Cirrus Research plc certifié ISO 9001:2008

L’entreprise Cirrus Research plc, fabricant d’instruments de mesure du bruit distribués en France par Cirrus France Ltd, a été certifié ISO 9001:2008.

L’évaluation a été menée par le BSI, premier organisme indépendant de certification au Royaume-Uni. Elle démontre l’engagement de Cirrus en matière de qualité de service clientèle.

La certification de Cirrus Research plc s’applique à  la conception, la fabrication, la livraison, au service après-vente et à  la recalibration de tous ses instruments de mesure et de surveillance du bruit au niveau mondial.

Vincent Langlard, directeur général de Cirrus France Ltd, s’exprime ainsi : »Nous sommes particulièrement fiers que Cirrus Research plc ait obtenu la certification ISO 9001:2008, c’est une reconnaissance de notre volonté d’engagement envers nos clients. Nous fournissons un produit de qualité du devis jusqu’à  la livraison et nous restons à  l’écoute des besoins et des attentes de nos clients tant pour la formation que pour le service après-vente. Cette certification est une conséquence directe du fait que l’ensemble de la société travaille efficacement à  développer et à  maintenir la qualité, la satisfaction client, la normalisation et l’amélioration continue des processus internes.

Avec la certification ISO 9001:2008 de Cirrus Research plc, Cirrus France peut compter sur un  » Système de Gestion de la Qualité  » reconnu mondialement assurant l’excellence et la réussite à  long terme. »

Source : https://www.cirrusresearch.fr

L’environnement passe après les résultats de l’entreprise

Une étude de Grant Thornton, groupe leader d’audit et de conseil en France et dans le monde, menée par Experian Business Strategies Ltd. auprès d’un panel de 7 200 entreprises privées – à  travers 36 pays qui représentent 81 % du PIB mondial – montre que plus d’un dirigeant français sur deux (53 %) ne mettrait pas en place des pratiques favorables à  l’environnement si elles avaient des effets négatifs sur le résultat de leur entreprise.L’étude pointe d’énormes disparités entre pays. En effet, elle montre que 43 % des dirigeants européens et 36 % des chefs d’entreprises au niveau mondial ne désirent pas initier une politique « verte » dans la mesure o๠elle aurait une incidence sur leurs profits. Dans le détail, ils sont 61 % de dirigeants danois, 49 % d’anglais et 43 % d’allemands à  ne pas penser mettre en place des mesures de développement durable si elles avaient un coàût contre seulement 26 % des chefs d’entreprises suédois et 20 % des grecs.

Robin Edme, Associé de Grant Thornton Ecodurable®, explique :  » Ces résultats sont à  relativiser, au moins pour l’Europe, dans la mesure o๠les obligations environnementales sont déjà  très fortes et que le contrôle des impacts environnementaux est très encadré. Les politiques « vertes » des entreprises françaises et européennes sont déjà  anciennes. En revanche, ces résultats montrent bien que toute politique de développement durable, pour être intégrée au ceour de la stratégie, doit faire la preuve de son impact sur la performance économique et financière de l’entreprise « .

Outre-Atlantique, ce sont 46 % des chefs d’entreprises américains qui seraient prêt à  initier des actions pour lutter contre le réchauffement climatique, 43 % des dirigeants brésiliens, 55 % des canadiens et 60 % des mexicains.

Autre enseignement dispensé par l’enquête : la proportion de chefs d’entreprises français pensant que les milieux d’affaires sont favorables à  la protection de l’environnement est moins élevée que la moyenne mondiale. Ils sont ainsi 41 % en France, contre 46 % au niveau européen et 49 % au niveau mondial.

Dans les pays du nord de l’Europe, en revanche, la green attitude est plus ancrée, même si certains contrastes apparaissent. Pour preuve, 69 % des dirigeants danois, 63 % des finlandais, 61 % des allemands et 60 % des suédois pensent que les milieux d’affaires sont favorables à  la protection de l’environnement, contre seulement 20 % des belges et 40 % des anglais.

A contrario, Seuls 16 % des chefs d’entreprises grecs, 18 % des turcs et 28 % des chinois, à  égalité avec les russes, considèrent la protection de l’environnement comme un objectif prioritaire.

Robin Edme de poursuivre :  » Là  encore, une lecture circonstanciée des résultats s’impose et met en exergue le fait qu’il est aujourd’hui nécessaire de passer d’une approche passive des enjeux environnementaux, c’est-à -dire se prémunir contre un risque, à  une approche plus active, autrement dit les considérer comme des opportunités pour l’entreprise, en termes de réduction de coàûts, de gains de productivité et de captation de nouveaux marchés « .

Source : https://www.internationalbusinessreport.com

KSB reçoit le Prix de l’Excellence environnementale 2009 de Frost & Sullivan

KSB s’est vu décerner « 2009 Green Excellence Environmental Activism Award » dans la catégorie pompes centrifuges, par le cabinet conseil international Frost & Sullivan. Par cette distinction, Frost & Sullivan a voulu récompenser les activités de recherche et de développement dans le domaine de l’innovation, de la sécurité et de l’efficacité énergétique des produits. Au-delà , ce prix vient couronner la stratégie de marque du constructeur de pompes et de robinetterie, basée sur des standards de  qualité, de sécurité et d’excellence partout dans le monde.  

KSB a, depuis des années, inscrit l’efficacité énergétique parmi ses priorités. De cette démarche sont issus des variateurs de fréquence pour pompes, des moteurs à  haut rendement, de systèmes de contrôle-commande électroniques pour robinets de régulation, auxquels vient encore s’ajouter l’utilisation de matériaux écologiques que KSB développe lui-même dans ses laboratoires.

Source : https://www.ksb.com

L’importance du retour sur information

Brigitte Ricou-Bellan, Vice-President et Managing Director de Dow Jones EMG, en charge de l’offre Researcher & Knowledge Worker, livre un ouvrage complet sur la façon dont l’intégration des informations agit directement sur la performance d’une entreprise, avec deux cas de multinationales à  l’appui.  

Dow Jones Enterprise Media Group propose aux internautes de découvrir son nouveau livre blanc consacré au « Retour Sur l’Information: Comment l’Intégration des Informations fait Progresser les Indicateurs de Performance des Entreprises ». Dans une économie évoluée, le capital intellectuel d’une entreprise devient un atout indispensable pour sa pérennité et fait donc l’objet d’une surveillance accrue. Tous les dirigeants de multinationales se demandent quels sont leurs besoins et leurs lacunes en matière d’information, comment les obtenir et surtout les valoriser.
 
Or, dans la plupart des entreprises, il existe un décalage profond entre les données internes récoltées et les sources médiatiques externes. En comblant ce fossé, les Dirigeants apportent un éclairage nouveau à  chaque fonction principale de l’entreprise et obtiennent donc des gains de temps et d’argent non négligeables. De plus, une veille bien menée offre des opportunités intéressantes en matière de prospection de clients. D’ailleurs, plusieurs cas concrets corroborent cette idée que la vraie valeur ajoutée des investissements en matière d’information dépasse bien souvent les attentes des décisionnaires.
 
En 2005, Stephen Kaukoen, membre de l’équipe Global Knowledge Management du cabinet de consulting Accenture, a eu comme délicate mission de mesurer le retour sur investissement de leur portail de contenu, le Knowledge Exchange. Il explique :  » Accenture se définit par son savoir et ses collaborateurs. Il faut que nous exploitions nos connaissances de la manière la plus efficace. La question était alors de savoir comment gérer celles-ci et quelle incidence nous avions sur notre entreprise. Nous devions rendre notre valeur ajoutée tangible « .
 
Dans ce cas précis, les indicateurs conventionnels des connaissances étaient insuffisants, l’équipe Knowledge Management a donc dàû imaginer une méthodologie reposant sur un solide raisonnement scientifique. Accenture s’est alors principalement concentré sur un aspect pouvant être mesuré avec facilité: le gain de temps. Et, les résultats de cette enquête réalisée auprès d’un échantillonnage de 3 294 personnes ont montré que le retour calculé pour chaque dollar qu’Accenture dépense pour en knowledge management est d’au moins 25 dollars.
 
«  L’étude d’impact,  » confie Stephen Kauhoen,  » a constitué une validation extraordinaire de la valeur ajoutée réelle que le Knowledge Management apporte à  une société telle qu’Accenture, dont le ceour de métier repose sur la connaissance. « 
 
Pour la société Caterpillar, l’histoire est un peu différente mais ressemble à  celles d’un grand nombre de multinationales, à  savoir qu’elle s’est retrouvée inondée d’informations qui se trouvaient pour la plupart être complètement inutiles. Alors que le manque d’informations peut nuire à  une entreprise, en recevoir de manière excessive est aussi dangereux. En effet, un surplus d’informations peut amener les décisionnaires à  rater celles qui présenteraient une réelle valeur.
 
Récemment, Lea Mc Call, responsable du business resource center de Caterpillar, s’est ainsi retrouvée sous pression pour recueillir, organiser et diffuser aux cadres, notamment basés en Asie Pacifique, les actualités concernant la concurrence.  » Nous compilions les newsletters manuellement « , confie cette dernière. Et sans accès aux copyrights intégraux, le contenu se limitait aux résumés dactylographiés à  la main. Non seulement cette façon de faire demandait beaucoup de personnel, mais elle était lente.  » Parfois, il fallait deux semaines pour faire parvenir des informations en Chine, puisqu’elles étaient envoyées par courrier.  »
 
Lea Mc Call et Caterpillar avaient donc besoin d’avoir accès à  des articles intégraux pouvant être parcourus rapidement en fonction de leur pertinence, puis diffusés électroniquement. L’enjeu était de surveiller efficacement la concurrence et le marché afin d’aider Caterpillar à  gérer ses opérations. La réponse correspondait à  un service proposant un contenu payant de qualité et offrant des fonctionnalités de newsletters.
 
Et le résultat est concluant :  » Nous bénéficions d’informations validées provenant de sources fiables et avons accès à  des informations historiques sur des questions plus vastes « , explique Lea Mc Call. La sélection du contenu était la partie la plus longue du processus, mais l’utilisation d’alertes personnalisables recherchant les actualités intéressantes en fonction de la problématique de l’entreprise et d’autres paramètres, l’a rendu plus efficace. En ce qui concerne le temps passé par les collaborateurs de Caterpillar, les fonctionnalités de ce service ont permis de  » gagner au moins huit heures par semaine au sein du centre de ressources « , conclut-elle.
 
Ainsi, la réelle valeur ajoutée de l’Information Media pour une entreprise n’est plus à  démontrer. Et encore récemment, Dow Jones a réalisé une étude multisectorielle et multinationale auprès de ses clients Dow Jones Factiva pour connaître leur point de vue sur ce sujet. Dès lors, 94% des clients conviennent qu’un outil tel que Factiva les aide à  être plus productifs. Ils avouent aussi qu’un tel service les aide à  mieux répondre aux besoins de leurs clients, à  prendre de meilleures décisions et est devenu très important pour leur travail. De plus, 80% d’entre eux affirment que Dow Jones Factiva leur fournit un éclairage sur l’activité de leurs concurrents et/ou clients et plus de 90% attestent que cela leur fait gagner du temps.

Source : https://solutions.dowjones.com/press/2009/ROIebookFR

Centre européen de formation Minitab® à  Paris

La société Minitab met à  la disposition de ses clients son centre européen de formation à  Paris. Cette nouvelle salle de formation, équipée de douze ordinateurs et d’un vidéo-projecteur, est située au 1 cité Paradis, à  proximité immédiate de la Gare du Nord, de l’Opéra et de la Gare de l’Est.

Nous vous proposons, tout au long de l’année 2009, un choix de cours sur les statistiques appliquées avec le logiciel Minitab® Statistical Software, en français ou en anglais. Les séances sont dispensées par les formateurs de la société Minitab, tous diplômés en statistiques, dont l’expérience des méthodes d’amélioration des processus équivaut à  celle des Black Belts. 

Par ailleurs, si vous cherchez une salle équipée d’ordinateurs et d’un vidéo-projecteur à  Paris, en France, ou à  Coventry, au Royaume-Uni, n’hésitez pas à  solliciter la société Minitab afin de vérifier la disponibilité de ses salles de formation aux dates qui vous intéressent. 

Source : https://www.minitab.com/fr-FR/training/instructor-led/schedule.aspx