Avec la solution Video.Kaizen, Assystem Technologies et K-process digitalisent le lean management

Assystem Technologies, partenaire de référence en ingénierie, qualité et solutions digitales, et K-process s’associent pour proposer Video.Kaizen, une solution digitale dédiée à l’amélioration continue de la performance des chaînes de production industrielles.
Construire l’usine du futur passe par la transformation digitale de la chaîne de production, à travers l’intégration de nouvelles technologies comme la cobotique, la data science ou l’Internet des objets. Mais le défi est également de repenser les outils, procédés et méthodes dédiés à son amélioration continue et donc de digitaliser le lean management.
Avec Video.Kaizen, l’amélioration continue de la chaîne de production entre dans l’ère digitale. Cette solution, applicable à tous les secteurs d’activité, s’appuie sur le logiciel KL2 conçu et développé par K-process et utilise les ressources de la vidéo. Le principe : filmer la chaîne de production – l’environnement, les actions et les interactions – pour permettre une analyse fine de l’existant, puis la définition et la mise en oeuvre d’améliorations. La capture vidéo s’effectue notamment au moyen de lunettes à caméra intégrée portées directement par les opérateurs intervenant sur le site.
Video.Kaizen offre une retranscription précise du fonctionnement de la chaîne de production, sans risque d’erreur ou de mauvaise interprétation. La solution permet ainsi de résoudre les problèmes éventuels et d’identifier les axes d’amélioration, au plus près des besoins : suppression des gaspillages, optimisation des gestes et des process, amélioration des conditions de travail, de la qualité et de la productivité.
Le facteur humain étant clé dans la conduite du changement, Video.Kaizen permet, en outre, à partir des films réalisés, de créer de la documentation vidéo utilisable comme support de formation. Le recours à la vidéo facilite pour les collaborateurs la compréhension des améliorations à apporter, et ainsi l’acquisition des compétences nécessaires.
Video.Kaizen s’intègre dans la suite logicielle DigitaLean créée par Assystem Technologies pour accompagner ses clients sur leurs projets d’usine du futur. Outre Video.Kaizen, DigitaLean propose deux autres solutions dédiées au chronométrage de tâches et à l’amélioration des flux par la géolocalisation.
Rémy Bourges, Directeur Usine du Futur chez Assystem Technologies : « Avec Video.Kaizen, nous apportons une réponse aux acteurs industriels souhaitant s’engager dans la digitalisation du ‘lean management’. Analyse et compréhension des dysfonctionnements de la chaîne de production, définition et implémentation des améliorations et même formation des collaborateurs : la solution Video.Kaizen nous permet d’accompagner nos clients dans toutes les étapes de la transformation 4.0 de leur démarche d’amélioration continue. Le changement n’est en effet pas seulement technologique. Il est aussi organisationnel et culturel. »
Sébastien Savarino, Co-gérant chez K-process : « Grâce à l’expertise industrielle d’Assystem Technologies, nous pouvons proposer à nos clients français et internationaux respectifs une solution à forte valeur ajoutée pour l’accompagnement au déploiement de KL²®. »

Source : https://www.k-process.com

Laboratoires FILL-MED et Novacap s’en remettent à Veeva pour augmenter leurs performances qualité

Les Laboratoires FILL-MED, une société du Groupe Filorga, et Novacap ont choisi la solution QualityOne de Veeva pour moderniser le management de leurs systèmes qualité. Veeva QualityOne offre aux entreprises une application unique leur permettant de centraliser les activités, documents et données relatifs à la qualité, assurer une gestion continue des processus et garantir une collaboration efficace entre les différentes parties concernées, dans le but d’améliorer les performances de leur chaîne de production, et notamment le time-to-market.
Laboratoires FILL-MED est une entreprise française en forte croissance spécialisée dans le développement et la fabrication de dispositifs médicaux innovants pour la médecine esthétique. L’entreprise utilisera QualityOne pour satisfaire en continu aux exigences des différentes normes et réglementations applicables et améliorer la tenue des audits internes et externes. « Veeva QualityOne est un élément essentiel de notre stratégie visant à faire de la qualité et de l’innovation deux piliers clés de l’entreprise », déclare Christophe Foucher, Directeur Général des Laboratoires FILLMED. « Nous aurons désormais plus de flexibilité dans le maintien de la qualité et une plus grande efficacité dans le développement de nos produits. »
En outre, Novacap est l’un des principaux fournisseurs de matières premières et sous-traitants pour les industries pharmaceutiques et cosmétiques. QualityOne permet à Novacap de collaborer étroitement avec ses clients tout en maintenant la conformité réglementaire GMP (good manufacturing practice) et FDA (food and drug administration).
« Veeva a démontré son large éventail de compétences dans l’industrie pharmaceutique hautement réglementée au cours des 10 dernières années », commente Alexandre Gultzgoff, DSI de Novacap. « La réputation de l’entreprise, ses solutions éprouvées de cloud computing et son engagement à répondre aux exigences de notre industrie ont été des facteurs déterminants dans notre décision. »
Par ailleurs, QualityOne aide les fabricants de la cosmétique et de la chimie à améliorer continuellement la qualité de leurs produits, de la R&D à la commercialisation. Avec plus de 30 clients dans l’industrie chimique, de la cosmétique et des biens de consommation, Veeva continue sur sa lancée avec une application cloud unifiée et facile à utiliser qui aide les entreprises à moderniser la gestion de la qualité et le contrôle documentaire.
« De plus en plus d’entreprises reconnaissent qu’une approche plus agile est aujourd’hui indispensable pour gérer le cycle du produit, de sa conception à sa commercialisation », déclare Romain Marcel, Directeur Général Veeva Europe. « Veeva, à travers sa solution QualityOne, répond à la demande croissante d’une solution innovante en matière de management de la qualité. Notre approche innovante permet à un plus grand nombre d’entreprises de mettre sur le marché leurs produits plus rapidement, tout en améliorant la collaboration entre les équipes et en augmentant l’efficience des processus métiers. »

Source : https://www.veeva.com/

SGS Transparency-One cartographie les produits à marque propre bio d’Intermarché

Pour répondre aux démarches qualité de plus en plus poussées des distributeurs, SGS Transparency-One a lancé l’année dernière une solution digitale unique qui permet aux industriels de découvrir, analyser et suivre tous leurs fournisseurs, composants et sites de production de leur supply-chain. Objectif : améliorer la maîtrise des risques sociaux et environnementaux, et assurer la sécurité alimentaire des produits tout en renforçant la confiance des consommateurs.

Intermarché a choisi la solution SGS Transparency-One pour cartographier l’ensemble des produits bio à marque propre. Initié il y a 8 mois, ce projet a déjà permis d’identifier plus de 4 200 fournisseurs de tout rang et répertorier les certificats qualité, sociaux et environnementaux.

L’évolution de la réglementation sur le devoir de vigilance et la demande de plus en plus forte de transparence des clients poussent les entreprises à renforcer leurs outils de management et de maîtrise de la traçabilité des produits tout au long de la chaîne d’approvisionnement, de la production primaire jusqu’au consommateur.

« Notre solution, en partenariat avec Transparency-One, permet de créer une cartographie détaillée des différents acteurs qui composent cette chaîne, de collecter et de vérifier les certifications détenues par les fournisseurs et de réaliser des recommandations ciblées selon les niveaux de maîtrise de chacun. A ce jour, c’est la solution la plus aboutie du marché, le nouveau réseau social des fournisseurs ! », s’enthousiasme Guy Escarfail, Vice-Président, Global Head of SGS Digital Supply Chain Solutions.

L’outil utilise les données de la chaîne d’approvisionnement en temps réel pour identifier les origines des produits et réduire les risques. Chaque client peut ainsi examiner tous les sites enregistrés dans leur(s) chaîne(s) d’approvisionnement et s’assurer que les fournisseurs sont en conformité avec les réglementations et certifications en matière de sécurité produit, de systèmes d’audit social et environnemental.

« Pour les Mousquetaires, la démarche qualité et la traçabilité sont essentielles ! L’offre en produits labellisés bio augmente fortement. Nous nous sommes aperçus que nous n’avions pas une vue détaillée de toute la chaîne d’approvisionnement des filières bio de nos produits à marque propre. Afin de pouvoir répondre aux questions des consommateurs, nous avons donc sollicité SGS Transparency-One pour qu’ils établissent une cartographie précise, jusqu’à la production primaire. Nous avançons pas à pas et nous encourageons tous les fournisseurs de tous les rangs à rejoindre cette initiative afin d’apporter à nos clients toutes les garanties en termes de qualité, de sécurité alimentaire et d’engagements environnementaux et sociaux », ajoute Olivier Touzé Directeur qualité et développement durable Groupement les Mousquetaires.

Source : https://www.transparency-one.com

CNES : ses certifications Qualité ISO 9001 et Environnement ISO 14001 confirmées

D’excellents résultats couronnent l’audit du Système de Management du CNES, réalisé en octobre 2018 dans ses quatre centres d’excellence à Paris Les Halles, Paris Daumesnil, Toulouse et Kourou. À l’issue de celui-ci, le maintien des certifications Qualité ISO 9001 et Environnement ISO 14001 a été confirmé par AFNOR Certification.
De nombreux points forts ont été identifiés, notamment :
– L’approche collaborative et innovante dans la réflexion sur la stratégie et le positionnement du CNES,
– La déclinaison et l’appropriation des enjeux environnementaux : renforcement des compétences en écoconception sur les moyens sol lanceurs, approche Analyse de Cycle de Vie des systèmes orbitaux, Journées environnement dans les établissements, …
– La richesse du dispositif d’écoute des parties intéressées et des utilisateurs des programmes d’innovation,
– La maitrise opérationnelle des activités, basée sur l’audit de l’Ensemble de Préparation des Charges Utiles (EPCU), la localisation et le Maintien en Conditions Opérationnelles (MCO) au Centre Spatial Guyanais (CSG), et de l’activité Ballons sur le site d’Aire sur Adour,
– La robustesse du management des projets : préparation des opérations du sismomètre SEIS de la mission InSight, projet Gestion des performances du Système d’Information, projet Callisto, projet de rénovation du bâtiment Lagrange Sud au Centre Spatial de Toulouse (CST),
– Les performances du CSG, tenue du planning des lancements et la démarche d’amélioration Amelie partagée avec les salariés,
– La dynamique d’amélioration engagée aux Ressources Humaines,
– Le processus sécurité sous maîtrise dans un contexte caractérisé par de fortes contraintes,
– La pertinence des activités de management des connaissances à tous les niveaux de l’organisation.
À l’annonce de ces résultats remarquables, Jean-Yves Le Gall, Président du CNES, a déclaré : « Les nombreux points forts identifiés illustrent la capacité d’adaptation du CNES à un environnement évolutif et complexe et démontrent la résilience de son système de management. Pour la deuxième année consécutive, aucune non-conformité n’a été relevée, ce qui constitue un résultat sans précédent. Cette réussite est le fruit des efforts et de l’engagement quotidien des collaborateurs du CNES que je tiens à féliciter. Il démontre que nous maintenons notre niveau d’exigence et d’ambition porté par nos quatre centres d’excellence. »

Source : https://www.cnes.fr

La HAS affine ses indicateurs pour mesurer le résultat au bénéfice du patient

La Haute Autorité de Santé (HAS) a publié les résultats 2018 de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé français. Parmi les nouveautés cette année, figure pour la première fois en France un indicateur qui mesure les complications après une chirurgie orthopédique ainsi qu’un ensemble d’indicateurs sur la chirurgie ambulatoire, modalité d’hospitalisation qui concerne aujourd’hui plus d’un patient sur deux. La HAS définit également ses priorités pour les années à venir : renforcer la prise en compte du point de vue du patient et étendre la mesure de la qualité au-delà des établissements de santé en s’intéressant à l’ensemble du parcours du patient, quels que soient les lieux de vie et de soins.

La HAS déploie un ensemble de travaux pour améliorer la qualité et la sécurité des soins, en ville comme dans les établissements de santé. à partir des recommandations de bonne pratique, elle évalue si les soins prodigués au sein des établissements de santé garantissent aux patients qualité et sécurité. Elle mobilise deux dispositifs en particulier : elle certifie tous les 4 ans l’ensemble des établissements de santé français, publics comme privés, et recueille chaque année auprès d’eux des indicateurs de qualité et de sécurité des soins (IQSS), dont l’expérience et la satisfaction des patients.

Les résultats sont restitués aux établissements afin que les professionnels améliorent leurs pratiques. La plupart est publiée sur le site www.scopesante.fr, afin d’informer l’ensemble des Français sur la qualité des soins délivrés dans les établissements. Ils entrent aussi dans le dispositif d’incitation financière à la qualité (IFAQ).

Complications après une chirurgie orthopédique : premiers résultats publiés en France

Depuis décembre 2016, la HAS met à disposition des professionnels de santé un indicateur de résultat concernant la sécurité du patient en chirurgie orthopédique. Il mesure un type de complications pendant le séjour à l’hôpital ou en clinique : les événements thromboemboliques (thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire) qui surviennent après la pose d’une prothèse totale de hanche ou de genou.

En 2018, le taux national de ces événements est de 0,88 % dans la population cible, en diminution de 0.4 points depuis 2016. Parmi les 740 établissements de santé concernés, 47 ont significativement plus de complications qu’ils ne le devraient au regard des caractéristiques des patients pris en charge. La mesure de cet indicateur a permis d’identifier une utilisation non pertinente de l’écho-Doppler, examen d’imagerie médicale qui vise à observer la circulation sanguine et la présence de caillots dans les veines. La réalisation systématique de cet examen n’est pas recommandée en surveillance post-opératoire des patients, notamment car il peut conduire à une prescription de traitements anticoagulants non justifiée et non dénuée de risque. Ces résultats montrent que la pertinence des pratiques cliniques peut et doit encore s’améliorer au bénéfice du patient.

Un ensemble complémentaire d’indicateurs pour évaluer la chirurgie ambulatoire

La chirurgie ambulatoire est définie comme une chirurgie programmée et réalisée au cours d’une hospitalisation de moins de 12h, sans hébergement de nuit. La HAS a développé des indicateurs de qualité et de sécurité des soins pour évaluer cette modalité de prise en charge dont le développement est soutenu par les pouvoirs publics : elle a en 2018 étendu la mesure de l’expérience et de la satisfaction des patients (e-Satis) à cette modalité de prise en charge et déployé 6 indicateurs mesurant les pratiques professionnelles.

Le regard croisé des résultats (évaluation par les patients et par les professionnels) nous permet de tirer 4 enseignements principaux :

  • La prise en charge en chirurgie ambulatoire est jugée correcte par les patients.
  • Ils sont bien informés en amont de l’intervention, ce qui est essentiel en chirurgie ambulatoire où le patient doit avoir un rôle particulièrement actif.
  • Les professionnels rassurent efficacement les patients à chaque étape de leur parcours ambulatoire.
  • L’organisation de la sortie et du retour à domicile doit être améliorée : l’évaluation du patient pour la sortie – qui vérifie que le patient est apte à rentrer chez lui – n’est tracée que dans 77 % des dossiers. Seule la moitié des patients a été recontactée par l’établissement dans les jours suivants la sortie. De plus, un quart déclare ne pas avoir reçu d’informations sur les signes ou complications devant les conduire à recontacter l’établissement en urgence et deux tiers rapportent qu’ils n’ont pas eu le numéro de téléphone de la personne ou du service à contacter en cas d’urgence.

Améliorer l’organisation de la sortie demeure, d’ailleurs, une priorité pour tout patient hospitalisé. Ces résultats confortent le constat déjà posé en 2016 avec la mesure d’autres indicateurs. Des progrès doivent porter sur la lettre de liaison à la sortie : sa remise systématique au patient et la qualité de son contenu doivent s’améliorer. En effet, la sortie est un moment critique qui, si elle est mal organisée, peut conduire à des ruptures dans la continuité des soins et à des ré-hospitalisations évitables.

Trois priorités pour les prochaines années

La HAS se donne trois priorités pour les années qui viennent en matière de politique d’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins pour les patients. En premier lieu, elle va renforcer la mesure de la qualité directement auprès des patients et élargir les patients traceurs en visite de certification. En second lieu, la HAS articulera encore plus étroitement ses domaines d’intervention : ainsi la prochaine version de la certification, en cours de développement, prendra mieux appui sur les recommandations et intégrera plus systématiquement les résultats des indicateurs.

Enfin, la HAS va concevoir des indicateurs de qualité des parcours, une mission qui lui est confiée dans le cadre du chantier « Qualité et pertinence » de Ma santé 2022 et qu’elle copilote avec l’Assurance Maladie et France Assos Santé. Ces indicateurs évalueront la qualité de la prise en charge des personnes atteintes d’une pathologie, quels que soient les lieux de soins et de vie (ville, hôpital, lieu de résidence…). La HAS a démarré avec la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), pathologie pour laquelle existent déjà des recommandations de bonnes pratiques et un guide parcours. Suivront en 2019 d’autres pathologies à fort enjeu de santé publique comme l’obésité, l’insuffisance rénale chronique, l’insuffisance coronaire stable, l’accident vasculaire cérébral…

 

Source : https://www.has-sante.fr