Le groupe Idex étoffe son équipe de direction

Un an après l’arrivée de son Président Benjamin Fremaux, le groupe Idex continue de renforcer son équipe de management afin d’adopter sa stratégie. Le premier acteur indépendant de la transition énergétique souhaite, en effet, doubler son chiffre d’affaires en quatre ans afin d’atteindre les 2 milliards d’euros. Ainsi, Idex propose de nouvelles offres qui s’intégreront dans la mission du groupe au service de la transition énergétique et s’appuieront sur sa présence au sein des territoires. La nomination de trois nouveaux directeurs conforte cette ambition.
Selon Benjamin Fremaux : « Porté par un marché en forte évolution et avec le soutien d’Antin Infrastructure Partners, nous souhaitons proposer de nouvelles offres à nos clients afin de réduire leur empreinte carbone et développer leur infrastructure énergétique locale. L’arrivée d’Edouard Brunet, André Chausseray et Edouard Roblot s’inscrit pleinement dans cette stratégie. »

Diplômé de l’ESSEC Business School, Edouard Brunet, 36 ans, a commencé sa carrière en banque d’affaires, chez Messier Maris & Associés puis Goldman Sachs à Paris, où il occupait le poste d’Executive Director en charge de la couverture de clients français jusqu’en 2018. Ensuite, Edouard Brunet a été Vice President du fonds de growth equity Quadrille Capital. Riche de ces expériences, Edouard Brunet aura pour missions de piloter la stratégie et de contribuer à la croissance du groupe à travers des acquisitions tant en France qu’à l’international.

Également diplômé de l’ESSEC Business School, André Chausseray, 30 ans, a travaillé pendant plus de 6 ans comme consultant en stratégie dans de grands groupes de conseils, comme KPMG, Roland Berger ou plus récemment Boston Consulting Groupe. Il s’est spécialisé dans les opérations et les plans de performance opérationnels, dans des secteurs tels que l’automobile ou l’aéronautique. Directeur Transformation et Performance, il contribuera avec des équipes sur le terrain à l’amélioration de la performance opérationnelle du groupe.

Avant de devenir directeur Bâtiment Bas carbone, Edouard Roblot, 32 ans, était depuis 2019 conseiller chargé de l’environnement et de l’énergie au cabinet de Valérie Pécresse, Présidente de la Région Île-de-France. Ancien élève de l’Ecole Polytechnique et de Sciences Po, Edouard Roblot a commencé sa carrière en 2011 en tant que Chargé de mission à la Commission de Régulation de l’Energie. En 2013, il a rejoint le groupe Total, où il a été dans son dernier poste responsable de l’activité solaire B2B en France. En tant que Directeur Bâtiment Bas carbone, Edouard Roblot devra animer cette direction nouvellement créée afin de développer les offres bas carbone d’Idex pour le bâtiment, destinées aux professionnels et aux collectivités

Visiativ accélère son engagement et structure sa RSE

La responsabilité sociétale de Visiativ est basée sur une démarche continue de transparence et d’intégrité auprès de ses parties prenantes. Ainsi, Visiativ a, dès début 2020, repensé sa gouvernance et ses différents organes de décision pour les adapter à ses ambitions de développement. Une nécessité pour garantir transparence, équilibre et suivi des axes stratégiques et impulser la vision du futur à l’échelle du Groupe. En parallèle, la société a renforcé ses pratiques responsables, pour prévenir toutes formes de corruption et trafic d’influence, ainsi que la protection des données, qu’elles soient internes ou auprès de ses clients, tant du point de vue du RGPD (règlement général sur la protection des données) qu’en matière de cybersécurité.

Visiativ s’engage aussi à mettre à contribution ses ressources humaines et financières afin de mener des engagements sociétaux et environnementaux. Il a ainsi créé le fonds de dotation Open Initiat’IV afin d’encourager et de soutenir l’engagement des collaborateurs et promouvoir le mécénat de compétences. L’objectif de ce fonds est de financer et d’accompagner des projets associatifs ou d’intérêt général, tout particulièrement autour de l’inclusion des personnes en situation de handicap ou de fragilité sociale, ou de favoriser l’accès aux nouvelles technologies par l’éducation. Le Groupe agit ainsi aux côtés de plusieurs associations dont WeeeFund, qui lutte contre le décrochage scolaire via le réemploi d’ordinateurs. À travers cette action, Visiativ a permis l’inauguration de la toute première salle informatique de l’école Cours La Passerelle à Pierre-Bénite (Rhône), mais aussi d’équiper l’école Handigital, un programme qui forme et accompagne des jeunes en situation de handicap sur les métiers du numérique.

En outre, le Groupe dresse un bilan carbone sur son périmètre d’activité et son objectif consiste à agir sur ses sources d’émissions directes de CO2. il soutient l’initiative Time for the Planet, qui vise à financer des technologies qui auront un impact important à l’échelle du monde. De plus, il a créé « la planète Visiativ », réunissant un ensemble de personnes qui ont un intérêt commun, et à développer des « comètes » afin que ses collaborateurs s’engagent sur des actions concrètes en interne ou pour Time for the Planet.

Par ailleurs, le Groupe souhaite dorénavant lui donner une nouvelle impulsion avec le déploiement, en 2021, d’une dynamique selon les axes suivants. Le premier axe : One experience, à travers le programme Inclusion by Visiativ, pour la sensibilisation du handicap auprès de ses collaborateurs et le renforcement des initiatives avec l’ambition clairement définie de devenir une entreprise handi-accueillante, ou encore Equalty by Visiativ, afin de promouvoir l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes à tous les niveaux de l’entreprise. Le deuxième axe est coopérative & singulière, pour accroître la notion de collaboration, l’engagement de chacun au sein d’environnements de travail équilibrés et positifs. Troisième axe : viser plus haut afin de garantir à chaque collaborateur d’être accompagné pour acquérir et développer de nouvelles compétences. Le quatrième axe est portée par le management, pour une société exemplaire et transparente dans son management, sa gouvernance et sa vision stratégique. Enfin, dernier axe : basée sur une workplace phygitale, sa nouvelle plateforme innovante peut accompagner le collaborateur à chaque instant de son expérience et quel que soit son lieu de travail.
À travers des programmes engagés et inclusifs qui laissent une grande place à l’initiative et à l’engagement, l’expérience collaborateur contribue à l’épanouissement et à l’évolution des individus, et leur donne les moyens d’établir un projet d’entreprise ambitieux.

Enfin, Visiativ est chef de fil de l’Entreprise Du Futur, plateforme phygitale des collaborationstransformatives, et de Connect by Visiativ, dispositif communautaire innovant à destination des clients et des partenaires. Il s’investit aussi aux côtés de projets tels que Swarm, le centre d’innovation et de transformation, ou l’initiative Live for Good, afin d’accompagner la nouvelle génération de jeunes entrepreneurs avec le but de faire émerger des solutions innovantes qui créent un impact social à grande échelle.

« L’investissement dans cette nouvelle dynamique RSE est la preuve que nous croyons fermement en l’entreprise responsable, ouverte et durable. En l’entreprise collaborative embarquant le collectif. En l’entreprise où la confiance et l’audace permettent à chacun de s’exprimer et de porter des projets innovants contribuant au développement du Groupe. En l’entreprise engagée qui transmet ses valeurs singulières et sincères à son écosystème. En somme, c’est cela qui conditionne la réussite du projet de notre entreprise de demain. », déclare Grégory Jourdan, Directeur général adjoint Ressources Humaines & RS.

Au même titre que pour ses performances financières dans le cadre du plan Catalyst, Visiativ a défini des ambitions extra-financières pour le Groupe à travers ces quatre axes de la stratégie RSE. Afin de garantir une transparence de ses actions et un suivi de la performance de ses engagements sociétaux, le Groupe a donc fixé ses objectifs Smart à horizon 2023.

Medef : débats sur la transition écologique

Armor : baromètre de l’économie circulaire et nouvelles références OWA Nordic Swan Ecolabel

En collaboration avec l’Inec, Armor Print Solutions, incite les ETI françaises à partager leurs pratiques en matière de circularité avec un baromètre national qui sera publié au premier semestre 2021. Pionnier en matière de circularité, le spécialiste des consommables durables lance une grande consultation sur la perception de l’économie circulaire au sein des ETI. « En nous invitant à repenser notre relation au monde, l’économie circulaire s’avère être un véritable levier de compétitivité et de résilience pour les entreprises. Face aux nombreux défis auxquels nous devons faire face comme la maîtrise des coûts ou la gestion des risques, l’économie circulaire nous permet de transformer les contraintes en véritables opportunités de développement » déclare Hubert de Boisredon, Président-Directeur général d’Armor.

Une certification garantissant qualité et respect de l’environnement

Le label Nordic Swan Ecolabel qui a été attribué aux 35 nouvelles références de cartouches compatibles laser remanufacturées OWA, a été créé en 1989 et s’applique à 60 familles de produits (bureautique, électronique, entretien, ameublement, restaurants…). Il analyse l’ensemble du cycle de vie du produit – de l’origine des matières premières à sa consommation d’énergie, en passant par l’utilisation de produits chimiques et le conditionnement.

Les critères de certification du label Nordic Swan Ecolabel sont particulièrement stricts. Appliqués aux consommables d’impression, ils évaluent l’absence de substances dangereuses pour la santé selon le Règlement Européen CLP n°1272/2008, le contrôle d’émissions de polluants (COV, Benzen, Styrene notamment), la présence impérative de plus de 75% de matière recyclée, l’élimination des déchets, le système de collecte mis en place, la qualité d’impression similaire à la cartouche originale du constructeur, la mesure d’autonomie équivalente à la cartouche d’origine, et un taux de service après-vente annuel inférieur à 1%.

Industrie online : une marketplace digitale pour la communauté industrielle

Le support permanent, Industrie Online, donne accès à 3 000 fiches fournisseurs pour une offre complète et unique, à un dispositif simplifié de demandes de devis avec prise de contact immédiate, et à un blog au contenu inédit sur les actualités du marché. Son but est de faciliter la mise en contact entre fournisseurs et acheteurs et ainsi favoriser le développement de projets toute l’année.

La marketplace est destinée à l’écosystème industriel. Ainsi, quels que soient la taille de son entreprise, son secteur d’activité ou sa location, l’industriel trouvera sa place dans l’une ou plusieurs des 18 catégories de cette place de marché dont Contrôle / Mesure /Vision et Sécurité / Hygiène / Environnement / EPI.

Faciliter les échanges et les contacts pour optimiser les possibilités de business n’est possible que si chacun, fournisseur comme acheteur, prend part à l’aventure. De plus, la place de marché a multiplié les ressources permettant de remporter de nouvelles parts de marché.

Pour le fournisseur, la marketplace permet de référencer ses produits, d’obtenir de nouveaux contacts commerciaux et repérer de futurs clients, de recevoir directement des demandes de devis ou d’intégrer ses catalogues et vidéos. Avec un outil statistique, il est possible de suivre ses performances (pages vues, clics, suggestions, demandes…) et d’outils marketing afin d’améliorer son référencement Internet.

Dès l’ouverture de la plateforme, les fiches des exposants des salons Global Industrie et Sepem Industries ont déjà été automatiquement enregistrées dans la base de données. En outre, un moteur de recherche global aide l’acheteur à trouver un produit plus facilement. Cela représente une offre de 3 000 fournisseurs que l’acheteur peut contacter immédiatement. A tout moment, il peut solliciter pour une demande de devis directement en ligne, un outil de sourcing de qualité, ou une nomenclature adaptée pour une veille ciblée. Enfin, cette plateforme propose un blog au contenu inédit sur les actualités marché et « Les bonnes nouvelles de l’industrie », une newsletter d’actualités et de sélection de produits.

6 lauréats primés aux Prix Nationaux de la Qualité 2021

« A mille lieux de l’image que l’on se fait parfois de la Qualité, les lauréats 2021 illustrent à quel point les outils et démarches d’amélioration continue regorgent de solutions concrètes pour traiter toutes les situations, même les plus exceptionnelles. L’année 2020 a suscité un regain d’intérêt encore plus fort de la part des entreprises et organismes publics, soucieux de partager des bonnes pratiques inédites, voire de trouver ensemble des solutions. Gageons que cette dynamique se poursuivra et que la Qualité continuera à améliorer la résilience de nos organisations ! » déclare Pierre Girault, Président de France Qualité.

Ainsi, 3J Technologies situé à Tournefeuille (31) a reçu le Grand Prix France Qualité Performance. Afin de réussir sa transmission / transformation, il a misé sur les démarches de progrès et la communication interne. Cette approche lui permet de traverser la crise sanitaire avec le soutien de ses collaborateurs, et de récolter notamment 90 % de votes favorables à sa proposition d’accord-cadre (de crise).

Quant au Prix des Bonnes Pratiques [TPE], il a été décerné à CCTA localisé à L’Union (31). Avec une politique RH allant au-delà de la convention collective, CCTA n’a pas eu d’accident depuis 33 ans et les salariés – fidélisés – ont en moyenne 33 ans et 8 d’ancienneté.

En outre, dans la catégorie Licence, le Prix des Etudiants Qualité Performance a été remis à Elodie Joux, étudiante à l’Université Gustave Eiffel situé à Champs-sur-Marne (77) et apprentie à Alkan localisé à Valenton (94). Grâce aux outils de la Qualité, Elodie Joux cherche les corps étrangers chez Alkan, pour éviter de mettre en péril les appareils aéronautiques. 

Une autre étudiante, Alicia Minot-Lenfant, a été récompensée par le Prix des Etudiants Qualité Performance dans la catégorie Mastère. Elle est une élève dans l’établissement parisien des Arts et Métiers Sciences et Technologies. Malgré le chômage partiel chez Safran Landing Systems localisé à Vélizy-Villacoublay (78), Alicia Minot-Lenfant a amélioré sa méthodologie et avance en mode dégradé grâce à un outil du brainstorming asynchrone. Elle sollicite ainsi ses interlocuteurs en un temps record et réussit à proposer un outil qui améliore leur satisfaction de 27 %.

Par ailleurs, Célestin Geneste, étudiant à l’Université Aix Marseille a été récompensé par le Prix des Etudiants Qualité Performance dans la catégorie Master. Afin d’aider les opérateurs d’Eurofins LEA de Marseille à signaler les risques rencontrés – et réduire ainsi les accidents -, il crée un registre de Remontées des Situations Dangereuses totalement automatisé via un QR code et un formulaire Google. Cet outil est réplicable. 

Enfin, l’ouvrage de Régis Rossi, Claire Lauzol et Didier Noyé, « Les pouvoirs de l’intelligence émotionnelle » publié aux Editions Eyrolles, a obtenu le Prix du Livre Qualité Performance. Ce livre aide les managers à développer leur agilité émotionnelle et à la mettre au service de la performance collective.