Responsabilité sociétale des entreprises et excellence au Club Francilien Progrès Performance lance le second round!  Pour une évaluation optimisée des entreprises. Prises en étau entre les affres européennes et la mondialisation économique, nos entreprises, et notamment les PME, n’ont pas d’autre choix que d’améliorer leurs performances. Alors que la pression concurrentielle s’accroît, le concept de responsabilité sociétale des entreprises (RSE) se développe. Après une période d’observation prudente, les grandes associations entrepreneuriales y voient à présent un « levier de création de valeur.  Est-il raisonnable et réaliste, pour une entreprise focalisée, en ces temps de crise, par ses marges et sa trésorerie, de lancer une démarche de RSE ? La « valeur partagée » (Michael Porter), est-elle une utopie, ou au contraire une vision politique fédérant les équipes ?  Les deux experts du Club francilien Progrès et Performance, qui avaient, il y a quelques mois, lancé le débat lors d’un atelier mémorable, se retrouvent en lice pour exprimer leurs convictions. En fait, celles-ci se rapprochent, et ce deuxième atelier va sceller leur position Extraits du programme : Excellence et RSE sont résolument et définitivement compatibles. La durabilité de la performance d’entreprise est liée à la satisfaction des multiples parties prenantes. La dynamique d’une démarche d’excellence, qui intègre les pratiques de RSE, catalyse les forces vives de l’entreprise et donne du sens au projet entrepreneurial. L’évaluation régulière des performances, dans un cadre d’amélioration continue, peut s’opérer à l’aide d’outils communs Excellence-RSE ! Déclaration iconoclaste ou… simple bon sens ? Si cette approche vous intéresse, si vous souhaitez participer à cette présentation, ne tardez pas à vous inscrire à cet atelier  jeudi 05 juillet 2012 de 9h30 à 12h30 à PARIS Inscription obligatoire : evenements-mfq@mfq-iledefrance.org(code à préciser MBP06 )

Prévention du dopage et alimentation   Le Ministère des sports a sollicité AFNOR pour une norme relative à la fabrication de compléments alimentaires et autres denrées destinés aux sportifs afin de valoriser les meilleures pratiques existantes et de les proposer à la filière agroalimentaire des industriels concernés.  La voie normative a permis d’associer, dans le cadre d’une démarche collective et sur la base d’un consensus, un grand nombre d’organismes qui ont adopté des exigences relatives à la conception, au développement et à la fabrication non seulement des compléments alimentaires mais également des autres denrées alimentaires destinés aux sportifs.  Pour les consommateurs, une mention apposée sur l’emballage attestera que l’industriel s’est engagé à suivre la norme NF V 94-001 pour les protéger de tout dopage. Différentes études attestent que certains de ces produits, provenant notamment de pays tiers et/ou achetés sur Internet, peuvent contenir des substances dopantes. Outre les conséquences potentiellement néfastes pour la santé, leur utilisation peut conduire à rendre positif un contrôle antidopage, et donc entraîner une sanction à l’encontre de tout sportif contaminé. La liste des substances interdites est publiée chaque année par l’Agence mondiale contre le dopage et est reprise tous les ans par l’Agence Française de Lutte contre le Dopage, avec une publication dans la règlementation française.  La norme, dans une approche pragmatique, recommande à l’industriel d’identifier les substances qui concernent ses produits et de vérifier que les ingrédients qu’il utilise n’en contiennent pas. Les exigences de la norme Parmi les exigences clés de la norme, l’industriel s’engage à conserver les échantillons des produits finis pour aider les autorités compétentes, en cas de suspicion de non-conformité détectée, une fois le produit mis sur le marché. La norme propose aussi des bonnes pratiques pour sélectionner les ingrédients, choisir les fournisseurs et organiser la fabrication des produits. Elle aide aussi à prévenir toute contamination fortuite, lors de la fabrication et du transport des ingrédients et des produits finis.  https://www.afld.fr/webfm/pdf/2011d2011-1947du23decembre2011substancesetmethodesinterditesdanslesporten2012pdf

Source : https://www.afld.fr/webfm/pdf/2011d2011-1947du23decembre2011substancesetmethodesinterditesdanslesport

BonitaSoft, premier éditeur BPM Open Source et www.allaboutbpm.com, le portail communautaire dédié au Business Process Management vous convient à un webinar qui vous permettra de découvrir comment automatiser vos processus d’amélioration continue (Kaizen, Lean Six Sigma etc.) avec une solution sur mesure basée sur la suite BPM Bonita Open Solution. Date :  Mardi 3 Juillet 2012 Horaire : de 11h à 12h
 Agenda :Présentation des intervenantsContexteLes enjeux et facteurs clefs de succès de la démarche d’amélioration continuePrésentation du processus :  Ecouter : collecte des suggestions d’améliorationValider les suggestions d’amélioration et leurs affectations aux plans de progrèsMettre en oeuvre les plans de progrès et suivre leur état d’avancementRéaliser les revues de processus pour piloter la démarche d’amélioration continueMettre à jour le référentiel d’entrepriseIllustration de l’automatisation de ce processus avec Bonita Open SolutionModélisation au format BPMNExécution de ce processus et mise en situation dans le portail Bonita User ExperienceTableaux de bord de suivi des plans de progrèsQuestions / réponses

Source : https://fr.bonitasoft.com/liste-des-evenements/sinscrire-un-evenement?event_id=2254&session_number=12

L e mastère spécialisé Maîtrise des Risques Industriels de MINES ParisTech est une formation pluridisciplinaire unique dans le domaine de la sécurité et la maîtrise des risques. Mines ParisTech ouvre ses inscriptions pour la promotion 2012 – 2013.

Les entreprises peuvent faire appel à l’école dans le cadre de missions ou études à réaliser, à travers un partenariat entre l’étudiant, l’entreprise et MINES ParisTech. 

Source : https://www.crc.mines-paristech.fr/CampagneStagesMRI.pdf

Un défi permanent pour assurer le développement, la pérennité et la compétitivité des entreprises, une histoire de survie  Les nouvelles technologies ont révolutionnés les moyens de production, de communication et ouvert à un marché mondial dans lequel la concurrence fuse de toutes parts. Les entreprises n’ont d’autres choix que d’INNOVER, et ce, dans tous les domaines pour tenter de dégager les avantages concurrentiels nécessaires à l’amélioration de leurs performances et au renforcement de leur compétitivité… Le Club Francilien Progrès Performance a invité plusieurs experts à témoigner des actions qu’ils ont engagées dans leur organisation pour lui permettre de répondre à ce défi permanent, mais aussi en dressant un panorama des moyens mis à disposition par les pouvoirs publics, voire des fonds privés, pour soutenir le progrès et la performance de tous organismes qui contribuent à l’économie.  Examinons ensemble les différentes étapes de cette innovation, des origines possibles jusqu’à la mise en exploitation :
– L’écoute des clients : les études marketing contribuent à la conception de nouveaux produits ou de nouveaux services pour répondre aux besoins …  
– La R&D qui met au point ces produits et les processus pour les fabriquer,
– L’Innovation participative qui a pour vocation de mobiliser les ressources internes et externes de l’entreprise pour leur permettre d’apporter leur concours au progrès de l’entreprise dans tous les domaines.
– Le financement, avant d’engager le développement d’une idée, d’un produit ou d’un service, une première question : comment financer cet investissement ?
– La protection : comment s’assurer que cet avantage concurrentiel sera bien préservé, la propriété industrielle, le brevet, sont-ils les seuls moyens de préserver et/ou valoriser vos concepts ???  Pour participer à cette présentation qui se tient le mardi 18 septembre 2012 de 9h30 à 12h30 à Paris, Inscription avant le 14 septembre 2012 à evenements-mfq@mfq-iledefrance.org en précisant : INVITATION par Qualité Référence / Qualityandco.com 

Par essence, les procédures de travail doivent décrire et refléter la manière exacte de travailler dans une entreprise. A ce titre, l’implication des collaborateurs dans la description des procédures qui les concernent est l’une des clés du succès de leur application ultérieure.

Pourtant, de nombreux établissements – publics et privés – constatent que leurs collaborateurs n’adoptent pas certaines procédures. Il est en effet regrettable de voir que les procédures ne sont pas utilisées ou pas connues alors que des ressources considérables ont été investies pour les décrire. Sont-elles trop compliquées, difficilement accessibles ou encore désuètes ?
Autant de questions qui méritent d’être posées afin de trouver des solutions concrètes et ainsi créer des procédures efficaces et utiles.

A travers ses nombreuses expériences clients, Optimiso Group SA a recensé les  principales raisons pour lesquelles les procédures ne sont pas lues ou appliquées et vous livre ici un panel de solutions testées et approuvées sur le terrain.

 https://www.optimiso.com/fr/informations/newsletters/115-nd0612-les-7-raisons-pour-lesquelles-les-processus-et-procedures-ne-sont-pas-lus-et-appliques

Source : https://www.optimiso.com