Educare by DBT : la filiale de formation du groupe DBT certifiée AFNOR

DBT, leader européen du marché des bornes de recharge rapide pour véhicules électriques, présente sa nouvelle filiale dédiée à la formation des ingénieurs des IRVE (Infrastructures de Recharge pour Véhicules Électriques) : Educare by DBT. Créée fin 2016, cette nouvelle entité est désormais référencée auprès d’AFNOR Compétences pour la formation concernant les infrastructures de recharge pour véhicules électriques.

Une nouvelle filiale dédiée à la formation

Suite à l’augmentation des demandes de formation sur les produits DBT, notamment sur les infrastructures de
recharge, le Groupe DBT a créé une nouvelle entité dédiée à la formation : Educare by DBT. Cette nouvelle filiale forme les professionnels à l’installation, la maintenance et l’utilisation des produits de DBT Charging Electric Vehicles (DBT-CEV) et de DBT Ingénierie. Cet accès à une formation professionnelle assure un service SAV de qualité et une meilleure disponibilité des équipements DBT chez ses clients.

Organisme de formation à portée nationale

Educare by DBT est reconnu en tant qu’organisme de formation, déclaration d’activité enregistrée auprès du préfet de région d’Hauts-de-France. Cette déclaration lui conférant ainsi une portée nationale, l’activité d’Educare by DBT permettra de développer les compétences des entreprises souhaitant se spécialiser dans les Infrastructures de Recharge pour Véhicules Électriques (IRVE). Les prestations sont proposées en quatre langues pour des entreprises françaises ou étrangères.

Partenariat avec AFNOR Certifications


Suite au décret n°2017-26 relatif aux IRVE, Educare by DBT a été sélectionnée par AFNOR Certifications pour la
mise en place d’une qualification afin de répondre aux exigences techniques et de compétences. Fort du savoir-faire
développé sur les produits DBT-CEV, la filiale Educare by DBT sera le partenaire d’AFNOR certification pour
délivrer les formations nécessaires aux entreprises souhaitant obtenir la qualification.

Source : https://www.dbt-bourse.com

Previsoft : 2ème édition de son Baromètre de la Santé et Sécurité au Travail

Previsoft, éditeur de logiciels et cabinet de conseil en prévention des risques professionnels, poursuit la mesure des actions des entreprises en matière de prévention de la santé et de la sécurité au travail (SST) sur les entreprises de plus de 50 salariés. On constate une progression globale, nuancée selon les obligations étudiées.

Investissement des entreprises dans la formation et la sensibilisation en matière de SST

La proportion des entreprises qui ont mis en place un plan de formation relatif à la SST progresse doucement (85% cette année contre 82% en 2017), et ce, malgré le caractère obligatoire de nombreuses formations (Habilitation Electrique, Manipulation extincteur, formation à la conduite, accueil nouveaux arrivants, Levage, …). 71% affirment avoir rédigé un livret d’accueil sécurité (contre 60% en 2017) et 82% d’entre elles ont satisfait à l’obligation de formation des membres du CHSCT ou du CSE à la prévention des risques professionnels quand elles n’étaient que 74% en 2017. Ces derniers demeurent cependant peu associés à l’évaluation des risques professionnels : 68,5% contre 67,3% en 2017.

L’effort de formation pour les postes à risques nécessite néanmoins d’être intensifié : seulement 68,4% des entreprises l’assurent systématiquement (contre 65% en 2017). Nouveauté 2018 : 3 entreprises sur 4 ont déclaré les 6 facteurs de risques désormais retenus par les ordonnances pour les salariés exposés (travail de nuit, en équipes alternantes, en milieu hyperbare, en températures extrêmes et bruit).

Les entreprises se sont appropriées le Document Unique

Sa réalisation, en progression de près de 4% par rapport à 2017, montre une recrudescence d’intérêt pour l’outil. Pus important, sa mise à jour progresse elle aussi de 5% ; la presque totalité (95%) des entreprises qui l’ont réalisé en a compris la nécessité. Enfin, son exploitation par la mise en place d’un plan d’actions s’intensifie : 82% des entreprises vont au bout de leur démarche (contre 75,4% en 2017). Conséquence d’une meilleure information et de la médiatisation, on enregistre un bon spectaculaire du diagnostic des risques psychosociaux RPS : 63% des entreprises l’ont effectué (contre 48% en 2017).

La sécurité des intérimaires, CDD et sous-traitants négligée

La reprise de l’activité est là mais les politiques sont fragiles : 87% des entreprises équipent leurs salariés intérimaires ou en CDD d’Equipements de Protection Individuelle EPI (contre 96% en 2017), au même titre que les salariés en CDI.
Leur formation aux règles de sécurité internes est en léger recul : 72% des entreprises l’effectuent systématiquement (contre 77% en 2017) et 16% ne font toujours pas d’analyse de risques lors de l’intervention d’une entreprise sous-traitante sur leur site, proportion identique à celle de 2017.

Les moyens font défaut pour organiser la prévention de la SST


La réalisation d’un audit de conformité règlementaire SST au cours des 3 dernières années est en hausse de 5% par rapport à 2017, et en 2018, 63% des entreprises interrogées sont certifiées par rapport à un référentiel Santé Sécurité au Travail. En revanche, les ressources humaines pour assurer la prévention restent insuffisantes : 63% des entreprises déclarent avoir un responsable sécurité au sein de leur organisation (contre 55% en 2017) mais presque un quart d’entre elles n’a pas de personnel dédié à la Santé et la Sécurité au Travail. Pourtant, deux entreprises sur trois reçoivent une information réglementaire en SST propre à leur activité (contre 1 sur 2 en 2017), mais elles manquent de temps pour l’exploiter. Enfin, le pourcentage des entreprises qui analysent systématiquement les causes des accidents du travail a reculé (69% contre 74% en 2017 et 2016)… 

Les outils pour assurer la gestion de la SST  inégalement utilisés


Une entreprise sur 2 utilise un outil de prévention et gestion des risques professionnels, pourcentage en hausse de 9%  Si 3 entreprises sur 4 vérifient systématiquement les équipements de travail, seulement 56% d’entre elles utilisent un outil de suivi (contre 69,6% en 2017).

Source : https://www.previsoft.fr

Première certification NVME-OF pour une solution de Kalray

Kalray, pionnier des processeurs dédiés aux nouveaux systèmes intelligents, annonce la certification de sa solution KTC (« Kalray Target Controller ») par l’organisme NVM Express (NVMe) à travers le laboratoire chargé des essais d’interopérabilité de l’Université du New Hampshire (UNH-IOL), un organisme américain indépendant de tests de conformité des solutions et de l’interopérabilité entre fournisseurs. Cette certification, la première de l’industrie pour une solution système complète, constitue un jalon important pour Kalray. Cela démontre la grande maturité de sa solution KTC pour les « data centers » et son engagement à faire progresser la technologie NVMe.
La hausse du taux d’adoption des disques SSD (« Solid-State Drives » à base de mémoire Flash) au détriment des disques durs (« Hard Disk Drive » ou HDD) a conduit l’industrie à normaliser ce nouveau protocole NVMe (qui s’appuie sur le PCI Express) pour accélérer les transferts de données par 4 000, au moyen de mémoires Flash non volatiles à performance élevée et faible latence.

Eric Baissus, président du directoire de Kalray, a déclaré : « Nous sommes très fiers de cette nouvelle étape majeure franchie par Kalray qui atteste du niveau de maturité de nos solutions sur le marché. Les produits KTC se présentent sous forme de solutions systèmes, tout-en-un, intégrant une carte d’interface réseau, le processeur intelligent Kalray et son logiciel, afin de construire des systèmes de stockage intelligents optimisés pour les data centers. »

Non seulement KTC supporte les protocoles NVM Express, mais il offre des ressources supplémentaires « in-situ » (plus de 100 coeurs disponibles sur les 288 du processeur Bostan de Kalray), permettant de bâtir des solutions de stockage plus intelligentes. Le traitement de données in situ permet en particulier une économie importante de bande passante sur le réseau en exécutant des applications intensives en entrées/sorties, au plus près de la capacité de stockage. Par exemple, des tâches telles le RAID/erasure coding, la déduplication, la compression, le deep learning et l’encryption ou des algorithmes d’intelligence artificielle, peuvent être directement exécutées au niveau du serveur de stockage.

« Nous sommes ravis que le Kalray Target Controller ait obtenu cette certification », a indiqué Timothy Sheehan, directeur des opérations chez Datacenter Technologies, UNH-IOL. « KTC est le premier système de l’industrie réunissant les fonctions réseau et contrôleur de disque NVMe SSD à être inscrit sur la liste des intégrateurs NVMe-oF par l’UNH-IOL. »

La certification NVMe Over Fabrics (NVMe-oF™) de KTC s’applique à RoCE, une interface RDMA (« Remote Direct Memory Access over Converged Ethernet »1).

Source : https://www.kalrayinc.com/

GouvernanceEquitable.fr : premier comparateur du DD des TPE, PME et GE

Pour établir le classement des entreprises, la marque collective Gouvernance Équitable s’est basée sur un indicateur fiable et neutre : l’EBE (Excédent Brut d’Exploitation). Il faut savoir que l’EBE intègre 3 variables : la capacité d’une organisation à échanger des biens et des services (= son chiffre d’affaires), son patrimoine (= le total de son bilan) et ses ressources humaines (= son effectif). Un seuil de 20 % au-dessus de l’équation de régression linéaire, qui relie ces variables, a été défini par la marque collective Gouvernance Équitable pour distinguer les entreprises selon leur degré de performance.

La marque collective Gouvernance Équitable est destinée aux organisations voulant valoriser leur image et promouvoir leur engagement pour une pratique équitable de gouvernement. En effet, la gouvernance équitable consiste à traiter de façon équitable toutes les parties prenantes dans ces décisions (salariés, utilisateurs, consommateurs, fournisseurs, sous-traitants et environnement) et à apprécier avec justesse ce qui est dû à chacune d’elle.

Accessible aux TPE, car son coût d’obtention est faible, la marque collective Gouvernance Équitable® analyse le respect de chaque pilier du développement durable : économique, social, sociétal et environnemental.
Les entreprises qui répondent aux exigences des 4 piliers ont le droit d’utiliser la marque collective Gouvernance Équitable® et l’apposer son logo sur tous leurs supports de communication.

Ludovic Delevingne, le fondateur de la marque Gouvernance Équitable explique : « Contrairement à d’autres marques existantes dans ce domaine, la marque collective Gouvernance Équitable ne favorise pas le « green » ou le « social washing ». Nos critères d’obtention sont en effet fondamentaux et mesurables. La méthode d’évaluation est aussi extrêmement rigoureuse.« 

Six aspects sont notamment scrutés à la loupe :
– le fonctionnement du système de gouvernance : la transparence, des fonctions
exécutives et de contrôle distinctes, …
– les aspects économiques et financiers : la distribution des dividendes, la part de
l’EBE…
– les aspects humains internes à l’organisation : la dispersion des salaires, la sécurité des
salariés, l’égalité hommes-femmes, …
– les relations avec les utilisateurs ou consommateurs : l’engagement qualité, l’écoute
clients, …
– les mesures visant au respect de l’environnement
– les droits fondamentaux, les aspects judiciaires et les relations avec la société civile :
condamnation…

Les entreprises et organisations (administration, service public, collectivité, syndicat, parti politique, association, organisation non gouvernementale, etc.) qui souhaitent être évaluées sur un ou plusieurs piliers bénéficient d’un pré-diagnostic gratuit !

Source : https://gouvernanceequitable.fr

Concours Or Normes pour les normes volontaires

En 2018, les normes volontaires ont toujours de la valeur. Elles continuent d’accompagner les uns et les autres face aux enjeux de la société. Elles favorisent de belles réalisations, innovantes sur le plan technique ou sociétal. C’est pourquoi AFNOR, l’organisme français qui coordonne leur production, lance un concours inédit. Jusqu’au 31 juillet, les utilisateurs quotidiens de normes peuvent présenter leur candidature pour prétendre recevoir l’un des trophées Or Normes, à l’occasion d’une soirée organisée à Paris le 18 octobre.

Quatre catégories pour concourir :

•             « Protéger les personnes », si une ou des normes volontaires ont permis de concevoir un équipement, ou de développer un service ou un process, qui contribue à la protection des collaborateurs, de la clientèle, du consommateur, du citoyen.

•             « Faciliter la vie quotidienne », si une initiative a été engagée sur la base de recommandations d’une ou plusieurs normes volontaires et a permis de faciliter l’exécution d’une tâche.

•             « Favoriser les échanges », si le participant s’appuie sur une terminologie commune, une interopérabilité définie dans une norme volontaire, et a réussi à favoriser des échanges vis-à-vis du consommateur ou de partenaires, ou sur le plan technologique.

•             «  Prendre un temps d’avance », si le projet, conçu sur base de normes volontaires, représente une innovation caractérisée sur son marché ou son secteur.

Les trophées récompenseront les personnes et leurs entreprises, associations, fédérations ou organismes publics qui présenteront les meilleurs projets, les plus innovants, qu’ils s’agissent d’un produit conçu, d’un service proposé, d’une démarche engagée ou d’un process mis en place.

« Nous nous attendons à recevoir des propositions très éclectiques. Le comité de sélection motivera ses choix selon quatre critères : l’originalité du projet, l’importance de l’apport de la norme dans sa réalisation, les résultats qualitatifs obtenus et son impact économique », déclare Sophie Marain, secrétaire générale d’AFNOR. 

Dates clés du concours

•             31 juillet : clôture des inscriptions

•             13 septembre : sélection des dossiers

•             25 septembre : décisions du jury

•             18 octobre : soirée de remise des trophées Or Normes

Source : https://www.afnor.org

21 au 22 juin : Congrès Européen de la Qualité à Paris

20 ans après la dernière tenue de cet événement dans l’hexagone, France Qualité organisera en juin prochain la 62ème édition du Congrès Européen de la Qualité. Pendant 2 jours, des conférenciers de haut niveau se succèderont sur le thème « Vivre la nouvelle Qualité » devant un parterre de 400 participants. La Qualité est en effet un levier-clé de la compétitivité internationale, ses déclinaisons sont multiples et elle est en pleine mutation…

Chaque année, le Congrès Européen de la Qualité réunit plusieurs centaines de responsables représentant les pays de l’Europe géographique – ainsi que, au-delà, des délégations de Chine, des Etats-Unis, du Québec, etc. En 2018, c’est à Paris, au sein de l’école des Arts et Métiers ParisTech, que les participants vont partager et découvrir des pratiques, préparer les chantiers de demain, imaginer l’avenir de la Qualité, autour de sujets de fond / d’actualité touchant à la Qualité dans toute sa transversalité, et plus particulièrement autour de deux axes : « La Qualité, atout de compétitivité pour l’Europe » et « Leader Qualité, un rôle clé ».
Pour Pierre Girault, Président de France Qualité : « L’organisation de cette 62ème édition est un honneur pour nous. Nous souhaitons – grâce aux apports multi-culturels et aux échanges de bonnes pratiques – qu’elle permette de réfléchir à la place de la Qualité et de consolider une dynamique, des perspectives ; mais aussi, d’un point de vue plus pragmatique, que ce Congrès permette de nouer des liens durables de complémentarité et de synergies entre les acteurs des différents pays. ».

Jeudi 21 juin : La Qualité, atout de compétitivité pour l’Europe

Le Congrès démarrera par une première session de 5 tables rondes autour de la Qualité comme Système de management pluriel et global, traitant de multiples enjeux : excellence opérationnelle, gouvernance, risques, RSE… Chaque table ronde mettra en lumière l’expérience de 3 professionnels issus de pays différents.
L’après-midi, seront abordées la valeur ajoutée de la Qualité en termes de résultats, de créativité et d’innovation ainsi que l’influence de la digitalisation sur la transformation de la Qualité.
En parallèle, se tiendra le premier Forum Qualité Sino-Européen. A cette occasion, une délégation chinoise sera accueillie pour benchmarker et renforcer les liens déjà existants entre les professionnels de la Qualité des deux continents.

Vendredi 22 juin : Leader Qualité, un rôle clé

La thématique du rôle du Leader Qualité sera introduite de manière ludique autour de questions posées à 5 acteurs de la Qualité originaires de 5 pays différents, et visant à révéler leurs attentes, leurs souhaits.
Pour poursuivre cette prospective, 4 nouvelles tables-rondes en parallèle aideront à identifier les enjeux et contours associés au rôle du leader Qualité de demain : quelles compétences, quelles priorités, quelles missions, quelles formations… ? Autant de questions qui seront éclairées par la diversité culturelle et sectorielle des intervenants.
A cette occasion, un lauréat parmi 3 candidats sera désigné au titre de Leader Européen de la Qualité.

Source : https://qualitycongress2018.com/fr

Axon’ Cable première entreprise certifiée ISO 45001 en France

L’industriel Axon’Cable est la première entreprise en France à réussir un audit de conformité selon l’ISO 45001, la norme volontaire internationale sur la santé et la sécurité au travail élaborée par plus de 70 pays. C’est une distinction significative, délivrée par AFNOR Certification, pour une entreprise de 2000 salariés aux métiers très techniques.
AFNOR Certification, organisme leader en France de la certification en qualité, environnement et sécurité, annonce la première remise de certificat ISO 45001 en France. Elle est attribuée à l’entreprise marnaise Axon’ Cable pour sa politique effective d’amélioration de la sécurité et de la santé des salariés.

Publiée en mars 2018, l’ISO 45001 est la première norme volontaire internationale sur la santé et la sécurité au travail. Elle a été élaborée par des représentants de plus de 70 pays pour transformer les pratiques sur les lieux de travail et contribuer à réduire le nombre d’accidents ou de maladies professionnelles dans le monde entier.

Au terme d’un audit de quatre jours du siège social, l’auditeur a constaté une conformité sans réserves de l’organisation déployée selon l’ISO 45001. Axon’ Cable conçoit et produit des composants électroniques très divers : un métier pluridisciplinaire qui expose les salariés à des risques de santé et sécurité particuliers et face auxquels l’entreprise a pris les devants depuis plusieurs années.

Des actions ont été engagées et constatées par l’auditeur et en voici des exemples :
‐ Le document unique d’évaluation des risques professionnels, qui a suscité le déploiement de postes de travail ergonomiques dans les bureaux et en production. D’autres actions sont prévues dans les prochains mois, comme l’amélioration du plan d’opérations à mener face aux situations d’urgences.
‐ Un outil d’évaluation de la motivation, du ressenti et du niveau de stress du salarié, mis à la disposition de l’infirmière et du médecin du travail. Ce logiciel est voué à être connecté à un nouveau ban de test, pour réduire, in fine, les troubles musculo‐squelettiques des salariés.
‐ Des salariés impliqués dans la politique SST, selon cinq axes : le bien‐être, le sport, la nutrition, l’hydratation et l’échange. L’entreprise encourage également les salariés à déclarer de manière systématique les accidents bénins et presqu’accidents dans un souci de prévention des risques.

La certification ISO 45001 est une marque supplémentaire du volontarisme d’Axon’ Cable pour réduire le nombre d’accidents au travail et oeuvrer pour une meilleure qualité de vie des salariés. Elle agrémente le plan d’amélioration continue de l’entreprise qui a pour objectifs la réduction à zéro du nombre d’accidents du travail, la satisfaction des clients (ISO 9001), la conformité réglementaire (notamment environnementale, avec l’ISO 14001) et globalement une
contribution active au développement durable (évaluation e‐engagé RSE).

Si le Code du travail pose déjà nombre de dispositions destinées à protéger la santé et la sécurité des salariés, il ne propose aucun instrument sur lequel bâtir une démarche cohérente et systématique à visée opérationnelle. Cette lacune est comblée depuis mars 2018 avec l’arrivée de la norme volontaire ISO 45001. Elle facilite la mise en oeuvre des moyens que se donne une entreprise pour atteindre les objectifs qu’elle s’est assignés. Remplaçant le référentiel
britannique OHSAS 18001, elle est destiné aux porteurs de démarches d’amélioration continue et aux professionnels des ressources humaines. AFNOR Certification la recommande pour qui souhaite déployer une méthodologie qui porte rapidement ses fruits et rendre compte efficacement à la direction.

L’ISO 45001 positionne le thème de la S&ST au niveau de la direction de l’organisme. Elle demande d’impulser une démarche de prévention, contrairement à l’OHSAS 18001 qui était plutôt orienté vers la résolution des problèmes constatés. Connaissance du contexte des activités, identification des parties prenantes pertinentes, liste des risques et
opportunités, hiérarchie des mesures de prévention : l’ISO 45001 induit de nombreux réflexes dans la conduite des activités avec un objectif : instaurer une culture de préservation de la sécurité et de la santé lors de la conception des produits et tout au long de la chaîne de valeur d’une entreprise.

Source : https://www.afnor.org

WNE : le salon du nucléaire civil célèbre l’excellence opérationnelle

World Nuclear Exhibition (WNE), premier événement mondial dédié à la communauté du nucléaire civil, vous donne rendez-vous du 26 au 28 juin 2018. Pour le confort de ses visiteurs et notamment les internationaux, le salon s’installe à Paris Nord Villepinte, dans le hall 7. Cette 3e édition met l’accent sur une ère nouvelle du nucléaire. Avec une surface de 25 350 m² et une fréquentation globale de plus de 20 000 participants attendus du monde entier, il continue sa progression.

WNE 2018 célèbrera l’Excellence de la filière nucléaire avec les dernières plus grandes avancées du secteur à travers le monde : connexion au réseau de plusieurs réacteurs de Génération III, lancement de grands chantiers de maintenance et de déconstruction, nouvelles technologies.

Edition 2018 très riche en nouveautés

Tables rondes, ateliers exposants, pitches de Start-Ups, déjeuners-débats, visites guidées, sessions de networking et rendez-vous d’affaires rythmeront les 3 jours. WNE abordera pour la première fois 4 thèmes spécifiques : les SMR, Small Modular Reactors, les réacteurs avancés, Gen IV et au-delà, la digitalisation et le démantèlement et la déconstruction (D&D) Ces 4 thématiques feront l’objet de déjeuners débats (SMR et réacteurs avancés, Gen IV & au-delà) et de visites guidée (digitalisation et D&D) qui auront lieu les mercredi 27 et jeudi 28 juin. Quant à la Start up Planet, elle mettra à l’honneur les « jeunes pousses » qui réinventent la filière en renforçant son excellence et sa compétitivité et façonnent le nucléaire de demain par leur capacité d’innovation, leur potentiel de création et leur dynamisme.

Confirmant le succès de la dernière édition, WNE relance les WNE Awards, véritable révélateur d’innovations etde talents qui portent l’excellence de l’industrie nucléaire. 4 grands domaines seront valorisés : l’innovation, le management de compétences et des connaissances, l’excellence opérationnelle et la sûreté nucléaire. En point d’orgue sur cette seconde édition des WNE Awards, un focus sur les PME qui se voient récompensées dans chacune des 4 catégories, prenant en compte la diversité et la richesse du tissu industriel très spécifique au domaine.

Enfin, en parallèle du salon, se tiendra la conférence INDEX (International Nuclear Digital Experience), les 25 et 26 juin, organisée par la SFEN (Société Française d’Energie Nucléaire) associée à WNE, qui mettra en avant les technologies numériques et leurs implications dans la transformation de l’industrie nucléaire.

Source : https://www.world-nuclear-exhibition.com

Julie Bossard, ingénieure Qualité pour Scalian et candidate aux JO

Fidèle aux valeurs d’excellence opérationnelle et d’intelligence collective, Scalian, ETI française de référence dans le domaine de l’ingénierie, met un point d’honneur à faire évoluer ses collaborateurs selon leurs compétences et aspirations. Julie Bossard, ingénieure Qualité fournisseurs et athlète de l’équipe de France de voile olympique, en est la parfaite illustration. En intégrant la société Scalian en 2011, Julie Bossard a eu la possibilité de poursuivre la compétition tout en exerçant son métier. Consciente que la présence d’une sportive de haut niveau au sein de ses équipes est une réelle valeur ajoutée, Scalian permet à Julie d’organiser son temps de travail en fonction de ses entraînements et des compétitions auxquelles elle participe. De cette manière, la jeune femme de 32 ans peut aujourd’hui se préparer sereinement aux Jeux Olympiques d’été 2020 organisés au Japon.

Une ingénieure singulière

En tant qu’Ingénieure Qualité fournisseurs, Julie Bossard est en charge des audits des procédés spéciaux pour la réalisation des éléments mécaniques du constructeur aéronautique Airbus. Chargée de faire appliquer les normes imposées par le constructeur, son rôle d’interface entre le client et le fournisseur fait d’elle « l’œil de l’expert ».

Les notions de communication, d’adaptation, d’attention portée sur l’objectif de performance, sont des qualités qu’elle déploie aussi bien dans son quotidien d’ingénieure que sur le plan sportif. Avec sa coéquipière Aude, la coopération, l’échange et l’écoute sont essentiels pour gagner. L’intuition ne suffit pas : il faut être capable de prioriser les actions en fonction du vent, de l’état de mer, du comportement du bateau.

Pour Julie, l’exigence à l’égard des équipements techniques de son voilier est la même que dans le cadre de son travail. Au sein de Scalian, tout comme sur son bateau, elle veille à ce que toutes les normes soient parfaitement respectées et doit savoir faire preuve de fermeté en cas d’anomalie constatée.

« Nous sommes ravis d’avoir un élément tel que Julie au sein des équipes de Scalian. Sa détermination est utile pour permettre à nos clients de prendre conscience de l’importance du respect de la qualité de production et des normes de fabrication. Certains sont même surpris de découvrir la sportive qui se cache derrière l’ingénieure et n’imaginent pas les années d’engagement, de sacrifice, mais aussi les réussites qui font d’elle un atout indéniable pour le Groupe :  au travail comme dans la voile, son état d’esprit est un moteur », indique Yvan Chabanne, Président Directeur Général de Scalian.

Le mental, la rigueur et la compétition

Le poste occupé par Julie Bossard requiert de nombreux déplacements en France et à l’international sur les sites des fournisseurs de son client. Consciente de ces contraintes, Scalian met tout en œuvre pour lui permettre d’associer vie professionnelle et carrière sportive, puisqu’elle se prépare notamment à représenter la France aux Jeux olympiques d’été 2020 au Japon. Un objectif ultime dans sa carrière de compétitrice.

« En début d’année, je planifie méticuleusement l’organisation de mon emploi du temps avec ma hiérarchie pour caler mes entraînements et mes déplacements d’audit. Le rythme est soutenu : départ pour le Portugal pour la voile, retour en France pour le travail. Il n’est pas rare que j’enchaîne par un autre déplacement quelque part en Europe. Mon bureau est là où je pose mon ordinateur. Scalian me permet de travailler à distance : suivi des plans d’actions, gestion des comptes rendus, même entre deux entraînements, pour que je puisse continuer de vivre ma vie de femme active et ma passion », ajoute Julie Bossard, ingénieure Qualité fournisseurs pour Scalian.

Comme pour tout sportif de haut niveau, la persévérance, le dépassement de soi et l’esprit d’équipe constituent des valeurs clés. Celles-ci structurent aussi bien la vie des sportifs que des entreprises.

Source : https://www.scalian.com

Metroscope : l’IA au service de l’excellence opérationnelle industrielle

Le Groupe EDF a créé une nouvelle start-up, Metroscope, à destination de ses clients industriels. Cette filiale du groupe à 100 % est née d’un projet conçu et construit par une équipe de jeunes entrepreneurs issus de la direction R&D d’EDF, et grâce à l’impulsion et l’accompagnement des équipes d’EDF Nouveaux Business. Cette solution a été testée et approuvée par EDF sur ses propres installations.

La solution proposée par Metroscope permet un diagnostic automatique et fiable d’une installation industrielle pour identifier, sans délai et avec une grande précision, un aléa affectant son process industriel et susceptible de générer une perte de production, une détérioration durable d’un composant, voire l’arrêt pur et simple de l’installation. Une innovation qui ne nécessite l’ajout d’aucun capteur supplémentaire.

Avec Metroscope, les techniciens peuvent régler ces aléas avant qu’ils ne deviennent de vraies défaillances impactant la productivité de l’usine. Cette solution innovante et brevetée par EDF, représente un atout décisif à la décision de maintenance d’un industriel, avec un impact économique significatif.

Pour améliorer l’exploitation de sa production bas carbone, EDF a déjà fait le choix de recourir aux solutions offertes par Metroscope. Celles-ci sont actuellement en cours de déploiement en France sur l’ensemble des salles des machines de son parc nucléaire et bientôt sur ses centrales à Cycles Combinés-Gaz (CCG). Les premiers résultats sont très encourageants et des gains importants sont attendus pour le groupe EDF.

L’année 2018 est l’année de la première phase de développement concret de la solution proposée par Metroscope. Outre EDF, d’autres premiers clients pourront devenir « pilotes » et bénéficier à cet effet d’un accès avantageux à la technologie et participer ainsi à la conception finale du logiciel.

Dans un premier temps, Metroscope s’adressera prioritairement aux producteurs d’électricité. Sa commercialisation finale auprès d’un panel plus large et diversifié de clients industriels interviendra dans un second temps, à l’horizon 2019.

Le groupe EDF diversifie ainsi ses solutions dans le domaine de l’usine intelligente. Une ambition au coeur de la révolution numérique du secteur industriel qui vise à accompagner au plus près ses clients dans les multiples transformations qui touchent leurs métiers, leurs modes de fonctionnement et leurs organisations.

Cédric Lewandowski, Directeur Exécutif Groupe en charge de la direction Innovation, Stratégie et Programmation a déclaré : « Nous nous réjouissons de la création de Metroscope, une nouvelle start-up créée avec le concours de notre R&D et de notre pépinière de start-up, EDF Nouveaux Business. Il s’agit de l’illustration concrète de notre engagement pour l’innovation au service de l’industrie. Avec Metroscope, notre volonté est bien de soutenir fortement les projets entrepreneuriaux initiés par nos propres salariés et constituer de véritables écosystèmes compétitifs, durables et créateurs d’emplois. »

Henri Lafontaine, Directeur Exécutif Groupe en charge du Pôle Clients, Services et Action Régionale a déclaré : « Les enjeux autour de l’usine intelligente vont croissant et constituent un axe important de notre stratégie commerciale déployée pour nos clients industriels. Metroscope est un véritable stéthoscope des sites industriels qui doit leur permettre de gagner en performance industrielle et en compétitivité. Cette solution innovante permet d’enrichir la gamme de services proposés à nos clients, de continuer à les accompagner aujourd’hui et demain pour leur usine du futur ».

Source : https://www.edf.fr