Production et Assurance Qualité dans l’industrie pharmaceutique

Greenly : son offre bancaire de calcul d’empreinte carbone

Avec Greenly, l’application mobile gratuite permettant à ses utilisateurs de mesurer automatiquement l’empreinte carbone de leurs dépenses, les banques peuvent désormais utiliser sa technologie pour leurs propres applications mobiles. En pratique, les banques partenaires pourront intégrer le Référentiel Carbone Participatif Greenly dans leur application mobile via une API, c’est-à-dire une interface de programme applicatif, qui analyse chaque transaction bancaire et évalue son empreinte carbone selon le produit ou le fournisseur.

Pour le client final, le but principal est d’aider à mieux gérer son budget, en atteignant des objectifs de réduction carbone qui peuvent aussi faire économiser de l’argent. Selon une estimation de Greenly, les changements de comportements individuels permettraient de réduire de 10 à 20 % son empreinte personnelle. A l’échelle d’un pays, l’implication des particuliers est essentielle pour atteindre l’objectif fixé par l’ONU de réduction des émissions de 7,6% par an d’ici 2030, afin de réduire le réchauffement climatique à moins de 2°, en ligne avec l’Accord de Paris.

Pour Greenly, les partenariats bancaires sont l’occasion de diffuser sa vision d’une comptabilité carbone systématique qui viendrait en complément de la comptabilité financière. Il s’agit de mesurer le vrai coût d’une dépense de biens ou de services. En France, 43 millions de personnes utilisent au moins une fois par mois leur application bancaire mobile ou web. L’API de Greenly permet de diffuser très largement cette mesure d’impact personnel. L’objectif est d’imposer une nouvelle norme en matière de suivi de son empreinte personnelle et d’inciter le plus grand nombre à prendre conscience de son impact. Grâce à son partenariat avec BNP Paribas, déjà 2 millions d’utilisateurs en France pourront avoir une première estimation de leur empreinte carbone.

Un moteur d’analyse carbone intelligent

Les estimations de Greenly sont basées sur l’analyse de chaque libellé de transaction, auquel est appliqué un « facteur d’émissions monétaire ». Cette méthode de calcul est typiquement promue par l’Ademe afin d’estimer le contenu carbone des biens et des service achetés par les entreprises pour établir leur bilan carbone. Elle est désormais accessible aux particuliers. Ce coefficient correspond au ratio des émissions d’un produit sur son cycle de vie rapporté au prix. Il peut aussi être calculé en effectuant le ratio des émissions d’un secteur d’activités rapporté à son chiffre d’affaires. Greenly enrichit son API d’une mesure de ces ratios par fournisseurs, pour présenter aux particuliers des autres solutions pour leurs dépenses du quotidien.

Pour Raphaèle Leroy, directrice de l’engagement chez BNP, première banque à adapter le Référentiel Carbone Participatif Greenly à ses applications mobiles : “Nous sommes très heureux d’initier ce partenariat avec une de nos plus belles startups à impact. C’est l’occasion d’aider nos clients à mesurer et améliorer leur empreinte au quotidien. Nous avons été séduits par la démarche participative et transparente de Greenly, qui permet d’initier d’aider nos clients à estimer toujours plus finement leurs émissions. Cette approche est en phase avec notre volonté de nous engager davantage en faveur d’un développement plus durable, en mettant à disposition de nos clients des outils concrets.

Pour assurer l’intégrité et la transparence de ses évaluations, Greenly travaille avec un Conseil Scientifique. Il guide la société dans la mise en œuvre d’un programme de travail visant à évoluer vers des analyses d’impact plus fines, jusqu’à la notation carbone des fournisseurs et des produits consommés afin de mieux orienter les choix des utilisateurs. Le Conseil est composé d’acteurs reconnus de la mesure de l’empreinte carbone, notamment Yann Leroy, professeur à Centrale, ou Caroline Alazard, qui a créé GreenNext avec Nicolas Houdant, DG du cabinet Energies Demain. D’autres experts sont également présents : Michel Bauer, auparavant chercheur au CNRS et professeur à HEC et Luc Julia, expert mondialement reconnu en l’intelligence artificielle, vice-président de l’innovation et directeur de la technologie de Samsung et co-créateur de Siri.

Pour Michel Bauer, président du Conseil Scientifique de Greenly : “Le travail de Greenly permet déjà une prise de conscience extrêmement positive, non seulement auprès du grand public via son application mobile ou ses partenaires bancaires, mais aussi au sein des banques elles-mêmes. Elles comprennent désormais la nécessité de faire évoluer leurs catégories budgétaires pour tenir compte de l’empreinte carbone. Cette démarche d’amélioration continue est une avancée très notable. Elle mérite d’être saluée et encouragée.

Enfin, Alexis Normand, DG et co-fondateur de Greenly déclare : “Nous sommes au début d’une révolution dans les paiements qui intégreront bientôt une comptabilité carbone. Celle-ci est essentielle si nous voulons disposer des bons outils pour piloter notre transition écologique personnelle et collective. Nous sommes très fiers de voir que nos partenaires bancaires français font partie des premiers au monde à intégrer cette comptabilité. Elles contribuent ainsi à imposer une nouvelle norme, qui doit se diffuser partout dans le monde. En définitive, si nous pouvons commencer à faire économiser à chaque Français une ou deux tonnes de CO2 par an d’émissions, cela revient déjà à planter plus de 100 millions d’arbres. L’écologie ne doit pas être punitive, mais au contraire, récompenser les bons comportements. C’est que nous faisons”.

Manche : job dating en visioconférence le 24 novembre 2020

Cette année, afin de s’adapter à la situation sanitaire, l’agence d’attractivité propose aux jeunes de s’inscrire à des job-dating organisés sur une plateforme web.

Le 24 novembre, sous la forme d’un salon virtuel, la plateforme du jobdating Ma nouvelle vie dans la Manche, disposera les stands des entreprises manchoises qui recrutent : Alten, LM Wind Power, Assystem, CAP Emploi 50, Orano, Groupe ECIA, Naval Group, Lactalis, Manpower, Isigny Sainte Mère, Unither, La Fondation Bon Sauveur, Segula Technologies, EDF Flamanville, Fiva, Elle & Vire, Les Maîtres laitiers du Cotentin, Crédit Mutuel, Yelloh Village, Biscuiterie Saint Michel.

Les postes à pourvoir sont nombreux et divers. Pour les cadres, des postes dans la qualité seront proposés. Grâce à leur connexion internet, les candidats pourront se déplacer librement dans cet espace de recrutement digital, découvrir les offres à pourvoir, échanger avec les entreprises de la Manche, assister à des conférences sur l’installation dans la Manche, regarder des présentations vidéo du territoire et participer à leurs rendez-vous de recrutement individuels préprogrammés.

Enfin, Latitude Manche est l’agence d’attractivité de la Manche. Née de l’envie collective de valoriser le territoire de la Manche, cette agence a pour mission d’augmenter la notoriété du département au-delà de ses frontières, de créer des synergies entre acteurs pour les fédérer dans ce projet d’envergure. L’un des buts de la démarche d’attractivité est de faire de la Manche un territoire accueillant et privilégié pour les nouveaux talents (salariés et porteurs de projets), en valorisant le cadre de vie et les opportunités professionnelles. Cela passe, entre autres, par la mise en relation des entreprises et des profils de salariés afin de faciliter les recrutements. 

Again mesure les ondes de ses produits en production pour une meilleure santé

Grâce à ce partenariat, Again assure un process précis et rapide de test et de contrôle en production du taux d’absorption d’ondes générées par ses produits. Internalisé dans son centre de reconditionnement, ce processus permet à la société de certifier qu’elle ne dépasse pas les valeurs réglementaires et ainsi qu’elle protège ses consommateurs. Le Débit d’Absorption Spécifique est un indicateur rendant possible l’évaluation de l’énergie des ondes électromagnétiques absorbées par le corps humain lors de l’emploi d’un produit radioélectrique (smartphone, tablette, ou autres objets connectés).

Thierry Le Goff, CEO de Itancia et Again déclare : « Chez Again, nous avons décidé de répondre au besoin de transparence des consommateurs et revendeurs en leur apportant par une mesure précise la garantie du respect des valeurs réglementaires et d’origine. Nous voulons faire savoir que le reconditionné français rime avec qualité et sécurité, qu’il est équivalent à un produit neuf. Pour cela, nous parions sur un « made in france » innovant et surtout respectueux du consommateur au coeur de notre entreprise. C’est pourquoi nous avons choisi un partenaire comme ART-Fi qui conçoit et fabrique aussi en France. »

Dans une démarche écologique et de qualité, la société met tout en œuvre pour assurer une connectivité optimale à ses utilisateurs tout en accordant une attention à leur santé en proposant des produits reconditionnés fonctionnels et performants.

Chez Again, nous avons décidé de répondre au besoin de transparence des consommateurs et revendeurs en leur apportant, par une mesure précise, la garantie du respect des valeurs réglementaires et d’origine. Nous voulons faire savoir que le reconditionné français rime avec qualité et sécurité, qu’il est équivalent à un produit neuf. Pour cela, nous parions sur un “made in France” innovant et surtout respectueux du consommateur au coeur de notre entreprise. C’est pourquoi nous avons choisi un partenaire comme ART-Fi qui conçoit et fabrique aussi en France.” remarque Thierry Le Goff, CEO de Itancia et Again.

Quant à Stéphane Pannetrat, CEO de ART-Fi, il conclut : “Je suis ravi de notre collaboration avec again dont nous partageons la vision. En
apportant une solution révolutionnaire pour mesurer les ondes de manière rapide et précise en production, nous ouvrons de nouvelles perspectives industrielles et oeuvrons à positionner la France comme pionnière en la matière. Ensemble, notre mission est de réconcilier les ondes, la santé et la connectivité et de nous positionner comme facilitateur pour mieux répondre aux attentes des consommateurs
.”

Une certification NF pour les masques grand public

A l’heure où les entreprises et les administrations considèrent l’acquisition des masques comme des achats courants, un nouveau signe de qualité apparaitra sur les produits de fabricants de masques barrières.

Connue de 84 % des Français et déjà apposée sur de nombreux produits grand public et à destination des professionnels, la certification NF est désormais apposée sur les masques en tissu fabriqués selon les recommandations du document Afnor Spec S76-001 et de son équivalent européen, le CWA 17553:2020 – Community face coverings.

Afnor Certification est aujourd’hui le seul organisme accrédité par le Cofrac pour certifier des masques grand public.

Les caractéristiques certifiées NF

La certification NF appliquée aux masques barrières consiste à réaliser des tests prouvant la qualité des produits. Afnor Certification s’appuie sur l’expertise d’Apave afin d’attester de la qualité des masques barrières. Les essais réalisés concernent la capacité de filtration des particules d’un diamètre de 3 microns, susceptibles de trasmettre des virus, et des particules fines. Ils portent aussi sur la résistance des brides auto-ajustables. Le confort et la facilité d’usage (respirabilité, sélection des matériaux, port de 4 heures) sont aussi passés au peigne fin, tout comme la capacité du masque à garantir son niveau de qualité après le nombre de lavages préconisés par le fabricant.

Une certification indépendante

Tout industriel qui propose des masques peut prétendre à la certification NF. Le cas échéant, il valorise objectivement le respect d’un cahier des charges public, vérifié par un auditeur tierce-partie d’Afnor Certification, sur le site de production. Suite à ce contrôle et uniquement si le résultat est conforme, le fabricant peut apposer le logo NF. A défaut, un masque ne peut être dit certifié par Afnor Certification. 

Les industriels disposant des stocks de masques en tissu peuvent également les faire certifier si la traçabilité est suffisante et que les preuves d’essais peuvent être fournies.

Quatre catégories de masques certifiés NF 

Afnor Certification permet aux fabricants de placer leurs produits sur une échelle de quatre modèles de masques barrières, selon leurs niveaux de performance et de confort. Le niveau > à 70 % de filtration de particules de 3 microns, correspond au masque grand public UNS2. Quant au niveau > à 90 % de de filtration de particules de 3 microns, il concerne le masque grand public UNS1. De plus, le modèle confort filtre plus de 90 % des particules de 3 microns et confère une respirabilité accrue. Enfin, le modèle hautes performances filtre plus de 90 % des particules de 3 microns et plus de 30 % de particules fines (< à 1 micron).

Une utilité pour un acheteur

Complémentaire à l’homologation officielle imposée à tous les fabricants industriels de masques, la certification NF Masques barrières garantit aux acheteurs que le fabricant est audité chaque année sur le site de production. Des masques sont aussi testés à cette occasion. Ce gage de confiance est transparent pour l’utilisateur final, puisque l’emballage du masque certifié comprend un QR code renvoyant vers le certificat actif qui précise les caractéristiques du masque et le lieu de production audité. 

Investissement durable : partenariat entre UBS La Maison de Gestion et la fintech française DeepScore

Depuis 2018, Deepscore publie son service Moralscore qui, à travers son site et son application permet aux consommateurs de classer les entreprises et les marques de nombreux secteurs selon des critères environnementaux et sociaux. Afin d’établir les notes, il étudie toute l’information publique disponible sur chaque entreprise. La société est indépendante des marques qu’elle analyse. Dans le cadre de son partenariat avec UBS La Maison de Gestion, DeepScore évalue les critères extra-financiers des sociétés cotées sélectionnées par cette dernière,avec son outil de screening. Un rapport est établi récapitulant tous les critères évalués, justifiant la notation attribuée. La liste des sources utilisées pour réaliser l’étude sera fournie et disponible.

« Ce partenariat original entre une boutique de gestion et une fintech responsable nous permet de proposer à nos clients, qui souhaitent de plus en plus investir de manière responsable, un portefeuille d’investissement personnalisé, au plus près de leurs valeurs » déclare Julien Vincenti, responsable de la gestion discrétionnaire chez UBS La Maison de Gestion.

Dans le cadre du mandat « Investissement Durable », les clients confient aux gérants un mandat de gestion qu’ils modulent en fonction de leurs exigences : outre le niveau de risque financier mesuré par les classes d’actifs, ils fixent des objectifs extra-financiers sur lesquels ils souhaitent maximiser leur impact. Ces objectifs sont liés au respect de l’environnement, aux bénéfices sociétaux ou à la qualité de la gouvernance qui seront monitorés dans les portefeuilles. Par ailleurs, les clients peuvent choisir d’exclure de leurs investissements les émetteurs qui opèrent dans des domaines d’activité qu’ils ne souhaitent pas financer. Pour gérer le portefeuille financier personnalisé de ses clients, UBS La Maison de Gestion a créé un comité d’investissement dédié constitué de gérants et de spécialistes ISR. Celui-ci analyse les informations apportées par la recherche du Groupe UBS, complétée par les données fournies par DeepScore. Il prend aussi en compte les 17 objectifs de développement durable (ODD) de l’ONU. Suite aux décisions de ce comité et en conformité avec le cahier des charges des clients, les portefeuilles sont construits et revus par les gérants afin d’en améliorer continuellement la durabilité tout en prenant en compte l’analyse financière.

Great Place to Work : DHL Express en 2e position

DHL Express, leader mondial du transport express international, a été classée deuxième meilleure entreprise dans laquelle travailler parmi toutes les sociétés internationales du palmarès 2020. Great Place to Work et Fortune ont ainsi récompensé les investissements majeurs réalisés par l’entreprise et les diverses initiatives qu’elle a réalisées dans plus de 220 pays et territoires dans le but d’instaurer une atmosphère de travail positive, motivante et favorisant la reconnaissance des collaborateurs.


Dans le cadre de son programme de certification, l’organisme international de diagnostic et de conseil Great Place to Work passe chaque année au crible les retours d’expérience des collaborateurs de nombreuses entreprises. Ainsi, en 2020, plus de 10 000 organisations employant 10,2 millions de collaborateurs basés dans 92 pays ont participé au programme.

Fort investissement dans son personnel
DHL Express investit chaque année plusieurs dizaines de millions d’euros en faveur de ses collaborateurs du monde entier. L’entreprise pilote différents projets RH visant à améliorer en permanence les conditions de travail de ses équipes, comme « DHL4her », un programme pour soutenir les femmes et promouvoir leur développement. Quant au programme de formation « CIS », pour « Certified International Specialist » (« Spécialistes Certifiés de l’International »), il offre différents cursus permettant aux collaborateurs de DHL Express d’acquérir les connaissances dont ils ont besoin pour offrir la meilleure qualité de service possible à leurs clients au quotidien. Autre projet : « DHL’s Got Heart » permet de soutenir les causes défendues par ses collaborateurs.

En récompense des efforts importants consentis par ses équipes pendant la crise du coronavirus, l’entreprise a accordé à tous ses collaborateurs une prime exceptionnelle de 300 euros. De plus, le message « Thank You » a été apposé sur la carlingue un avion-cargo Boeing 757 pour remercier tous les travailleurs essentiels que l’appareil croisera lors de ses escales européennes.

« La pandémie de COVID-19 a éprouvé comme jamais auparavant les entreprises en première ligne telles que DHL Express, et nous sommes fiers que nos collaborateurs se soient montrés à la hauteur de cet immense défi. Bien que la crise continue d’affecter notre quotidien et que la sécurité de nos équipes demeure au centre de nos priorités, nos collaborateurs expriment leur volonté de faire partie des solutions qui permettent de soutenir les communautés et le commerce mondial, déclare John Pearson, CEO DHL Express. Cet état d’esprit est le fruit de la culture de la reconnaissance que nous avons instaurée, et figure parmi les principales raisons expliquant le très haut niveau de satisfaction de notre personnel. Je suis très fier des initiatives que nous menons et qui alimentent la compassion, le courage et l’engagement de nos équipes. L’individu est au coeur des actions de notre entreprise. C’était déjà vrai avant la crise du coronavirus, c’est encore vrai aujourd’hui, et cela le restera demain. »

Un site Green et moderne en Alsace

Par ailleurs, DHL Express inaugure une nouvelle agence à Illzach en Alsace en prévision des fêtes de fin d’année. Doté de bornes de rechargement pour véhicules électriques, le site aura ses premiers utilitaires zéro émission d’ici la fin d’année 2020. L’agence s’inscrira ainsi dans l’objectif fixé DHL Express France, visant à assurer 70% de ses activités sur le premier et le dernier kilomètre avec des solutions zéro émission d’ici 2025.

En effet, Deutsche Post DHL Group s’est fixé un but « Zéro Emission » d’ici 2050. Cet objectif en matière de protection du climat s’applique à la fois aux activités de l’entreprise et à celles de ses sous-traitants dans le secteur du transport. Cette mission s’accompagne de quatre étapes clés intermédiaires à atteindre d’ici 2025. À l’échelle internationale, le groupe devra augmente l’efficacité carbone de ses activités et de celles de ses sous-traitants dans le secteur du transport de 50 % par rapport à 2007. Au niveau local, le Groupe ambitionne d’améliorer les conditions de vie des personnes là où elles résident et travaillent, grâce à des solutions de transport propres. Deutsche Post DHL Group garantira 70 % de ses services sur le premier et le dernier kilomètre à l’aide de solutions d’enlèvement et de livraison propres, comme le vélo et le véhicule électrique. Plus de 50 % des ventes concerneront des solutions vertes, rendant les chaînes logistiques des clients plus respectueuses de l’environnement. Enfin, le groupe formera et accréditera 80 % de ses collaborateurs en tant que Spécialistes GoGreen d’ici 2025, et les impliquera activement dans ses activités et de protection du climat.

Risque et sécurité

https://youtube.com/watch?v=ve9_TFE_RrY

SKF rejoint l’initiative « Renewable Energy 100 »

Kent Viitanen, Président Bearing Operations, déclare à ce propos : « Atteindre la neutralité carbone d’ici 2030 fait partie intégrante de la stratégie globale de SKF. Nous considérons cet objectif comme une responsabilité et nous sommes convaincus que la mise en œuvre de cette transition créera un avantage concurrentiel pour SKF et ses clients. Nous nous efforçons d’atteindre ce but en améliorant l’efficacité énergétique et matérielle de nos activités tout en augmentant l’approvisionnement ou l’auto-production d’énergie renouvelable. Notre objectif d’atteindre une énergie 100 % renouvelable d’ici 2030 au plus tard est parfaitement en adéquation avec l’ambition et l’approche de RE100. »

Quant à Sam Kimmins, Responsable de RE100, le Climate Group, il commente : « Nous sommes heureux d’accueillir SKF dans l’initiative RE100. En transformant ses opérations commerciales mondiales en électricité renouvelable, SKF démontre son fort engagement dans la lutte contre le changement climatique tout en soulignant l’impact économique des énergies renouvelables. Nous espérons que d’autres entreprises industrielles suivront rapidement son exemple. »

Enfin, Johan Lannering, Directeur Développement Durable Groupe & SKF Nova, conclut : « C’est notre façon d’assumer notre responsabilité en tant que consommateur d’énergie. Nous sommes également fiers du rôle prépondérant que jouent nos produits et solutions dans les systèmes d’énergie renouvelable tels que l’énergie éolienne et les technologies émergentes comme l’énergie marémotrice. En ce qui concerne la demande, notre offre pour la performance des équipements tournants permet aux entreprises de tous les secteurs industriels aux quatre coins du monde d’améliorer le rendement énergétique et les performances opérationnelles. »

Le projet “Filière Excellence Cuir” se structure en Nouvelle-Aquitaine


Le projet FECNA s’intéresse à la qualité de la viande et des cuirs, au sein d’une expérimentation régionale invitant les différents acteurs à s’engager sur un protocole technique et financier commun. Afin de réaliser ce projet, un partenariat unique en son genre a été noué entre organisations publiques et privées, des éleveurs, des abatteurs, des tanneurs et des manufacturiers.
Ce projet, financé par la région Nouvelle-Aquitaine (à hauteur de 360 146 euros au titre de l’année 2020), s’inscrit dans les ambitions de la feuille de route Néo Terra dédiée à la transition écologique et énergétique en Nouvelle-Aquitaine, avec la volonté de valoriser le développement local et l’économie circulaire (élevages de veaux sous la mère mis en valeur par des abattoirs locaux et une relocalisation de la valeur ajoutée aux différentes étapes de la filière). Son autre axe : maintenir des surfaces en herbe. La production de veaux sous la mère est, en effet, basée sur le pâturage et la valorisation de l’herbe. Cela permet donc un maintien des surfaces herbagères. Par ailleurs, la préservation de la biodiversité est une autre direction de ce projet : la plupart des exploitations sont de “polyculture élevage” et connaissent un équilibre entre prairies, haies et bois. Enfin, la réduction de l’utilisation d’herbicides ou des pesticides figurent aussi dans ce projet.