Divalto : Jérémy Grégoire devient Chief Product and Officer

« Cette nomination intervient alors que l’entreprise souhaite appuyer le nouvel élan stratégique qu’elle opère depuis deux ans autour de son orientation cloud et ses solutions métier. Nous sommes convaincus qu’avec Jérémy à la tête de la R&D et de la chaine de conception de nos produits, nos partenaires, utilisateurs et nos collaborateurs auront le meilleur interlocuteur pour les accompagner. En effet, dès son arrivée chez Divalto il y a plus de 10 ans, Jérémy n’a eu de cesse de mettre ses capacités au service de l’ambition et de l’écosystème de Divalto. Depuis ses débuts, il est au service de la performance de l’entreprise, et s’inscrit dans les valeurs profondes d’ambition, d’audace et de solidarité de Divalto. » remarque Jérôme Virey, Directeur Général de Divalto.

« Je suis ravi de ce nouveau poste. Il s’agit d’un nouveau challenge auquel je suis heureux de m’atteler. Ma culture produit, ma connaissance du marché, des différents métiers et publics de Divalto sont une vraie richesse. Ma première mission est de travailler sur les processus internes et d’accompagner les différents services, avec un objectif en tête : développer des produits verticalisés en mode Saas avec toujours cette même exigence d’un haut niveau de satisfaction client. Ensemble, nous visons ce même but. » déclare Jérémy Grégoire, nouveau Chief Product and R&D Officer de Divalto.

Titulaire d’une Maîtrise en Biotechnologie et Bio Industrie et d’un Master Economie et Gestion (Spécialité Agroalimentaire), Jérémy Grégoire débute sa carrière en 2004 chez Isagri en tant qu’Ingénieur Commercial puis Chef de Marché. Après 4 ans chez Isagri, il rejoint l’équipe de Divalto en janvier 2008. Après s’être occupé du réseau de partenaires de l’éditeur, Il prend en charge les Comptes Clés. En 2014, il devient le responsable marketing du groupe avant de devenir Directeur Marketing en 2018. En 2019, il gère avec succès le lancement commercial et marketing de la solution CRM Divalto Weavy. En janvier 2021 il devient Chief Product and R&D Officer.

Enfin, Jérémy Grégoire a participé en 2017 à l’écriture de l’ouvrage « 21 clés pour activer votre transformation numérique » aux éditions Eyrolles en collaboration avec Gilles Auberger, Thierry Meynlé (Divalto) et Salah-Eddine Benzakour.

Allianz Risk Barometer 2021 : trois risques liés à la Covid-19 en tête du classement

Un trio de risques liés à la Covid-19 prend la tête du 10e Baromètre des risques 2021 d’Allianz. Il montre les perturbations entraînées par les confinements dans de nombreux pays, face à la pandémie. Les interruptions d’activité (nº1 avec 41% de réponses) et la pandémie (nº2 avec 40%) sont les deux premiers risques d’entreprise pour cette année, suivis de près par les incidents cyber (nº3 avec 40%). L’enquête annuelle sur les risques d’entreprise dans le monde, effectuée par Allianz Global Corporate & Specialty (AGCS), analyse les opinions de 2 769 experts dans 92 pays, incluant des directeurs généraux, gestionnaires de risques, courtiers et assureurs.

« Le Baromètre des risques 2021 d’Allianz est clairement dominé par ce trio de risques liés à la Covid-19, déclare Joachim Müller, CEO d’AGCS. Les interruptions d’activité, la pandémie et les incidents cyber sont étroitement liés, ce qui montre l’accroissement des vulnérabilités dans notre monde fortement globalisé et interconnecté. La pandémie de Covid-19 nous rappelle que la gestion du risque et de la continuité de l’activité doit encore évoluer, afin d’aider les entreprises à se préparer et à survivre aux événements extrêmes. Si la pandémie continue de toucher de plein fouet tous les pays du monde, nous devons aussi nous préparer à des scénarios de catastrophes “extrêmes” plus fréquents, tels qu’une panne de Cloud ou une cyber attaque à l’échelle mondiale, des catastrophes naturelles dues au changement climatique, voire l’apparition d’une autre maladie. »

La crise de la Covid-19 continue d’être considérée comme une menace immédiate pour les personnes et les entreprises. Ainsi, la pandémie devance aujourd’hui d’autres risques et se place en deuxième position. Pendant les dix années d’existence du Baromètre des risques d’Allianz, le risque sanitaire n’avait jamais dépassé la 16e position et avait donc été nettement sous-estimé. En 2021, il se occupe la place du numéro un dans 16 pays et parmi les trois premiers risques sur tous les continents, ainsi que dans 35 des 38 pays permettant une analyse des dix principaux risques. Le Japon, la Corée du Sud et le Ghana sont les trois seules exceptions.

D’autres risques en hausse dans le Baromètre des risques 2021 sont aussi, en grande partie, des conséquences de la pandémie, comme les évolutions de marchés (nº4 avec 19%), les évolutions macroéconomiques (nº8 avec 13%), et les risques politiques (nº10 avec 11%). En revanche, les risques en baisse sont tous écartés par les préoccupations liées à la pandémie : les évolutions législatives et réglementaires (nº5 avec 19%), les catastrophes naturelles (nº6 avec 17%), les incendies et explosions (nº7 avec 16%) et le changement climatique (nº9 avec 13%).

Enquête sur le métier de Responsable Qualité de Vie au Travail

À ce jour, l’équipe Moodwork estime le nombre de Responsables QVT en France à 110. En 2020, selon l’étude, le responsable QVT a entre 30 et 50 ans. La plupart ont suivi ces formations : études RH (11%), études de droit (droit du travail, de la sécurité sociale, de la protection sociale…) pour 20% et études de psychologie du travail ou d’ergonomie (26%). Par ailleurs, 86 % des professionnels occupent le poste de responsable QVT depuis moins de 5 ans. De plus, les expériences professionnelles du panel avant d’occuper leur poste actuel sont très variées (RH, psychologue, responsable mission handicap, chargé de prévention…). L’enquête met aussi en avant que le métier de responsable QVT s’exerce dans des entreprises de tailles variées. Les professionnels interrogés agissent aujourd’hui sur un périmètre allant de 100 à plus de 10 000 salariés.

En outre, un responsable QVT travaille globalement sur 4 axes. Le premier concerne la mise en place et la gestion de la politique QVT dans l’entreprise. : l’organisation de formations sur les sujets QVT et RPS, la prévention des risques professionnels, des TMS (Troubles Musculo-Squelettique), etc. Le deuxième axe porte, quant à lui, sur l’organisation de la vie au travail : l’aménagement des espaces ou la mise en place d’actions de bien-être comme le sport au travail. En outre, le troisième axe est l’accompagnement des collaborateurs et des managers. Cela inclut la gestion des problématiques individuelles, l’optimisation des conditions de travail et la conciliation vie professionnelle/vie privée, l’accompagnement des managers dans une démarche de management positif. Enfin, le soutien de la fonction RH est le dernier axe : servir de soutien aux RH en cas de situations compliquées et de RPS, aider dans le processus d’intégration des nouveaux collaborateurs… Si le métier de Responsable QVT n’est pas encore clairement défini, plus de 70% des personnes interrogées estiment exercer finalement d’autres fonctions en plus de celles d’un responsable QVT : des missions RH et RSE, responsable des nouvelles formes de travail (télétravail et digitalisation des outils), responsable du service social, psychologue du travail, référent handicap, ergonome et Office management.

Par ailleurs, le responsable QVT est à l’origine de nombreux changements dans l’entreprise permettant, à terme, d’améliorer le bien-être des collaborateurs et surtout de donner du sens à leur travail. Ces changements concernent la création de la politique QVT, l’animation de la vie d’entreprise, la mise en place de diverses démarches QVT (Prévention des risques psychosociaux, politique handicap, dialogue social), l’amélioration des conditions de travail (conciliation vie professionnelle/vie privée, réponse aux besoins des salariés, régulation de la charge de travail), l’amélioration de l’environnement de travail (par exemple, la création de salles de détente et de sieste, la mise en place d’activités sportives ou encore l’accueil des enfants en cas de grève) et l’amélioration de la santé au travail (création de réseaux de prévention avec des médecins du travail, psychologues, assistantes sociales, etc.).




Groupe Beneteau numérise les contrôles Qualité

Universal Robots : un cap important franchi avec la vente de son 50 000e robot collaboratif

« Nous avons travaillé très dur au cours des 15 dernières années pour développer un tout nouveau segment de marché. Notre but était, et est toujours de permettre en particulier aux petites et moyennes entreprises, d’automatiser des tâches qu’elles jugeaient trop coûteuses ou trop complexes », a remarqué M. von Hollen. Il a notamment insisté sur la façon dont Universal Robot a créé un nouveau réseau de distribution mondial, un nouvel écosystème de développeurs. « En tant que pionnier sur ce marché, nous avons beaucoup travaillé à la sensibilisation des entreprises, mais aussi à influencer les normes et changer la perception des clients influencés par leur expérience des robots traditionnels ».
Von Hollen a aussi noté que VEMA GmbH est bon exemple de la mission réalisée par Universal Robots : « Vema recherchait une solution d’automatisation rentable, flexible et facile à utiliser qu’elle pourrait mettre en oeuvre, programmer et gérer toute seule. C’est exactement ce qu’ils ont trouvé dans le cobot d’Universal Robots ».


Les cobots améliorent à la fois la productivité et la qualité


Le nouveau robot collaboratif de Vema rejoindra une flotte de trois autres cobots déjà déployés pour des tâches de Pick&Place ou d’autres applications en fin de ligne de production de l’entreprise. Christian Veser, Directeur Général de VEMA GmbH, a expliqué comment les cobots ont permis à l’entreprise d’ajouter une troisième équipe, qui fonctionne désormais 24 heures sur 24. « Nous avons augmenté notre productivité de manière remarquable, tout en améliorant la qualité de notre production », a-t-il dit. « Nos employés sont libérés d’un travail pénible pour se concentrer sur les opérations de contrôle qualité. Le fait que les cobots n’aient pas besoin de garder une distance de sécurité ou de subir une quarantaine a également été un grand avantage dans le cadre de la crise sanitaire due au Covid-19. Ils peuvent toujours travailler », a déclaré M. Veser, ajoutant que sa société apprécie tellement ses cobots qu’elle leur a donné des prénoms ! « Les trois premiers cobots s’appellent Elfriede, Günther et Bruno. Nous nommerons notre nouveau cobot Jürgen pour honorer le fait que le président d’Universal Robots est venu ici en personne pour le livrer ».
Jürgen von Hollen a quitté Universal Robots en décembre 2020, après un mandat de quatre ans à la tête de la société. « C’est un tel privilège de terminer mon mandat dans l’entreprise en marquant cette étape importante », a-t-il précisé. « Nous avons fait beaucoup de progrès, mais le marché recèle encore d’un immense potentiel, tant pour les applications connues que pour les nouvelles applications de cobots. Grâce à nos robots collaboratifs installés partout dans le monde, nous apprenons constamment de nos clients et de leurs besoins afin de poursuivre le développement de nos cobots. C’est une approche qui, je pense, nous aidera à rester en tête dans les années à venir ».
Enfin, Gregory Smith, Président de la division Automatisation Industrielle de Teradyne, assure l’intérim depuis le 1er janvier dernier, jusqu’à ce que le nouveau Président d’Universal Robots soit nommé. « Je remercie Jürgen pour le rôle moteur qu’il a joué au cours des quatre dernières années en faisant passer Universal Robots du statut de start-up à celui de leader mondial incontesté des robots industriels collaboratifs », a conclu Mark Jagiela, CEO de la société mère d’Universal Robots, Teradyne. « Il laisse derrière lui une solide société en pleine croissance et composé d’équipes talentueuses, un puissant écosystème composé de partenaires de distribution et de technologie engagés, ainsi qu’une base mondiale de clients en pleine expansion ».

Ingerop Life Sciences : un nouveau partenaire pour l’industrie pharmaceutique

L’objectif d’Ingérop Life Sciences est d’assurer une prestation de conseil le plus en amont possible pour accompagner ses clients dans la définition et la mise en oeuvre de leur stratégie industrielle en maîtrisant les différents procédés de production et contraintes réglementaires du secteur. Par ailleurs, Ingérop Life Sciences applique son expertise sur l’ensemble de la chaîne de valeur industrielle de ses clients, de l’étude de faisabilité à l’organisation et l’exécution des projets. La société peut également proposer une livraison d’unités de production clé en main.

Avec Ingérop Life Sciences, le groupe Ingérop met en valeur son expertise dans le domaine pharmaceutique afin de mieux répondre aux attentes de ses clients industriels. Si cette entité est d’abord destinée à l’industrie pharmaceutique, elle a comme vocation de développer ses compétences vers des industries aux contraintes de productions proches telles que les industries cosmétiques et vétérinaires.


En outre, Stéphane Potin, membre du comité exécutif d’Ingérop, en charge de l’intégration d’Ingérop Life Sciences au sein du groupe déclare : « Créer une nouvelle structure agile qui bénéficiera des ressources du groupe Ingérop, nous permet d’être visible et lisible auprès de nos clients. Cette société s’inscrit parfaitement dans l’ADN d’Ingérop, groupe innovant et fournisseur de prestations de conseil stratégique. Notre objectif est donc avant tout d’apporter notre expertise à nos clients. Ingérop Life Sciences sera ainsi un acteur de confiance pour décliner leurs stratégies industrielles tout en maîtrisant le process. »

Acteur de référence en France ayant une solide présence à l’international, Ingérop est un groupe d’ingénierie et de conseil en mobilité durable, transition énergétique et cadre de vie. Il est présent dans l’ensemble des métiers de la construction : Bâtiment, Energie & Industrie, Eau & Environnement et Ville & Mobilité. Indépendant, basé à Rueil-Malmaison (France), il emploie 2 100 collaborateurs et a enregistré en 2019 un chiffre d’affaires de 260 millions d’euros, dont près de 30 % à l’international. Enfin, actif dans plus de 70 pays, Ingérop continue son développement régulier tant en France qu’à l’étranger grâce à son indépendance actionnariale, son expertise technique, sa capacité d’innovation et la proximité avec ses clients.

L’Administration des douanes décerne à OVRSEA la certification OEA F

Ce label européen reconnu sur la scène internationale (Suisse, Norvège, Japon, États-Unis, Chine et les pays européens), permet de sécuriser la chaine logistique internationale et de lutter contre la fraude et les attentats pour favoriser les échanges internationaux.

Les acteurs qui ont obtenu cette certification connaissent des procédures simplifiées et domiciliées et bénéficient d’atouts commerciaux tout en étatn membre du réseau des partenaires privilégiés de l’Administration des douanes.

Il est très rare pour une jeune entreprise d’obtenir cette certification.  Cette certification F obtenue par OVRSEA couvre la simplification douanière et la sécurité/sûreté.

« La certification OEA F est une preuve de plus de la qualité des processus, de la technologie, et des compétences d’OVRSEA. Cela va dans le sens de notre stratégie depuis le premier jour : allier technologie, qualité et savoir-faire pour transformer le marché du transport international de Fret. » déclare Arthur Barillas, CEO et co-fondateur d’OVRSEA.

Placer la technologie au cœur de l’industrie du transport international (en maritime, aérien et rail) pour le simplifier, voici l’objectif d’OVRSEA. La société tricolore pilote les transports de ses clients dans plus de 60 pays dans le monde avec un suivi en temps réel de la marchandise. La compilation de toutes leurs données liées au fret permet aux entreprises d’économiser plus de 40% de temps sur le transport de leurs marchandises. Dès la création de la start-up, les exigences OEA ont été suivies grâce à une étroite collaboration avec des partenaires de qualité, raison pour laquelle la startup a été certifié aussi rapidement. 

OVRSEA permet à ses clients de gérer leurs transports de A à Z sur la plateforme en ligne, depuis la cotation jusqu’à la facturation, en digitalisant la documentation et en leur apportant du tracking en temps réel sur leurs envois. Les équipes opérationnelles accompagnent les clients au quotidien et les guident à chaque étape de leur transport.

Enfin, la plateforme OVRSEA est gratuite. L’entreprise vend l’organisation des transports moyennant une commission, en négociant des prix auprès des transporteurs et en appliquant une marge.

Eric Wolff, Directeur Qualité & EHS Corporate de L’Oréal a remporté le Trophée du Leader Qualité Européen

Eric Wolff commence sa carrière chez L’Oréal dès 1992 comme Ingénieur Qualité – Développement des procédés, puis il monte les échelons jusqu’à devenir le Directeur Qualité et EHS Corporate en janvier 2016. Pour l’ensemble du Groupe L’Oréal, sur un périmètre mondial, il est en charge de la Qualité, de l’Environnement, de l’Hygiène, de la Sécurité et de l’Excellence Opérationnelle. Sous son impulsion, la démarche Qualité de L’Oréal a été renforcée avec la mise en place de systèmes de management de la qualité ambitieux déployés mondialement afin de contribuer à l’excellence opérationnelle du groupe. Parmi ses réalisations les plus récentes, Eric Wolff a piloté un projet de transformation des méthodes de travail et d’innovation majeur, avec le lancement en mars 2019 du MYT – « Make Your Technology » – un incubateur de technologies créé en interne pour les équipes Industrie et Supply chain de L’Oréal. Au sein de la démarche d’innovation technologique, la Qualité et l’Excellence Opérationnelle sont des fondamentaux intégrés de manière systématique pour incuber et accélérer des idées et créer ainsi des innovations efficientes sur le long terme, tout en facilitant l’intrapreunariat.
Le président de l’EOQ, Torolf Paulshus, a décerné à Eric Wolff le Trophée et le diplôme de Leader Européen de la Qualité 2019 lors de la session de remise des prix en ligne du 12 janvier 2021.
En novembre 2019, Eric Wolff avait obtenu le Trophée Leader Qualité France organisé par France Qualité. En outre, le Jury de l’association présidé par Alexis Eychenne, Directeur Exécutif au sein du cabinet de recrutement Badenoch & Clark révélera le nom du prochain Leader Qualité France en février prochain.
L’an dernier, un Français, Marc Bazinet, avait remporté ce même Trophée Européen. Il était alors le deuxième Français primé de l’histoire. Cette accélération de la présence française au niveau européen démontre la dynamique particulièrement positive que connaissent France Qualité et plus largement les démarches Qualité en France : une recrudescence d’entités qui se tournent vers la Qualité afin d’améliorer leur performance, maîtriser les risques, piloter l’activité ; une émulation collective ; et des pratiques remportant des succès, qui se partagent entre pairs.

La rédaction de Qualité Références vous souhaite une bonne et heureuse année 2021

Chers internautes, lecteurs et abonnés,

Toute l’équipe de MRJ Presse et la rédaction du magazine Qualité Références, vous présentent leurs meilleurs vœux.

Dans cette nouvelle année pleine d’incertitudes mais aussi remplie d’espoir, la revue Qualité Références se donne pour mission d’être à vos côtés en tant que source d’informations fiables et indépendantes.

Que notre magazine ainsi que les publications du groupe MRJ Presse (Maintenance & Entreprise, Production Maintenance et Essais & Simulations) vous conduisent vers la réussite et que tous vos projets se concrétisent !

Le retour d’expérience après une crise sanitaire