluer les facteurs d’influence de la mesure.
Les sujets abordés sont :
– Contaminants en salle propre : comptage particulaire et autres contrôles de surveillance,
– Grandeurs climatiques : hygromètres et enceintes climatiques,
– Cotation ISO, numérisation 3D : grandes et moyennes dimensions, états de surface,
– Instruments portatifs d’analyses : pH-mètres et pipettes,
– Gestion d’une mesure erronée : exemple en dimensionnel et pesage,
– Surveillance des ZAC dans le secteur pharmaceutique : température, humidité et pression.
L’événement est soutenu par des sponsors qui présenteront sur place des solutions et des technologies : Alicona, Blet Measurement Group, Cetiat, CMI, E+E Elektronik, Felix Informatique, Hexagon Manufacturing Intelligence, Implex, Sika, Stil, Trescal.

Source : https://www.cfmetrologie.com/fr/evenements/journees-de-la-mesure

Partenariat entre Everial et CDC Arkhineo pour l’archivage électronique

Everial, entreprise référente dans le traitement, la valorisation et la conservation des documents papier et électroniques a signé un partenariat avec CDC Arkhineo afin de garantir son engagement et sa fiabilité en termes d’archivage électronique à force probante.

Fort de son savoir-faire dans la numérisation, la GED (gestion électronique de documents) et la gestion des connaissances, Everial souhaite aller encore plus loin en proposant des solutions innovantes à ses clients, répondant aux nouveaux usages induits par la transition numérique et l’évolution du cadre réglementaire.

Au-delà de la simple sauvegarde, l’archivage doit honorer des conditions de traitement, permettant de garantir l’authenticité, la confidentialité ou encore la pérennité d’un document, quel qu’en soit le format originel.

Pour répondre à cette demande, émanant essentiellement des services des PME et grands groupes (RH, financier, qualité, etc.) Everial a fait appel à l’expertise d’un tiers archiveur, CDC Arkhineo, référent dans l’archivage à valeur probatoire des données électroniques depuis 15 ans.

Un partenariat fondé sur la mutualisation et la complémentarité

Le rapprochement d’Everial et de CDC Arkhineo s’inscrit dans l’optique d’obtention de la norme NFZ 42-026 au 1er semestre 2019. Cette dernière a vocation à permettre la destruction des originaux papiers – dès lors que ceux-ci auront été numérisés – et à conserver une copie numérique comme preuve probatoire. Pour cela, il est nécessaire d’avoir recours à des opérations de numérisation conformes (dite « numérisation fidèle ») pour assurer la conservation intègre de documents, volet sur lequel intervient CDC Arkhineo.

Signé le 15 février 2018, cet accord de partenariat entre les deux parties prenantes autorise Everial a être le revendeur de la solution Coffre-Fort Numérique Arkhineo. L’objectif est de capitaliser sur deux expertises distinctes mais complémentaires, celle d’un tiers archiveur physique (Everial) et d’un tiers archiveur électronique (CDC Arkhineo) pour proposer une solution de gestion des archives électroniques et papier à valeur probatoire et non probatoire ; en fonction des notions d’original porté par le document et des contraintes règlementaires liées. Cette plateforme documentaire permettra de piloter cet archivage, pour répondre aux exigences de la copie fiable. Au-delà, de la seule solution logicielle, cette alliance contribuera également à l’avènement de services complets et connexes en gestion documentaire.

Une ambition commune : répondre aux exigences de la copie fiable


À eux deux, c’est une chaîne de valeur globale que proposent Everial et CDC Arkhineo à leurs clients. Les bénéficiaires pourront ainsi assurer la gestion courante du document jusqu’à la gestion du sort final, qui peut reposer sur le versement définitif dans un espace sécurisé à force probante ou non.

Cette innovation s’inscrit dans une volonté de s’orienter vers la copie fiable et permettre ainsi le choix de conservation physique du document ou celui de la suppression du papier, en fonction d’une analyse de risques.

À propos de la force de ce partenariat, Henri Notaise, directeur de la BU Digital chez Everial, déclare « Ce qui nous intéresse, c’est de proposer à nos clients la possibilité de conserver un document numérique à valeur probatoire, qu’il soit nativement électronique ou papier numérisé, de sorte à pouvoir supprimer, à terme, le papier, conformément à la certification NFZ 42-026 que nous souhaitons décrocher. À cet effet, le choix de CDC Arkhineo a été naturel car c’est un acteur incontournable du marché, directement lié au Groupe de la Caisse des Dépôts, ce qui est à mon sens une garantie supplémentaire. Avec ce rapprochement, nous sommes en capacité de fournir à nos clients une chaîne de valeur globale d’archivage à la fois physique et numérique tout en respectant les critères indispensables de fidélité et de fiabilité des copies. »

Source : https://www.everial.com

Exægis acquiert MARKESS

Exægis, l’agence de notation du numérique, annonce l’acquisition de Markess International SAS. Le rachat de cette société d’études indépendante lui permettra de devenir l’acteur de confiance unique pour ceux qui financent, investissent et font le numérique.

Créée en 1997, Markess est une société d’études indépendante, experte des marchés du numérique et des stratégies de transformation digitale. Elle est notamment incontournable dans les domaines de l’expérience client, du cloud, des RH, de la dématérialisation, de l’analytique, du big data, ou encore pour sa connaissance pointue du secteur public. Chaque année, plus de 5 000 décideurs sont interviewés et 90 000 lecteurs sont répertoriés, dont un tiers correspond à des décideurs à la recherche de retours d’expérience. La crédibilité de Markess dans son domaine est telle que de grands groupes lui font confiance comme Microsoft, IBM, Orange, Cegid, GFI ou encore Konica Minolta.

Exægis est l’agence de notation du secteur du numérique. Depuis sa création en 2011, elle a développé une offre complète pour faciliter le financement, le développement et l’investissement des acteurs du numérique. Au-delà de la notation, exægis délivre les labels TRUXT et propose une garantie opérationnelle qui couvre les risques de défaillance des entreprises qu’elle a jugées fiables. Elle propose également une offre de notation pour les startups, à travers la plateforme RateAndGo.co.

Après une phase de croissance organique ininterrompue depuis 7 ans, exægis accélère son développement et renforce son pôle analyse et recherche, avec l’acquisition le 29 mai 2018 de l’entreprise Markess.

Laurent Briziou, président d’Exægis, a décelé dans l’entreprise de Sylvie Chauvin, « un gisement de talents, de processus et de savoir-faire, capables de renforcer la connaissance d’exægis dans ses activités d’études. Grâce à cette acquisition, les offres de notation d’exægis bénéficieront d’un prisme supplémentaire, avec l’évaluation du dynamisme sous-jacent des entreprises étudiées« .

Aujourd’hui, Exægis souhaite donc développer Markess au sein de sa stratégie de croissance, tout en continuant à se projeter sur d’autres projets de développement.

Sylvie Chauvin, fondatrice de Markess, « se félicite de ce rapprochement avec exægis qui apporte une palette d’expertises et de compétences complémentaires à celles de Markess. Cette union est une belle opportunité qui va déboucher sur de nouvelles offres de services innovantes destinées aux clients et à tous les acteurs qui investissent dans le digital« .

Sous la responsabilité de Ronan Mevel, qui prend désormais la direction opérationnelle de la société, MARKESS devient donc MARKESS by exægis.

Source : https://www.exaegis.com