Stordata passe un cap avec sa certification ISO 27001

Afin d’accompagner la forte croissance de son activité Cloud et garantir à ses clients les meilleures conditions de sécurité, la DSI de Stordata a initié une démarche de certification ISO/IEC 27001, qu’elle a obtenue en mars 2020.

Réalisée par l’Afnor, organisme certificateur accrédité au niveau international, cette labélisation atteste de l’efficacité du Système de Management de la Sécurité de l’Information (SMSI), de la qualité de l’organisation de la DSI et des bonnes pratiques mises en œuvre pour garantir la sécurité des informations traitées et hébergées.  Cette certification engendre pour les clients de Stordata une réévaluation régulière des risques encourus tout en visant à une amélioration continue de la sécurité de leurs données.

« Le respect des standards internationaux de sécurité les plus exigeants s’inscrit dans la politique qualité de Stordata. Cette certification garantit à nos clients que nos services Cloud sont délivrés dans le respect de l’état de l’art en matière de management de la sécurité, et qu’elles sont inscrites dans une démarche d’amélioration continue. », se félicite Laurent Benamou, DSI et Responsable de la Sécurité des Systèmes d’Information de Stordata.

Selon l’étude ISO Survey  publiée en septembre 2019, seules 223 sociétés sont aujourd’hui garantes de cette norme en France. Parmi elles, seules 101 sont certifiées par l’Afnor – quasiment toutes dans le secteur IT – dont 43 dans le secteur « Cloud et hébergement de données ».

« En intégrant les exigences de la norme ISO 27001 au quotidien dans nos activités Cloud, nous répondons aux exigences de certains clients, en leur assurant que nous avons mis en place des processus de sécurité de l’information conformes aux meilleures pratiques en vigueur. Celles-ci couvrent les personnes, les processus et la technologie afin de protéger leurs données internes et confidentielles, leur propriété intellectuelle et les informations relatives à leur clientèle. », précise Olivier Teichman, PDG de Stordata.

Expert reconnu sur le marché français des solutions de gestion de données et de la transformation SI, Stordata accompagne, depuis 30 ans, ses clients dans la mise en œuvre de projets structurants grâce à des compétences uniques. Il propose l’une des offres les plus complètes du marché : Audit, conseil, intégration, maintenance et support, services managés, services Cloud et Formation. Il réunit, aujourd’hui, 170 collaborateurs répartis sur 6 agences et a enregistré sur son dernier exercice publié, un chiffre d’affaires de 60M€. 

Source : https://www.stordata.fr/

Isilog/Isiware et le Covid : du PCA au télétravail

Editeurs de solutions logicielles d’ITSM et GMAO (IWS) et de gestion de la Qualité (Normea), le groupe Isilog/Isiware a placé l’ensemble de ses salariés en télétravail à temps plein, pour faire face  à la crise sanitaire en France. Cette organisation du travail avait été anticipée dans un Plan de Continuité d’Activité. Leur Directeur Général, Erwan Baglione, témoigne de l’agilité de ses équipes  totalement opérationnelles en télétravail pour répondre aux besoins de leurs clients.

Contribuer à maintenir l’activité des clients

Dans le cadre de l’évolution de la pandémie du Covid-19, le groupe Isilog/Isiware a mis en place un Plan de Continuité d’Activité. Ce dernier assure la capacité technique et humaine de l’entreprise à effectuer l’ensemble de ses prestations à distance, assurant ainsi à ses clients une qualité de service inchangée.

Aujourd’hui, nous sommes capables de réaliser toutes les tâches habituelles à distance. C’est vital, d’autant que nous comptons parmi nos clients des entreprises dont l’activité est stratégique en ce moment, qu’il s’agisse des SDIS qui comptent sur notre solution de gestion du patrimoine ou des CHU qui ont choisi notre solution de gestion de la qualité ou notre solution de GMAO. Nous avons décidé qu’ils seraient prioritaires sur toutes les demandes, afin de leur permettre d’exercer leur métier du mieux possible. » explique Erwan Baglione. « Si le rythme d’activité s’est considérablement ralenti dans certaines activités du secteur public, nos clients du privé et de l’industrie commencent à redémarrer. La maintenance opérationnelle par exemple est maintenue à 100%, notamment au sein des usines ouvertes qui ne peuvent pas se permettre de subir des pannes en ce moment. Nous sollicitons aussi nos clients pour réfléchir à la réalisation de projets pour lesquels nous manquons habituellement de temps et ainsi pouvoir réagir rapidement dès la sortie de la crise ”.

Des équipes opérationnelles et en sécurité en une demi-journée

Début 2013, le groupe Isilog/Isiware mettait en place son PCA afin de prévenir les risques principaux comme la cybersécurité ou bien encore les incendies. Dans le cadre de l’évaluation des risques professionnels, la Responsable Qualité nous alerte régulièrement sur l’apparition de nouveaux risques. “Grâce à nos certifications ISO 9001 et 20000,  l’établissement d’un Plan de Continuité d’Activité était déjà prévu et s’est concrétisé. Dès le mois de février, nous nous sommes mis en alerte, en intégrant un risque de suspicion de pandémie dans notre PCA. Nous avions donc anticipé le sujet, en intégrant un scénario catastrophe type en nous appuyant sur les autres procédures prévues ”, explique Juliana Harrivel, Responsable Qualité chez Isilog/Isiware.

Dès l’annonce du gouvernement, nous avons placé toutes nos équipes  en télétravail dès le début de l’après-midi. Chacun était 100% opérationnel le soir même. Nous avions anticipé notre infrastructure informatique en ce sens, infrastructure déjà maîtrisée  pour permettre le télétravail de nos consultants depuis quelques années déjà. Techniquement, nous étions donc prêts. Notre seule difficulté a été de déplacer le matériel informatique qui n’était pas mobile mais nous avons su trouver les moyens de rapidement résoudre cette dernière. Cette anticipation nous a permis d’éviter tout problème fonctionnel, d’agir rapidement tout en assurant la sécurité et la confidentialité des données ”, confirme Erwan Baglione.

Le télétravail : un défi humain

Dès février également, la direction et les ressources humaines du groupe Isilog/Isiware ont communiqué auprès de leurs collaborateurs sur les gestes barrières, la possibilité d‘un confinement et de la généralisation du télétravail. Dans un souci de prévention, une cellule de crise en interne a été mise en place afin d’accompagner les salariés à vivre cette situation sans précédent.

Depuis le début de la crise, nous mettons tout en oeuvre pour communiquer très régulièrement auprès de nos collaborateurs. Deux fois par semaine, nous réunissons le Comité de Direction à distance et faisons un point par mail à toutes les équipes, concernant le suivi de l’activité, la santé des collaborateurs ou la préparation à la sortie de la crise.Dans cette situation, il faut être agile sur le plan de l’infrastructure informatique, mais aussi et surtout humainement, en s’adaptant au cas de chacun. Par exemple, nous avons créé un groupe sur notre réseau social interne Yammer où tout le monde est invité à donner de ses nouvelles, poster des photos… Nous apprenons à nous connaître différemment tout en restant chez nous, ce qui sera sûrement un des points positifs à retenir de cette crise ”, note Erwan Baglione.

Le télétravail : plus qu’une simple réorganisation

Quatre collaborateurs témoignent sur leur nouvelle organisation du travail à domicile. Au sein du groupe Isilog/Isiware, tout était déjà techniquement prévu pour que chacun puisse travailler de chez soi. Cependant, mettre en oeuvre une nouvelle organisation en urgence et dans un contexte de pandémie a été, d’après Marjorie Depiole, Chargée de missions RH, un réel défi humain. Elle déclare :  Opérationnellement, le passage en télétravail a été très rapide. En une demi-journée seulement, l’ensemble des équipes était opérationnel à leur domicile grâce à une équipe IT réactive. Techniquement, nous n’avons donc pas rencontré de problème. Dans cette situation exceptionnelle, le plus dur à “gérer” est le côté humain : il est difficile de se retrouver seul à la maison, à gérer son travail, ses enfants et les inquiétudes liées à cette crise sanitaire. Nous avons donc mis en oeuvre tout ce qui était possible pour continuer à communiquer avec nos équipes et accompagner chaque collaborateur du groupe. Pour cela, nous réunissons le comité de direction et les représentants du personnel plusieurs fois par semaine et communiquons par mail sur la santé de l’entreprise, du personnel, un rappel des gestes barrières… L’objectif étant de rassurer et de donner une visibilité maximale sur les semaines à venir. » Elle ajoute : « Nous  avons aussi créé un groupe sur notre réseau social interne Yammer “ Gardons le contact. Ce fil de discussion permet à chacun d’échanger sur des sujets autres que le travail : nous partageons des photos de nos bureaux “maisons”, de nos activités et de celles que nous partageons avec nos enfants ! 

Nouvelles bonnes pratiques d’organisation au travail

Pour les consultants et commerciaux déjà rodés au télétravail, l’organisation du quotidien n’est pas modifiée. Pour autant, travailler à la maison reste pour eux un tout autre challenge. Travailler au bureau ou de chez moi ne change pas grand-chose… mis à part le manque de contact humain qui au bout de quelques jours se fait sentir. Je remarque que nous remplaçons beaucoup les mails par le téléphone et c’est finalement beaucoup plus agréable. Dans cette situation où nous sommes confinés par obligation, travailler permet de garder le moral et conserver du lien social, c’est très important! explique Solenne Cilza, Consultante Isilog.

Au service informatique, nous avons pour habitude de travailler sur site avec du matériel plutôt lourd. Cependant, nous avons pu profiter de la mécanique d’accès aux réseaux à distance grâce au protocole déjà mis en place pour les équipes en télétravail. Nous n’avions plus qu’à emmener nos écrans et PC à la maison pour poursuivre  nos missions , déclare Marc Bonnaud, Directeur Edition IWS pour Isilog. Durant les premiers jours, nous avons en quelque sorte découvert les avantages et inconvénients du télétravail. Notamment au niveau de la communication : à distance, impossible de prendre la main spontanément sur l’écran de l’autre ! Cette expérience nous force à remettre en question certaines de nos pratiques de travail pour mieux communiquer. Finalement, je pense que nous conserverons beaucoup de nos nouvelles pratiques une fois le confinement levé. 

Une nouvelle organisation pour garantir le service client

Du côté du support technique, toute l’équipe s’est prêtée à une réorganisation totale de ses activités afin d’offrir une qualité de service inchangée pour les clients.  Nous avons redéfini les rôles de chacun pour que nos clients et nos consultants en interne subissent le moins de  de baisse de charge possible. Nous travaillons notamment avec des CHU et CHR qui ont besoin que leurs projets soient opérationnels très vite : il est donc crucial de se montrer très réactif et d’être rapidement opérationnels , note Adrien Martineau, Responsable Support pour Isilog/Isiware. Au niveau organisationnel, nous avons mis en place de nouvelles pratiques. Par exemple, il a été décidé de réaliser un point téléphonique avec l’ensemble de l’équipe deux fois par jour, afin d’évoquer les projets en cours, mais aussi de prendre des nouvelles les uns des autres. Je suis assez fier de pouvoir dire que notre équipe s’est très rapidement adaptée et que nous gardons 100% d’efficacité pour nos clients !

Source : https://www.groupe-isilog.fr/

Veeva : David Egée nommé Directeur de la Stratégie Cosmétique

Veeva, le spécialiste mondial de solutions cloud permettant de collaborer efficacement avec les différents acteurs de la chaîne de production – formulation, qualité, affaires réglementaires, allégations – et d’accélérer la mise sur le marché de nouveaux produits, annonce l’arrivée dans ses rangs de David Egée en tant que Directeur de la Stratégie Cosmétique. Il reportera directement à Romain Marcel, Directeur Général de Veeva France et Europe, et aura pour mission de booster le développement de l’activité de Veeva dans l’industrie cosmétique en intégrant les nouvelles tendances clés du secteur.

Ingénieur diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts et Métiers, David Egée a commencé sa carrière chez General Electric Healthcare au poste de Manufacturing Process Leader. Une expérience au cours de laquelle il a obtenu la certification Green belt 6 Sigma attestant son expertise de leader en matière de lean manufacturing (réduction du gaspillage), et découvert les fondamentaux de l’industrie et de la production, ainsi que de la qualité. Il explore ensuite le secteur logistique en tant que Lead Order Fulfilment Specialist, en connexion constante avec les équipes Ingénierie et Industrialisation des Nouveaux Produits.

En 2008, David Egée rejoint Parfums Christian Dior dans le service Ingénierie des Procédés pour les ateliers de conditionnement Soins et Parfums, où il pilote une équipe de sept chefs de projets en charge de concevoir les outillages et gérer les projets d’acquisition des équipements de production. Son rôle évolue deux ans plus tard avec sa promotion en tant que Responsable de production de l’atelier de conditionnement Parfums, une équipe de 120 personnes à engager sur la voie de la performance industrielle et de la qualité produit. En 2013, il se retrouve en charge des laboratoires de microbiologie, chimie, sensoriel et industrialisation des vracs, puis rapidement de la totalité de la qualité pour Parfums Christian Dior.

« Au cours de vingt années passées sur le terrain, j’ai pu observer les nouveaux défis que représentaient la qualité produit et le poids croissant des autorités règlementaires, avec les inspections et les contraintes que celles-ci représentent » explique David Egée. « Chez Dior, j’ai dû entamer une transformation profonde de l’approche de la qualité, dans une industrie encore artisanale. Avec ses outils très performants, qui apportent une réelle mise à niveau évolutive de la conformité des activités qualité, la rencontre avec Veeva s’est avérée déterminante dans la mise en place de cette stratégie.»

« À mesure qu’un nombre croissant d’entreprises du secteur cosmétique découvrent les possibilités offertes par les nouvelles technologies en matière d’efficacité opérationnelle, Veeva connaît un véritable engouement à travers le monde et dans la région européenne » déclare Romain Marcel, Directeur Général de Veeva France et Europe. « Recruter David était une évidence compte tenu de son expérience poussée dans le secteur et de sa connaissance du marché. Il est reconnu en France pour sa capacité à faire évoluer les acteurs cosmétiques. Ses activités en production et en qualité, associées à son approche « lean » lui donnent une vraie valeur ajoutée pour anticiper, comprendre et répondre de manière simple et pertinente aux attentes de nos clients. Sa vision et les positions qu’il a occupées au sein de l’industrie cosmétique nous permettront d’accompagner les acteurs du marché dans leur développement, conformément à notre stratégie orientée vers nos clients. »

Source : https://www.veeva.com

SGS Academy : des classes virtuelles pour accompagner les entreprises pendant le confinement

SGS Academy, le département Formation du Groupe SGS France qui compte un catalogue de 250 formations, propose, jusqu’à fin avril, des classes virtuelles aux entreprises. Un dispositif disponible sur la plateforme SGS Academy (utilisée dans 25 pays). 2 sessions d’initiation seront offertes : la 1ère sur le thème de l’Excellence Opérationnelle (24 avril à 14h), la 2nde sur la certification de compétence du responsable d’audit RGPD (29 avril, 14h). Elles rencontrent déjà un franc succès, la session du 10 avril sur le Lean Management a rassemblé 60 participants de tous types d’entreprises. Inscription : fr.formation@sgs.com

Session 1 – vendredi 24.04.20

L’excellence opérationnelle vise à améliorer toutes les composantes d’une entreprise tant sur le plan organisationnel qu’humain. Cette démarche peut être mise en œuvre dans tous les types d’organisation quelle que soit leur taille ou leur secteur d’activité. Méthodes agiles, développement des collaborateurs (par la résolution des problèmes notamment) et qualité de vie au travail (grâce à des organisations innovantes favorisant la motivation), sont quelques-uns des thèmes qui seront abordés.

 Session 2 – mercredi 29.04.20

Cette formation vise à introduire les participants aux connaissances et compétences nécessaires pour préparer et réaliser des audits de la conformité au RGPD et autres règles nationales de protection des données (audit de première, seconde et tierce partie). Elle est destinée aux auditeurs, managers, DPO, responsables de la sécurité de l’information, responsables de la conformité, et toute personne susceptible de devenir et/ou d’exercer des missions d’audit interne ou externe de conformité au RGDP, ou appelées à préparer la certification de traitements de données au sens de l’article 42 du RGPD, et qui recherche l’obtention d’un certificat d’auditeur de la protection des données avec une qualification en tant qu’auditeur agréé EuroprivacyTM/®.

« Donner accès à la formation, au plus grand nombre, via nos classes virtuelles, c’est notre façon de nous adapter à cette période difficile. Continuer d’aider les entreprises à se projeter dans l’après Covid-19 et ainsi permettre à leurs collaborateurs d’envisager le futur plus sereinement, nous a semblé important. Nous poursuivrons, si nécessaire, cette action au-delà du mois d’avril, en fonction des annonces du Gouvernement » explique Gary Richard-Hilaire, chargé d’affaires Formation au sein de SGS Academy.

Planning des prochaines classes virtuelles de la SGS Academy

– 17 avril           Formation qualifiante Responsable d’audit IRCA 45001

– 20 / 24 avril    Responsable d’audit IRCA 14001

– 20 / 24 avril    ISO 26262

– 20 / 24 avril    Formation Certifiante Data Protection Officer DPO/CNIL (examen inclus)

– 20 / 21 avril    Révision des acquis de compétences du DPO en vue d’obtenir la certification DPO/CNIL

– 22 / 23 avril    L’essentiel des exigences ISO 9001, ISO 14001 et ISO 45001 (présenté autour d’un jeu ludique)

– 24 avril           L’Excellence Opérationnelle (ou Lean Management) – initiation offerte

– 27 / 28 avril    Formation ISO 50001

– 29 avril           Initiation à l’Audit de conformité RGPD – initiation offerte

 

Source : https://www.sgsgroup.fr/fr-fr/solutions/sgs-academy

Afyren obtient le label de la Fondation Solar Impulse « Efficient Solution »

La Fondation Solar Impulse, qui oeuvre à rapprocher écologie et économie, cherche à distinguer 1000 solutions respectueuses de l’environnement et économiquement viables, avec son label « Efficient Solution ». A ce jour, elle en a déjà labellisé 378 partout dans le monde. La France regorge d’initiatives qui, selon les critères requis, sont à la fois réalisables technologiquement, et avec un vrai bénéfice économique, socio-économique et environnemental, puisque, sur ces 378 entreprises, 298 sont françaises.

Afyren, fleuron de la BioTech française, est fière d’avoir été reconnue par la Fondation Solar Impulse et labellisée «Efficient Solution ». Afyren, a conçu et développe une innovation de rupture dans la chimie verte, pour contribuer à une bioéconomie bas carbone et circulaire. Ses biomolécules issues de la revalorisation de biomasse non alimentaire, sont des solutions innovantes et performantes pour les secteurs de la cosmétique, des arômes et parfums, de la nutrition humaine et animale et de la chimie fine.

Aujourd’hui les produits de consommation quotidiens sont encore trop largement composés de molécules issues du pétrole. Réduire notre dépendance au pétrole et nos émissions de CO2 passe aussi par notre capacité à remplacer ces dérivés du pétrole dans nos produits de tous les jours. C’est ce que fait Afyren avec :
– une technologie innovante, respectueuse de l’environnement, zéro déchet, basée sur des micro-organismes naturels et brevetée au niveau mondial, au travers de 9 familles de brevet, fruit de plus 10 années de R&D.
– à partir de ressources naturelles secondaires ; ce procédé de fermentation permet de fabriquer des molécules biosourcées à partir de biomasse non alimentaire ; plus précisément des résidus de la culture de betterave à sucre qui sont aujourd’hui peu valorisés. Dans le futur il sera possible de produire ces molécules à partir d’autres
matières premières végétales et aussi des biodéchets.
– des produits durables : nous fabriquons ainsi les premiers acides organiques naturels, 100% biosourcés, sans OGM, et certifiés bio. Fabriqués à partir de carbone renouvelable, l’empreinte carbone de ces produits est divisée par trois en comparaison de leur équivalent pétrosourcé.
– une création de valeur : les produits Afyren permettent de créer de la valeur sur toute la chaîne : pour la filière des produits biosourcés en proposant des solutions innovantes, performantes, durables mais aussi compétitives pour des secteurs très variés. Mais aussi celle de l’agriculture et en particulier la culture du sucre en leur offrant de nouveaux
débouchés.

Nicolas Sordet, Président d’Afyren déclare « Les molécules biosourcées que nous produisons sont totalement substituables aux produits actuellement pétro sourcés, de manière compétitive, sans changement de comportement nécessaire de la part des clients, et répondent à de nombreux enjeux climatiques et environnementaux. Nous sommes très fiers de cette reconnaissance de la Fondation de Bertrand Piccard qui montre qu’Afyren peut aider activement le monde entier à atteindre une croissance économique verte. »

Fondée en 2012 et dirigée par Nicolas Sordet et Jérémy Pessiot, Afyren réunit 20 collaborateurs sur ses sites de Lyon, Clermont-Ferrand et sa future usine à Carling. Elle est lauréate du Concours Mondial d’Innovation 2030 dans la catégorie « Protéines végétales et chimie du végétal » et a été nommée ambassadrice de la French Tech – Chimie verte à la COP21. Afyren est notamment accompagnée dans son développement par les Régions Auvergne Rhône-Alpes et du Grand Est, de Bpifrance, et de la Banque Européenne d’Investissement. Enfin, elle a été sélectionnée
dans FT120 en janvier 2020.

Source : https://www.afyren.com

École des Mines de Saint-Étienne : ses partenaires labellisés « Campus d’Excellence »

La Ministre du Travail, le Ministre de l’Éducation Nationale et de la Jeunesse, la Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation et la Secrétaire d’État auprès du Ministre de l’Économie et des Finances ont labellisé  3 Campus des Métiers et des Qualifications (CMQ) dont l’École des Mines de Saint-Étienne est actrice : le Campus des Métiers et des Qualifications Industrie du Futur Sud, pour lequel son campus Georges Charpak Provence à Gardanne (Bouches-du-Rhône) est le lieu totem de la filière microélectronique et informatique.

Campus des Métiers et des Qualifications Industrie du Futur Sud fédère autour du Campus Georges Charpak Provence de l’École des Mines de Saint-Étienne les acteurs des filières microélectronique et informatique en formation initiale, continue, recherche et innovation. Son objectif ? Construire des parcours de formation du CAP au Doctorat en microélectronique-informatique sur les enjeux de l’Industrie du Futur : fabrication additive, robots collaboratifs, drones, simulation avancée, réalité augmentée, intelligence artificielle, internet des objets (IOT), qui feront du campus gardannais une vitrine de la microélectronique-informatique.

La labellisation permet au CMQ, unique en France sur cette thématique, de bénéficier d’un accompagnement du Programme d’Investissements d’Avenir – Territoire d’Innovation Pédagogique, qui financera l’aménagement et les équipements pour la formation dans la Salle Blanche du campus. Mines Saint-Étienne se positionne ainsi comme un acteur clé régional et national de l’Industrie du Futur en s’adossant sur un écosystème performant, qui propose des formations de Bac-3 à Bac+8 et qui fédère les partenaires socio-économiques et établissements de formation secondaire et supérieure sur les thématiques concernées. Partenaires de la filière : Aix-Marseille Université, Mines Saint-Étienne avec son Campus Georges Charpak Provence, Académie d’Aix-Marseille, Conseil Régional Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur, STMicroelectronics, Industries Méditerranée (UIMM, Pôle Formation Sud).

L’École des Mines de Saint-Étienne est aussi actrice de 2 autres CMQ récompensés par la labellisation :
– Campus des Métiers et des Qualifications Design Matériaux et Innovation
Ce CMQ fédère les établissements de formation de Bac-3 à Bac+8, ainsi que les acteurs socio-économiques des métiers d’art et d’artisanat en Auvergne-Rhône-Alpes. Porté par l’école d’ingénieurs SIGMA de Clermont-Ferrand, il s’appuie entre autres sur des compétences transversales à Clermont, Lyon, Saint-Étienne, Grenoble.
–  Campus des Métiers et des Qualifications Design et Habitat
Porté par le Groupement d’Intérêt Public de l’Académie de Lyon, ce CMQ vise à être force de proposition sur des problématiques touchant les professionnels de la construction en Auvergne-Rhône-Alpes.

 

Source : https://www.mines-stetienne.fr/

Covid-19 : point de situation de Witbe

Witbe, spécialiste de la Supervision de Qualité d’Expérience utilisateur (QoE) des services numériques, dresse un point de situation relatif à la pandémie de Covid-19 et ses conséquences sur son organisation et son activité. Depuis la mi-mars, conformément aux recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé et des autorités locales, la majeure partie des collaborateurs de Witbe travaille à distance. Seules les équipes en charge de la production et de l’expédition des robots continuent d’oeuvrer sur site, lorsque c’est nécessaire, dans le respect le plus strict des règles de sécurité sanitaire préconisées pour lutter contre la propagation de ce virus.

Witbe a pris toutes les mesures nécessaires afin de garantir le plus haut niveau de service :
• Les équipes des Ventes et des Opérations sont opérationnelles et assurent la relation commerciale et le déploiement des projets ;
• Les équipes Qualité sont disponibles et assurent le support pour tous les clients, en Europe et aux Etats-Unis ;
• Les équipes R&D continuent d’oeuvrer normalement au développement des nouvelles versions des produits, avec de nouvelles fonctionnalités, et ne devraient subir aucun retard notable ;
• Les équipes administratives et financières remplissent leurs missions dans des conditions normales grâce aux outils de travail à distance mis en place par Witbe.

Ce contexte troublé souligne combien l’intégrité et la qualité d’expérience des services numériques revêt une importance capitale au quotidien et combien il est indispensable pour les opérateurs, broadcasters ou grandes entreprises de disposer de produits de monitoring permettant de travailler en mode à distance. Au regard de ces circonstances exceptionnelles, pour toute la durée du confinement, Witbe a pris la décision d’activer toutes les licences produit possibles, permettant à ses clients une utilisation illimitée des technologies Witbe (activation de licences sur des équipements supplémentaires ou augmentation du nombre d’utilisateurs). Le groupe espère ainsi accompagner au mieux ses clients dans l’évolution de leurs organisations.

La situation étant par nature extrêmement évolutive et sa durée aujourd’hui incertaine, il est pour l’instant difficile d’en quantifier les effets sur l’activité en 2020, la conjoncture économique dégradée étant de nature à entraîner des arbitrages ou une baisse de la demande au cours des prochains mois. Face à cette situation, Witbe a pris contact avec ses partenaires financiers pour la mise en oeuvre de l’ensemble des dispositifs bancaires et gouvernementaux afin de préserver sa trésorerie au cours des prochains mois.

Marie-Véronique Lacaze, Président de Witbe, déclare : « En premier lieu, je souhaite remercier l’ensemble des collaborateurs de Witbe qui ont su faire preuve, au cours des derniers jours, d’une large mobilisation et d’une grande capacité d’adaptation pour garantir le même niveau de service. Grâce à leur implication, Witbe est aujourd’hui en ordre de marche satisfaisant sur le plan opérationnel en dépit de circonstances extraordinaires. Witbe a déjà traversé de nombreuses crises et je suis persuadée qu’avec l’implication de tous, collaborateurs, clients et partenaires, la société saura faire face à ce nouveau défi. »

Witbe développe et commercialise des technologies permettant d’analyser la qualité réellement perçue par l’utilisateur des services et des applications proposés par les opérateurs et les fournisseurs de contenus et de services numériques.

Source : https://www.witbe.net

Alcatel-Lucent Enterprise Rainbow certifié HDS en santé

Alcatel-Lucent Enterprise a obtenu la certification Hébergement de Données de Santé (HDS) par l’Afnor pour sa solution de communication et de collaboration Rainbow, dénommée Rainbow Service HDS. Elle propose des solutions de communications et d’infrastructures réseaux, sur site, hybrides et dans le cloud. 

Partenaire historique des établissements de santé, en France et dans le monde, Alcatel-Lucent Enterprise connecte les patients, les soignants et personnels des établissements de santé avec leur écosystème, sur leur territoire, afin d’optimiser les parcours de soin. « Rainbow Service HDS » est une plate-forme professionnelle de communication et de collaboration dans le cloud, flexible et ouverte, disponible sous deux formes complémentaires :

  • Une application « clé-en-main » de communications unifiées (Unified Communications as-a-Service / UCaaS), disponible sur PC/Mac et smartphone (Android/IOS) offrant des fonctionnalités de communication et de collaboration avancées (gestion des contacts, présence, chat, audio/vidéo, conférence, partage d’écran et de fichiers, et plus encore) à destination des soignants et personnels administratifs, afin de simplifier leur quotidien,
  • Une Plateforme de Communication as-a-Service (Communication Platform as à Service / CPaaS) offrant un ensemble d’APIs permettant à tout développeur, éditeur ou intégrateur d’enrichir rapidement et simplement son application métier, en bénéficiant du savoir-faire reconnu d’Alcatel-Lucent Enterprise : la communication, la connectivité, la collaboration et la notification.

L’offre « Rainbow Service HDS », développée en France, est certifiée sur l’ensemble des activités du référentiel HDS grâce aux activités d’hébergement d’OVH Healthcare (certifié en tant qu’hébergeur d’infrastructure avec des data centers localisés en France) et aux activités d’infogéreur d’Alcatel-Lucent Enterprise. Elle couvre exhaustivement les six catégories de la certification HDS. En complément des trois premiers champs d’application couverts par OVH Healthcare, l’hébergeur de Rainbow, que sont :

  1. la mise à disposition et le maintien en condition opérationnelle des sites physiques permettant d’héberger l’infrastucture matérielle du système d’information utilisé pour le traitement des données de santé,
  2. la mise à disposition et le maintien en condition opérationnelle de l’infrastructure matérielle du système d’information utilisé pour le traitement de données de santé,
  3. la mise à disposition et le maintien en condition opérationnelle de la plateforme d’hébergement d’applications du système d’information,

Le périmètre de la certification obtenue par Alcatel-Lucent Enterprise couvre les champs d’application 4, 5 et 6 prévus dans le référentiel d’exigences relatives à la protection des données de santé à caractère personnel, que sont :

  1. la mise à disposition et le maintien en condition opérationnelle de l’infrastructure virtuelle du système d’information utilisé pour le traitement des données de santé,
  2. l’administration et l’exploitation du système d’information contenant les données de santé,
  3. la sauvegarde externalisée des données de santé.

En plus de la certification HDS, l’offre Rainbow est certifiée ISO 27001, norme relative au management de la sécurité de l’information, et est conforme au RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données).

Source : https://www.al-enterprise.com

Afnor : des normes et une plateforme pour des « masques barrières »

Depuis sa mise à disposition le 27 mars, le modèle de masque barrière proposé par Afnor aux fabricants et aux particuliers a été téléchargé plus de 300 000 fois  par des profils variés : industriels à même de lancer des fabrications en série, artisans, particuliers adeptes du Do it yourself, ou encore collectivités pour leurs personnels. 

Le cahier des charges AFNOR Spec – Masques barrières pour les masques barrières a été créé grâce à la mobilisation intense par Afnor pendant 7 jours de 150 experts, avec un engagement particulier du Comité Stratégique de la filière industrielle Mode et Luxe. Ce cahier des charges est maintenant référencé par une note interministérielle du 29 mars pour la fabrication de masques dits de catégorie 2, afin de faciliter l’équipement rapide de la population saine, apportant ainsi une défense complémentaire face au coronavirus. Ce nouveau modèle de masque en tissu répond à un niveau de performance moins ambitieux que celui des masques chirurgicaux et FFP2, destinés en priorité aux professionnels de santé. En complément des gestes barrières, le masque barrière apporte néanmoins une réelle protection pour les salariés, les agents publics et toute la population saine qui pourra s’en équiper, pour des trajets domicile-travail par exemple.

Une version anglaise mise à disposition

Le cahier des charges Afnor Spec – Masques barrières 1.0 a déjà été diffusé à tous les homologues francophones d’Afnor, notamment sur continent africain, grâce à l’association Réseau Normalisation et Francophonie. Ce standard est également, depuis le 31 mars, disponible en langue anglaise, en libre téléchargement et diffusé au sein de l’Organisation Internationale de Normalisation (ISO). Des ONG internationales sont également en cours d’analyse du document Afnor en vue de le reprendre dans leurs fiches techniques, notamment dans le cadre de leurs actions en faveur des pays en développement.

Favoriser le partage d’informations validées 

Au même titre que le document Afnor Spec est désormais un repère parmi toutes initiatives visant à créer des modèles de masques, Afnor publiera sur son site Internet des recommandations pour mettre en œuvre le document, à destination des différentes catégories d’acteurs concernés (industriels, artisans, laboratoires, collectivités, utilisateurs…).

Chaque personne ayant téléchargé Afnor Spec 1.0 sera également informée des mises à jour à venir du document publié le 27 mars. Plusieurs suggestions d’améliorations du cahier des charges sont parvenues à Afnor de la part des personnes ayant téléchargé le document. Une mise à jour du référentiel est d’ores et déjà envisagée afin d’intégrer la plupart de ces améliorations. 

 Plateforme solidaire

Face à la demande croissante de masques pour équiper la population saine, Afnor ouvre la plateforme solidaire masques-barrieres.afnor.org pour favoriser les mises en relation entre les confectionneurs ou fabricants qui s’engagent à offrir leurs masques barrières et les demandeurs que sont les villes et les employeurs souhaitant équiper leurs salariés ou agents. Elle vise à favoriser la rencontre entre les offreurs potentiels de masques barrières (industriels, entreprises sociales et solidaires, artisans, voire particuliers) et les demandeurs potentiels que sont les entreprises prioritaires, les organismes publics, les entreprises de manière générale, ainsi que les salariés, à l’échelle des territoires. Seuls y seront référencés les masques réputés avoir été confectionnés à partir des recommandations du document « Afnor Spec – Masques barrières ». Les offreurs de masques s’engageront également à les proposer, suivant les cas, soit gratuitement, soit à prix coûtant.  Olivier Peyrat, directeur général d’Afnor déclare à propos de la plateforme « Notre objectif est de favoriser les contacts utiles, sur tout le territoire. Nous incitons tous les confectionneurs de masques barrières, quel que soit leur statut (industriel ou artisan, voire particulier), à s’inscrire sur la plateforme pour contribuer à l’effort de solidarité nationale et le signaler à toutes celles et ceux qui sont en quête de masques pour améliorer la protection de leurs salariés, de leurs agents ou de leurs administrés. » 

Des tutoriels pour se lancer

Afnor a publié une foire aux questions pour répondre aux premières interrogations partagées par les utilisateurs du modèle Afnor Spec. De nombreux tutoriels existent aussi sur Internet, parmi lesquels les cinq suivants. particuliers et adeptes de la couture, ils aident tout un à chacun à franchir le pas pour confectionner des masques barrières :

L’ISO soutient la fabrication de respirateurs en ouvrant l’accès à ses normes

Sur proposition d’Afnor, l’ISO a décidé d’ouvrir l’accès à une série de normes volontaires utiles pour fabriquer des matériels tels que les respirateurs

Près de 30 documents sont consultables en ligne pour faciliter les mutations d’activités de tous les industriels ayant choisi de venir en renfort pour produire des respirateurs, nécessaires à la survie des malades du Covid-19 les plus gravement atteints.

Cette initiative complète celle engagée par le Comité européen de normalisation qui, dès le 20 mars, a mis à disposition des normes relatives à la fabrication de masques chirurgicaux et FFP2 ainsi que d’autres dispositifs médicaux et équipements de protection.

 

Source : https://www.afnor.org/actualites/coronavirus-telechargez-le-modele-de-masque-barriere/

Le Groupe Bouhyer fonde sa transition numérique sur les solutions RFID de Timcod & Inotec

Le Groupe Bouhyer, un des leaders européens de la fonderie de contrepoids, mise sur les nouvelles technologies RFID (Radio Frequency IDentification) pour mener à bien sa transition numérique et fait appel à Timcod & Inotec pour dématérialiser ses ordres de fabrication et garantir à terme l’authenticité de ses contrepoids.

Spécialisé dans la fabrication de contrepoids en fonte pour engins de manutention et de travaux publics, ce groupe industriel de 350 personnes réalise des pièces de 500 kg à 20 tonnes, alliant l’industrie traditionnelle de la fonderie à la haute technologie d’usinage numérique. Pour relever les défis de l’industrie du futur, le groupe s‘est engagé dans un projet global de ‘Transition Numérique’ (dématérialisation, cobotique, robotique, ou encore objets connectés…). Pour l’accompagner dans sa démarche, le Groupe Bouhyer a fait appel à son partenaire historique Timcod.

Le projet consistait à dématérialiser les ordres de fabrication (OF), aujourd’hui encore traités sous forme de papier et soumis à rudes épreuves (poussière, chaleur, présence de flammes résiduelles…). L’objectif était donc de remplacer ces documents par une solution RFID afin d’identifier et de tracer les pièces en cours de production. Pour ce faire, Timcod a construit une Solution RFID intégrant notamment l’expertise de son fournisseur, la société Inotec, pour déterminer le tag durci qui pourrait résister à cet environnement hostile et être lu facilement à distance. C’est le tag durci inotag PG, ultra-résistant et compact, dans sa version UHF on-metal qui a été proposé, testé et retenu.

Un premier modèle de contrepoids de grandes dimensions est désormais identifié à l’aide de 2 tags durcis inotag PG où un logement en creux est prévu pour recevoir chaque tag, masqué ensuite par du mastic pour le rendre invisible. Une fois identifiée, la pièce va ensuite subir différentes opérations d’ébarbage, usinage numérique, peinture, finition. Aucune de ces opérations n’aura nuit aux tags ni à leurs performances de lecture.

C’est dès le début du cycle de parachèvement que la fixation des tags est effectuée ainsi que l’encodage du numéro de série unique de la pièce par les opérateurs à l’aide de terminaux RFID durcis, via un programme spécifique développé par Timcod. Les terminaux mobiles serviront aussi aux Contrôleurs de Gestion pour faciliter et fiabiliser leurs inventaires.

Pour Jean-Pierre Moreau, Directeur des Systèmes d’Information du Groupe Bouhyer, « Ce projet de traçabilité RFID s’inscrit dans une démarche globale d’amélioration continue. Grâce au suivi de production dématérialisé, nous bénéficions d’un état d’avancement et d’encours de nos pièces en temps réel. Cela nous permet de gagner en efficacité, d’éviter tout risque d’erreur et aussi de limiter les manipulations dangereuses de charges lourdes puisque nos opérateurs n’ont plus à vérifier visuellement les références gravées sur nos pièces ».

Un autre avantage de ce projet a déjà été envisagé par le Groupe Bouhyer. En effet, les tags RFID inotag PG pourront jouer un rôle crucial pour limiter la contrefaçon et garantir l’authenticité des contrepoids, devenus des pièces de sécurité majeures pour bon nombre d’applications (stabilité des grues, équilibre des chariots de manutention…).

Frédéric Martin, Directeur Commercial Région Ouest chez Timcod et Serge Lanot, Responsable Projets RFID chez Inotec confient : « Nous sommes heureux d’avoir été retenus pour ce projet d’envergure et d’avoir pu accompagner le Groupe Bouhyer dans le déploiement de cette solution. Compte tenu des fortes contraintes, la technologie RFID s’est révélée la plus fiable et la plus performante pour identifier chaque pièce efficacement et durablement. »

Ce projet offre de nombreuses perspectives de développement au Groupe Bouhyer qui prévoit déjà d’étendre cette solution à l’ensemble de ses pièces, avec un déploiement sur ses deux sites de production et une utilisation multiple des performances et avantages de la RFID en Industrie.

Source : https://www.timcod.fr/