Triple certification pour VSB énergies nouvelles

En 2015, VSB énergies nouvelles a commencé une démarche consistant à renforcer sa structuration et à améliorer ses process. Cette stratégie s’est concrétisée alors par l’obtention d’une première certification (ISO 9001 – système de management de la qualité) en décembre 2016. La société continue en 2018 à acquérir les certification ISO 14001 (système de management environnemental) et 45001 (système de management de la santé sécurité au travail) afin d’obtenir une triple certification cette même année. Cette triple certification a été renouvelée fin 2021. Poursuivre la logique de la triple certification représente un engagement fort de l’entreprise : si une des certifications n’était pas obtenue, toutes les certifications le seraient de facto.

Un engagement à tous les niveaux


Concrètement, cette triple certification se manifeste par deux politiques internes : une Qualité et une SSE (Santé, Sécurité et Environnement), comprenant notamment 6 règles essentielles pour la vie. Ainsi, un Système de Management Intégré prenant en compte toutes ces notions a été mis en œuvre. Ce dernier a des conséquences sur le management et la stratégie d’entreprise mais aussi la vie quotidienne des collaborateurs de VSB. Tout choix est donc réfléchi : de l’emplacement des locaux (toujours en centre-ville, proche d’une gare afin d’éviter le recours au véhicule individuel), à la promotion des transports respectueux de l’environnement en passant par de nombreuses bonnes pratiques.

Cette exigence impacte aussi les partenaires de VSB énergies nouvelles. Ces derniers sont choisis selon des techniques et des critères rigoureux : les acteurs locaux sont ainsi privilégiés afin d’éviter des transports intempestifs, ainsi que les professionnels souhaitant réduire leurs impacts, par exemple, en évitant de surdimensionner les infrastructures afin d’éviter la bétonisation.

Des objectifs et des résultats très concrets


Outre le maintien des certifications, l’entreprise s’est aussi fixé des objectifs très concrets : diminuer le nombre d’accidents, faire de la sécurité un thème obligatoire de toute réunion de maitrise et de direction, maitriser et réduire l’impact environnemental sur l’ensemble des activités en y intégrant la perspective de cycle de vie, et enfin rédiger des consignes et des procédures assurant la sécurité des personnes, des biens et de l’environnement.

Une stratégie aboutit à des résultats très satisfaisants : l’entreprise atteint presque le zéro accident avec un taux inférieur à 4. De plus, elle enregistre un taux de satisfaction de plus de 85% de la part de ses clients après les enquêtes effectuées systématiquement après chaque chantier.

« Nous nous sommes lancés dans une démarche d’une très grande exigence en 2015 », déclare François Trabucco, Directeur Général de VSB énergies nouvelles. « Mais le résultat a été plus que bénéfique. Désormais, aucune décision n’est prise sans prendre en considération la qualité, la sécurité et notre impact environnemental. Cette triple démarche fait désormais partie de notre ADN et nous engage dans un processus d’amélioration continue pour le bien de tous. »

Cet audit de renouvellement de la triple certification VSB a duré une semaine. Les activités du siège social et de l’ensemble des agences de VSB ont été auditées. Pour la partie terrain, un site photovoltaïque en exploitation et maintenance et un site éolien en construction ont aussi été visités. La triple certification est renouvelée tous les 3 ans.

Le LNE accrédité Cofrac pour les mesures tridimensionnelles

Les industriels ont besoin d’étalonner leurs étalons spécifiques ou gabarits pour assurer la traçabilité de leurs mesures au Système international d’unités, ou répondre aux exigences de leur système qualité.

En ayant reçu cette extension d’accréditation, le LNE peut réaliser, sous accréditation Cofrac, des étalonnages réalisés sur machine à mesurer tridimensionnelle : mesures de diamètres, de distances, d’angles… Ainsi, ces pièces étalonnées par le LNE pourront servir de références pour des bancs de mesures spécifiques, des appareils à mesurer tridimensionnelles à contact ou sans contact ou des montages de mesures spécifiques. Ces étalonnages sont effectués sur une machine à mesurer tridimensionnelle Zeiss type Accura II au LNE-Nîmes.

Un responsable QHSE utilise la solution TeePee

LRQA et Elevate s’associent pour répondre à la demande croissante mondiale de solutions ESG

Les deux sociétés devraient obtenir un bénéfice commun de ce rapprochement. En associant gammes de produits complémentaires et implantations géographiques, le groupe pourra satisfaire les besoins des clients et se verra offrir la possibilité de faire progresser son offre de services numériques.
Pionniers dans leurs secteurs de marché respectifs, LRQA et Elevate présenteront une gamme étendue d’informations s’appuyant sur les données, de services en matière de conseil, d’analyses de données et de meilleures pratiques pour une gestion durable de la chaine logistique. Grâce à une expertise approfondie du marché local, des solutions de gestion de la marque et des critères ESG et des offres de cybersécurité et des services d’inspection et de formation, seront proposées pour une multitude de secteurs, y compris, le négoce, l’électronique, l’énergie, la production, les services financiers et le textile.
Ces six dernières années, les équipes d’Elevate ont créé un écosystème de services complet en matière de critères ESG s’appuyant sur les bases solides que représentent l’évaluation sur le terrain, l’accompagnement, la gestion des programmes personnalisés et l’analyse des données. Cet ensemble de services fait évoluer le paradigme prévalent en matière d’audits qui se veut universel pour l’adapter afin qu’il répond aux besoins spécifiques du profil de risque du client et de la structure d’approvisionnement de celui-ci.
LRQA, devenue une société entièrement indépendante détenue par des fonds gérés par Goldman Sachs Asset Management en décembre 2021, a pour objectif d’augmenter son offre dans des secteurs clés en croissance et d’exploiter la demande accrue sur ses marchés des services de certification, d’inspection et de cybersécurité.
Paul Butcher, DG de LRQA, a affirmé : « Le marché du management des risques évolue avec une incroyable rapidité et nos clients ont besoin d’un partenaire qui puisse les aider à s’adapter, tout particulièrement lorsqu’il s’agit des principes ESG. Cette alliance reflète clairement notre détermination à satisfaire ces besoins. Nous réunissons deux entreprises extrêmement prospères dans le but de créer une structure hautement spécifique dans le domaine des ESG, et ce, sur la base d’une expertise reconnue à l’échelle internationale et animée par la conviction commune que les données ont le pouvoir de faire changer les choses. Les entreprises doivent rapidement repenser leur approche en matière d’ESG et je pense que cet accord va révolutionner la façon dont nous offrons des solutions à nos clients ».
Ian Spaulding, qui a frotement contribué à la croissance d’Elevate depuis sa création en 2013, rejoindra l’équipe de direction de LRQA. Il déclare :
« Cette collaboration avec LRQA est en accord avec notre vision novatrice axée sur les données en ce qui concerne le rôle majeur joué par les facteurs ESG dans les chaines logistiques. Cela va permettre de développer notre écosystème de services en matière de critères ESG, de faire concorder nos solutions reconnues à l’échelle internationale dans le domaine « S » avec l’expertise « E » de LRQA et d’étendre notre champ d’action et notre présence au sein du secteur ».
L’équipe de Goldman Sachs Asset Management, dirigée par Michael Bruun, Jose Barreto et Mihir Lal, a noté, quant à elle, : « Nous sommes très enthousiastes à l’idée de cette association, deux entreprises très complémentaires d’excellente réputation sur le marché pour ce qui est de la gestion en matière d’efficacité des services, d’orientation client et de leadership d’opinion. L’acquisition d’Elevate permettra d’optimiser la portée et l’ampleur des compétences actuelles de LRQA en matière d’amélioration continue de la qualité de la chaine logistique, des services numériques et des principes ESG, et aidera LRQA à accompagner au mieux ses clients afin qu’ils s’orientent vers une croissance durable dans un environnement de risque. Nous sommes ravis d’accueillir l’équipe Elevate, dirigée par Ian Spaulding, dans la famille LRQA et c’est avec enthousiasme que nous envisageons le rôle que l’entreprise Elevate va jouer dans la trajectoire de croissance de LRQA en matière d’amélioration continue des facteurs ESG, qui ne cessent de gagner en importance ».
Enfin, la transaction devrait se terminer en 2022, après réception des autorisations réglementaires.

29% des usines auditées par Qima en 2021 ne respectaient pas les standards d’éthique

Qima a installé chez 17 000 clients des solutions logicielles et des services d’inspection et d’audit afin de les aider à sécuriser leurs approvisionnements, même lorsqu’ils viennent du bout du monde. Pour le baromètre du premier trimestre 2022, la société a ainsi recueilli 300 millions de données en 2021, produisant jusqu’à 160 indicateurs de qualité et conformité pour ses clients. Ces données ont été récoltées par les inspecteurs et auditeurs Qima mandatés sur site, ou encore par les marques et les usines elles-mêmes via la plateforme collaborative QIMAone.

En 2021, l’entreprise a connu une augmentation des volumes d’inspections qualité et audits de +33%. Sur la totalité des contrôles qualité, 36,3% ont mené à des refus de marchandises. Ce taux d’échec en baisse de -12,7%, révèle une amélioration du niveau de qualité par rapport à l’année 2020, qui avait été chaotique sur ce point.

 29 % des usines ayant une non-conformité éthique.  

Un score éthique compris entre 1 et 10 est attribué à chaque site de production audité par Qima. Il est établi selon des critères de conditions de travail (volumes horaires, salaires, avantages sociaux), d’âge des travailleurs (lutte contre le travail des enfants), de gestion des déchets, d’hygiène, de sécurité et de santé.

Le score éthique moyen des usines auditées par Qima en 2021 est de 7,92/10 : ce score en baisse de -0,38 points par rapport à 2020 a ainsi atteint son plus bas niveau depuis 4 ans.

Mais les usines ayant des mauvais scores sont de plus en plus nombreux : 29% des usines auditées par Qima en 2021 ayant une non-conformité éthique ont requis une intervention immédiate. Ce taux est le plus élevé depuis 2017. La responsabilité sociale des chaînes d’approvisionnement s’est donc dégradée à un rythme alarmant en 2021 … 

Répercussion logique de la pandémie : les violations ont été particulièrement répandues dans les secteurs d’activité liés à la santé et à la sécurité, qui ont vu leur score moyen de 2021 chuter de -7,5 % par rapport à 2020. Elles concernaient majoritairement les horaires de travail et la non-conformité des salaires.

Reprise étouffée en 2021 

L’approvisionnement en Chine a eu un très fort rebond au 1er semestre 2021. Mais il a été ralenti par la crise énergétique chinoise qui a commencé en septembre, entraînant de fortes perturbations à la veille de la saison des fêtes. Si la Chine reste néanmoins incontournable, elle s’est révélée plus résiliente que ses concurrents régionaux. La demande d’inspection et d’audit en Chine a, en effet, augmentée de +21,5% entre 2020 et 2021 (+13% entre 2019 et 2021). Ce rebond a concerné tous les biens de consommation produits dans le pays, sauf les produits électroniques frappés par la crise mondiale des semi-conducteurs. Cependant, la part de la Chine parmi les 5 premières régions d’approvisionnement des acheteurs occidentaux a conservé son plus bas niveau en 3 ans. Les acheteurs affichent donc un optimisme prudent vis-à-vis de la Chine pour 2022.

Au Vietnam, après une augmentation des inspections de +67% au 1er semestre (par rapport à 2019), la production a été fortement frappée par le variant Delta en juillet 2021. Les demandes d’inspections et d’audits ont diminué en continu sur août, septembre et octobre 2021. Une fois les confinements levés, les travailleurs ont quitté les villes en masse. Aujourd’hui, 100 000 travailleurs manqueraient à l’appel dans le Sud du Vietnam. Fin novembre, un tiers des usines fonctionnaient donc en dessous de 80% de leurs capacités. Les secteurs de la chaussure et de l’habillement sont les plus durement impactés : la demande d’inspections et d’audits au 4ème trimestre y a diminué de -29 % par rapport à 2020.

La région Méditerranée et Moyen-Orient a enregistré, quant à elle, une forte croissance de +81 % de demande d’audits et d’inspections par rapport à 2019 (+40 % par rapport à 2020). Beaucoup de marques européennes ont, en effet, rapproché leur production afin de raccourcir leurs chaînes d’approvisionnement et de réduire les perturbations.

Enfin, en 2021 l’Inde a connu une augmentation de +60% des demandes d’inspections et d’audits par rapport à 2019. Il semble être une alternative de premier plan à la Chine et ses voisins, notamment pour de nombreux acheteurs américains.

Cikaba lève 2,3 millions d’euros pour accélérer sa croissance

Fondée fin 2017 à Clermont-Ferrand par Yan Bailly et Frédéric Domon, Cikaba a pour objectif d’améliorer la sécurité et la santé de millions de personnes en orientant l’innovation et la technologie au plus près du terrain. Avec son offre digitale, l’entreprise permet aux sociétés de garder une longueur d’avance sur les risques : grâce à l’Intelligence Artificielle, elle détecte dans les données des entreprises les signaux permettant de prévoir l’accidentologie future et de préconiser des actions de prévention que ses logiciels QHSE diffusent ensuite auprès de tous les publics concernés (salariés, intérimaires, transporteurs, sous-traitants et entreprises extérieures).

“Le secteur de la prévention évolue. Il se digitalise rapidement pour répondre à des enjeux éthiques et normatifs toujours plus prégnants. C’est pour cela que les Responsables HSE (Hygiène Sécurité Environnement) en charge de ces questions chez nos clients apprécient nos solutions. Elles leur font gagner un temps considérable dans la gestion de leurs processus de prévention. Elles améliorent très sensiblement l’efficacité de leur politique sécurité en leur offrant des possibilités de pilotage inégalées sur le marché. Chaque jour, nos équipes sont fières de l’impact réel que nous apportons à la santé des travailleurs” affirme Frédéric Domon, l’un des fondateurs de Cikaba.  

Actuellement accompagnée par le Village by CA Centre France, Cikaba emploie 20 collaborateurs et opère sur 3 continents auprès de 300 clients dans les secteurs de l’industrie, des services, de la logistique, de l’intérim et du BTP. 

Le tour de table d’un montant de 2,3 millions d’euros, avec un mix de fonds propres et de dettes; et la participation des fonds Jérémie Innovation 2 et Métropoles Innovations gérés par UI investissement, de CACF Capital Innovation (Groupe Crédit Agricole Centre France) et de Bpifrance, a pour but d’accélérer la croissance de Cikaba tout en conservant son avance technologique. Les nouveaux moyens fournis à l’entreprise viendront soutenir sa croissance européenne, grâce notamment au recrutement de plus de 50 personnes.

Avec le soutien et l’expertise de ses investisseurs, Cikaba souhaite devenir un acteur mondial incontournable de la digitalisation des processus de prévention.

Yoann Ribay, Directeur d’investissement chez UI Investissement conclut : « Nous sommes ravis de soutenir l’équipe de Cikaba pour l’accompagner dans son déploiement commercial via nos fonds d’investissement de proximité. La société a déjà su convaincre plusieurs grands comptes et offre d’importantes perspectives de développement et de création de richesse. »

Nisrene Haddad nommée Directrice RSE du groupe Manutan

Diplômée d’un Bachelor en géologie de l’Université Américaine de Beyrouth, Nisrene Haddad débute sa carrière dans l’industrie du pétrole et du gaz. Souhaitant allier son engagement personnel et son parcours professionnel, elle obtient un MBA en stratégie à la Rotterdam School of Management en 2008 et écrit une thèse consacrée à « la mise en oeuvre de la stratégie RSE dans les entreprises”. En 2010, elle intègre le groupe Wavin (leader mondial des solutions de canalisations en matière plastique) comme Responsable du Développement Durable de la société où elle conçoit et déploie le plan d’actions RSE. Entre 2013 et 2016, elle rejoint Arizona Chemical puis Kraton (expert des produits chimiques biosourcés et des polymères spécialisés) et y exerce son expertise dans trois principaux domaines de la gestion environnementale : la conformité, la
réduction des risques et la durabilité. Ensuite, en 2020, en tant que Directrice de la Responsabilité Environnementale, elle s’occupe alors de la stratégie durable d’Orbia (conglomérat de 6 entreprises allant de l’industrie minière à l’agriculture). Puis en 2021, chez Avery Dennison (entreprise américaine spécialisée dans la conception et la fabrication d’une grande variété d’étiquettes et de matériaux fonctionnels), elle est chargée du développement durable de l’entreprise en Europe et en particulier de la stratégie dédiée à l’économie circulaire.
Une riche expérience RSE au service du groupe Manutan
Après une expérience de plus de 10 ans à la tête des stratégies RSE de grande sociétés, Nisrene Haddad est nommée Directrice RSE du groupe Manutan (Group CSR Director). Elle dirige ainsi la stratégie environnementale et sociétale du Groupe de manière transversale, en collaboration avec les différents services de l’entreprise. En s’appuyant sur les nombreuses initiatives en place à travers les 27 filiales, sa mission consiste à coordonner et structurer l’ambition RSE du groupe.
Je suis ravie d’être la première Directrice RSE de Manutan ! J’ai à coeur de mettre mon expérience passée et mon engagement personnel au service d’un Groupe aux valeurs humaines et sociales fortes, et de développer une stratégie durable basée sur l’inclusion sociale et la protection des ressources.”, déclare Nisrene Haddad.
Nous sommes ravis d’accueillir chez Manutan notre première Directrice RSE ! Cela renforce notre engagement sociétal et environnemental, déjà ancré dans nos valeurs, à travers les nombreuses actions déjà déployées ces dernières années au sein du Groupe. Notre objectif est d’avoir un impact positif sur la société et les compétences de Nisrene vont définitivement nous aider à y parvenir”, conclut Xavier Guichard, Directeur général de Manutan.

Des spécialistes de la qualité dans l’industrie pharmaceutique vétérinaire

CGI et ATF Gaia : un partenariat pérenne pour l’économie circulaire et solidaire

ATF Gaia, société adaptée spécialisée dans le réemploi de matériels IT, dresse le bilan de son partenariat avec CGI, le spécialiste mondial du conseil et des services numériques, qui s’appuie sur son expertise pour le traitement de ses matériels IT en fin de vie.

Depuis 2015, près de 18 000 équipements ont été pris en charge par l’entreprise adaptée, traités suite à 99 collectes effectuées sur les 24 sites de la société en France ; quelques 9 000 effacements de disques durs certifiés ont été réalisés (ordinateurs de bureau et serveurs), majoritairement dans l’atelier de production d’ATF Gaia, localisé à Moissy-Cramayel en Ile-de-France.

Sur les 100,8 tonnes d’équipements IT (PC, serveurs, imprimantes, etc.) en fin de vie traités depuis le début du partenariat, le taux global de réemploi (reconditionnement et valorisation) est de 94,54 %. En outre, le partenariat a permis de pérenniser l’emploi d’au moins 10 personnes en situation de handicap.

CGI dispose aussi d’une politique de dons d’ordinateurs à des organismes ou associations depuis 2017. L’objectif de ces opérations est de se développer dans les années à venir. Dans ce cas, ATF Gaia réalise les mêmes opérations de collecte, d’effacement de données, de reconditionnement et d’installation d’un système d’exploitation Windows Refurbished.

« Cette démarche est à la fois écologique, sociale et solidaire. Elle démontre qu’avec l’expertise, l’expérience, la volonté et de bons partenaires, il est possible de développer des pratiques vertueuses », affirme Magali Fabre, Directrice Diversité et Inclusion de CGI.

CGI engagée pour un monde plus inclusif et durable

CGI réalise des actions RSE autour de trois axes majeurs : la réduction de son impact environnemental, la mise en œuvre d’actions pour favoriser l’inclusion et la diversité et le développement de projets solidaires soutenus par ses collaborateurs.

« Pour ce qui est de nos outils informatiques, notre impact environnemental est essentiellement dû à la gestion de fin de vie de nos matériels. Nous avons retenu ATF Gaia, qui dispose d’une expertise reconnue dans le domaine du réemploi de parcs informatiques. Sur le volet social, confier ces missions à une entreprise adaptée, dont 55 % au moins des effectifs sont en situation de handicap, participe pleinement à nos objectifs RSE en matière d’inclusion et de diversité », précise Laurent Gerin, Président de CGI pour l’Europe de l’Ouest et du Sud.

En 2022, CGI veut renouveler une part importante de son parc informatique. Satisfaite de la qualité de service délivrée, de la réactivité des équipes d’ATF Gaia et de ses capacités logistiques multisite pour collecter les matériels, CGI continuera à s’appuyer sur l’entreprise adaptée pour le traitement de ses équipements IT en fin de vie.

« Ce partenariat renouvelé avec CGI nous permet de pérenniser l’emploi de personnes en situation de handicap, et de concilier économie sociale et circulaire, ce qui constitue le cœur de notre engagement depuis notre création, il y a 26 ans », conclut Sylvain Couthier, fondateur et président d’ATF Gaia.

Cacolac : une entreprise innovante labellisée PME+

La labellisation PME+ soutenue par la FEEF (Fédération des Entreprises et Entrepreneur de France), récompense les choix durables adoptés par Cacolac : matières premières françaises et locales, diminution de l’empreinte environnementale de l’activité, adoption d’emballages 100% recyclables, information des consommateurs avec l’affichage Nutri-Score, défense de la parité hommes-femmes au sein de l’entreprise, stratégie de formation continue, amélioration du confort au travail…

Les initiatives de la PME en matière de RSE sont nombreuses malgré si la hausse généralisée des coûts liés aux matières premières, aux emballages, au transport, à l’énergie… En 2022, l’entreprise a notamment prévu de renforcer sa lutte contre le gaspillage. Elle deviendra ainsi le partenaire de la plateforme Too Good To Go pour diminuer le gaspillage alimentaire et investir dans une nouvelle ligne de conditionnement afin de supprimer le suremballage plastique logistique.

Christian Maviel, Président de Cacolac et membre de la famille co-fondatrice, précisse : « Les valeurs portées par la Responsabilité sociétale des entreprises sont ancrées dans l’ADN de Cacolac. Nous sommes une entreprise familiale qui, depuis 1954, doit son succès à ses valeurs et à ses engagements pris auprès des travailleurs, des producteurs et des consommateurs. La RSE, pour Cacolac, ce n’est pas un vain mot. C’est une philosophie et un engagement. C’est la clé de la pérennité de notre marque. C’est aussi, et c’est surtout, un espoir : l’espoir d’une production agricole et industrielle responsable, qui respecte l’environnement et le bien-être des hommes, des femmes et des enfants. »

Fabrication française et approvisionnements locaux

En outre, la PME produit ses recettes à Léognan, à côté de Bordeaux, en Gironde. Le lait, le cacao et le sucre sont les trois principaux ingrédients des boissons Cacolac. Leur matière première principale, le lait, provient de la même coopérative depuis plus de 50 ans, et collecté auprès des éleveurs locaux du Lot-et-Garonne, à moins de 150 km de Bordeaux. En effet, la société privilégie un approvisionnement local et durable auprès d’entreprises françaises pour les ingrédients de ses recettes.

Des recettes équilibrées et transparentes

En outre, l’entreprise est engagée pour la transparence et l’information des consommateurs. Toutes les boissons de la marque présentent le Nutri-Score et elles ont obtenu une note A ou B. En effet, la PME présente des recettes équilibrées, avec une bonne dose protéique pour un faible apport lipidique. Cacolac est constitué de plus de 90 % de lait et moins de 1 % de matière grasse (taux inférieur à un lait demi-écrémé). La boisson fournit un quart des Apports Journaliers Recommandés (AJR) en phosphore et en calcium.

Des emballages 100 % recyclables et un environnement préservé

Toutes les boissons de la société disposent d’emballages entièrement recyclables : canettes aluminium, bouteilles en verre et briques en carton. Parmi ses dernières innovations, la marque a même lancé une nouvelle gamme « Mon premier Cacolac » dans une brique biosourcée certifiée Carbon Trust avec une paille papier. Les briques de cette nouvelle gamme sont des emballages Tetra Pak® et sont composées de 86 % de matière première végétale, contre 70 % auparavant. L’arrivée de cette nouvelle matière première végétale dans la constitution de la brique per­met de diminuer son empreinte carbone de 22 % par rapport à un emballage standard.

Par ailleurs, pour réduire son empreinte environnementale, l’entreprise assure des actions sur son site de fabrication. L’entreprise recycle l’intégralité des emballages des matières premières qu’elle emploie pour produire ses boissons et l’eau consommée durant le processus est réutilisée afin de nettoyer ses outils de production.

Un savoir-faire et un management de proximité

Aujourd’hui dirigée par Christian Maviel, membre de la famille cofondatrice, la PME n’a jamais quitté sa région natale girondine depuis sa création en 1954. Elle est localisée depuis 2000 à Léognan, près de Bordeaux, où sa cinquantaine de collaborateurs ont un outil de production à la pointe de la technologie pour participer au dynamisme économique de la région. Très vigilante à l’équité hommes-femmes, l’entreprise adopte un management de proximité en accompagnant notamment la progression de ses salariés par une formation permanente et en veillant à leur bien-être par des projets d’amélioration des conditions de travail.