Etude Veeva – Opinionway : les français et la qualité

Alors que les scandales alimentaires et sanitaires se répètent, les entreprises font preuves d’initiatives pour rassurer un consommateur plus inquiet que jamais. Normes et labels figurent, par exemple, parmi cet arsenal de dispositions. Est-ce suffisant pour rassurer un consommateur échaudé ? D’ailleurs, les entreprises se préoccupent-elles vraiment de son bien-être, ou cherchent-elles principalement à sauver leur peau ? Pour répondre à ces questions, l’institut Opinionway et Veeva, fournisseur d’outils cloud permettant aux entreprises d’optimiser leurs processus qualité, ont mené l’enquête auprès des Français. 

La qualité, casus belli entre les marques et les Français

Tandis que différentes études menées depuis 2012 ont longtemps indiqué une suprématie du prix par rapport à la qualité, aujourd’hui la tendance semble s’être inversée. 54% des Français considèrent la qualité comme tout à fait déterminante lors de l’acte d’achat, contre 43% seulement pour le prix. Au total, en ajoutant ceux dont l’avis est un peu moins tranché, ils sont 95% à affirmer le primat de la qualité, contre 92% pour le prix. Cette demande de qualité est particulièrement prégnante s’agissant des produits alimentaires (74%), des produits pharmaceutiques (70%), des véhicules (60%) ou des produits cosmétiques et d’équipement du foyer (à égalité, 53%). Toutefois les entreprises ne semblent pas avoir pris la mesure de ce nouveau paradigme. En effet, 1 Français sur 3 ne décèle aucune amélioration dans la qualité des produits proposés. Une tendance à nouveau particulièrement marquée dans le secteur alimentaire, où 31% dénoncent une baisse de la qualité, mais aussi dans l’habillement (39%) et les produits d’équipement du foyer (36%). En ce qui concerne les cosmétiques, si une diminution de qualité est constatée par 19% des Français, 49% d’entre eux estiment qu’elle n’a pas changé.
« Ce qui frappe avant tout, c’est la déception ressentie par les Français en matière de produits alimentaire. En dépit de la montée en gamme des marques de distributeurs et l’explosion des offres bio au cours de ces dernières années, les consommateurs français semblent de moins en moins rassurés par le contenu de leur assiette. », analyse Romain Marcel, Directeur Général de Veeva.

Méfiance accrue, bad buzz, boycott… les consommateurs ne reculent devant rien

Si l’on en croit les Français, la légèreté avec laquelle les entreprises traitent de la question de la qualité ne restera pas sans conséquence. En cas de déception, leur sentence est sans appel : 80% menacent de déconseiller le produit concerné à leurs proches, tandis que 77% iront plus loin, déconseillant directement la marque. Pire, 75% d’entre eux pourraient ne plus faire confiance à cette marque et donc la boycotter. « Les Français adressent un message clair aux marques : ils n’accepteront plus d’être exposés à des produits à la qualité discutable, sans réagir. » pointe Romain Marcel.

Dans ce contexte de méfiance, certains facteurs semblent toutefois en mesure de rassurer les Français : la composition du produit (65%), l’origine française de celui-ci (47%), la présence d’un label sur son emballage (42%) et ses normes de production (41%) sont ainsi perçus comme des gages de qualité. « L’intervention d’un tiers de confiance, la transparence et l’identité française semblent en mesure de tranquilliser les consommateurs Français et de leur apporter les garanties attendues lors de l’achat d’un produit » commente Romain Marcel.

Les Français pointent du doigt l’hypocrisie des marques

Si les consommateurs réclament des mesures en faveur de la qualité, ils restent méfiants vis-à-vis des marques. La preuve : la plupart des sondés considèrent que les marques mettent principalement en place des procédures de contrôle de la qualité par contrainte (41%) ou par souci de leur réputation (32%), plutôt que par respect de leurs clients (24%).
« Cette étude fait apparaître un désaccord majeur entre les entreprises et les Français sur le sujet de la qualité. Si elles veulent répondre à leurs attentes, et ainsi assurer leur pérennité, elles sont tenues d’associer production et qualité. Elles n’ont pas le choix. » conclut Romain Marcel, Directeur Général de Veeva.

Méthodologie de l’étude

Enquête effectuée du 1 au 5 juin 2018 auprès de 1002 personnes représentatives de la population française, âgées de 18 ans et plus. L’échantillon a été constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle, de catégorie d’agglomération et de région de résidence.

Source : https://www.veeva.com

La HAS publie son rapport d’analyse prospective du système de santé

Sous le titre « De nouveaux choix pour soigner mieux », la Haute Autorité de Santé (HAS) a publié sa première analyse annuelle prospective du système de santé. Ce rapport, remis au Parlement, est assorti de 21 propositions pour agir et garantir sur le long terme un système de santé de qualité, efficient et équitable, tout en s’assurant que l’offre de santé répond aux priorités de nos concitoyens. 

La HAS s’est vue confier, par l’ordonnance du 26 janvier 2017, la mission annuelle de remettre au Parlement une analyse prospective comprenant des propositions d’amélioration de la qualité, de l’efficacité et de l’efficience du système de santé. 
Pour ce premier exercice, la HAS a retenu un sujet dont les enjeux sont exposés par la présidente et la directrice générale de la HAS dans l’éditorial du rapport :
 « […] Dans les prochaines années, la demande de santé va continuer à croître, les nouveautés technologiques à être mises sur le marché de plus en plus vite et à des prix parfois très élevés, alors que, depuis plusieurs années déjà, la croissance de l’ONDAM (Objectif national de dépenses d’assurance maladie) ralentit.
Notre système doit être capable de faire rapidement des gains d’efficience, de redéployer des ressources pour intégrer les progrès médicaux, améliorer la qualité de vie au travail des professionnels et absorber l’augmentation des besoins en réduisant les inégalités de santé. Cela suppose de faire des choix afin de garantir de manière durable un système de santé de qualité, efficient et équitable, tout en s’assurant que l’offre de santé est consacrée aux priorités de nos concitoyens.
C’est le sujet que nous avons retenu cette année pour cette première analyse prospective. […] »
 
Le rapport prospectif de la HAS porte le point de vue de l’institution en lien avec ses missions, son positionnement dans le système de santé, sa connaissance des sujets et des acteurs avec lesquels elle travaille.
 
La HAS émet ainsi 21 propositions d’amélioration organisées en 5 axes :

  • Développer la qualité dans le système de santé en mobilisant des leviers qui le sont insuffisamment ; comme par exemple l’autorégulation par les professionnels ou la mesure du résultat en santé pour le patient.
  • Faire évoluer les mécanismes d’évaluation des technologies de santé pour s’adapter aux incertitudes qui entourent la forte dynamique actuelle d’innovation ; par exemple en acceptant collectivement une logique volontariste d’entrées et de sorties du panier de biens et services remboursés ; ou en créant un mécanisme de prise en charge réversible et conditionnelle pour les médicaments.
  • Refondre le dispositif d’évaluation des établissements sociaux et médico-sociaux.
  • Renforcer les capacités à disposer et à exploiter des données médicalisées pour évaluer la qualité, l’efficacité et l’efficience.
  • Et mobiliser désormais les outils de la démocratie participative ; à ce titre la HAS propose en particulier d’institutionnaliser le débat public en santé.

Ces orientations relèvent pour l’essentiel de choix publics, que la HAS peut contribuer à documenter, et qu’il appartiendra aux décideurs de trancher.
Dans le même temps, la HAS publie son rapport annuel d’activité qui revient sur les principaux temps forts et travaux de l’année 2017. Il est complété par les rapports annuels des commissions réglementées de la HAS (la CT, commission de la transparence, la CNEDiMTS, commission nationale d’évaluation des dispositifs médicaux et des technologies de santé et la CEESP, commission évaluation économique et de santé publique).

Source : https://www.has-sante.fr

Les Trophées Lyreco 2017 pour les fournisseurs

Lyreco, leader européen et troisième acteur mondial dans la distribution de produits et de solutions pour l’environnement de travail, présente les résultats de sa dernière évaluation fournisseurs. La conclusion d’un processus ambitieux appliqué à l’ensemble des partenaires du groupe, dans un souci d’exigence et d’amélioration permanente.
Devenue une véritable référence dans son secteur au cours des 20 dernières années, l’évaluation 2017 du Groupe Lyreco est marquée par une méthodologie encore plus rigoureuse, ainsi que par l’introduction de 2 nouveaux critères complémentaires à ceux de Logistique, Marketing et Gestion par catégories. En effet, le groupe a élargi sa notation aux critères de Compétitivité et Performance en matière de durabilité : le premier étant axé sur la faculté d’un fournisseur à proposer les meilleures conditions commerciales pour une qualité identique et le deuxième sur le positionnement du fournisseur en matière de stratégie, d’organisation et de pratiques RSE.
Au-delà de l’annonce des gagnants, cette évaluation témoigne d’une volonté forte de suivi et d’accompagnement que le Groupe veut offrir à ses fournisseurs et constitue un moteur de la progression de la société. Suite à la remise d’une feuille de score individuelle à chacun de ses 97 partenaires, Lyreco attend en retour une analyse et un plan d’action pour améliorer la performance en 2018. Une démarche dont l’efficacité n’est plus à prouver, grâce à laquelle l’ensemble des résultats de 2017 affichent une nette progression par rapport à 2016.
« Il est bien connu que Lyreco est engagé dans un programme de transformation pour mieux nous préparer aux défis de l’économie de demain. Nous cherchons également à nous améliorer continuellement pour mieux répondre aux attentes de nos clients, et dans cette logique nous attendons le même engagement de la part de nos fournisseurs. Cette évaluation est un outil de travail conjoint qui nous permet d’avancer vers un objectif commun, de façon concrète et réelle » explique Franck Suhit, Directeur Marketing du Groupe Lyreco.

L’évaluation est également l’occasion pour Lyreco de décerner des trophées récompensant les meilleures performances de ses partenaires en quatre catégories principales :

– « Life@work » récompensant le meilleur fournisseur des produits nécessaires pour le bien être au travail, tels que le mobilier, l’hygiène et la restauration : Greenspeed grâce à l’ADN écologique de la société que l’on retrouve dans l’ensemble de ses détergents et produits de nettoyage ;

–  « Office » pour le meilleur fournisseur des produits bureautiques pour simplifier la vie au travail : CEP grâce à sa capacité d’associer innovation et créativité dans la production d’accessoires de bureau pour les univers B2B ;

– « Industrial » décerné au meilleur fournisseur des produits dédiés à la sécurité, la santé et l’efficacité industrielle : Tesa grâce à sa qualité de fabrication et à ses produits de signalisation et de marquage innovants ;

– « Tech & Print »  récompensant le meilleur fournisseur des produits et solutions technologiques : Energizer grâce à la performance de ses produits répondant à tous les besoins des clients et la qualité de son accompagnement commercial.

Lyreco est leader européen et 3e acteur mondial dans la distribution de produits et de solutions pour les entreprises. Le groupe est présent, directement et via des partenaires, dans 42 pays. Avec un chiffre d’affaires de plus de 2 milliards d’euros, sa performance s’explique par la proximité avec ses clients, un service logistique efficace, et une ambition commune aux 9 000 collaborateurs : « être la référence des entreprises en matière de solutions pour l’environnement de travail ».

Source : https://group.lyreco.com/gbr/

Simon Associés permet à la start-up Cadre de Vie d’obtenir son label CNIL « Gouvernance Informatique et Libertés »

Pour obtenir son label CNIL, la start-up française, experte de la « smart data » dans le secteur de l’immobilier, s’est tournée vers Simon Associés pour son expertise en protection des données personnelles. L’équipe en charge de ces problématiques, sous l’égide de François-Luc Simon et Amira Bounedjoum, a conseillé, accompagné et constitué le dossier de labellisation de Cadre de Vie en vue de démontrer la parfaite conformité règlementaire de ses pratiques en matière de données personnelles.

Fondée en 2015 par Philippe Sence et Stéphane Vie, Cadre de Vie, propose d’aider les sociétés expertes du changement de domicile (banque, énergie, téléphonie, …) à limiter la perte de leurs clients suite à un déménagement. A ce titre, Cadre de Vie aspire à anticiper et simplifier la démarche du changement de domicile tant pour les utilisateurs de ses services que pour ses partenaires commerciaux.

Les fondateurs de Cadre de Vie portent une attention particulière à créer des parcours client fluides et sans intrusion afin de bâtir une relation de confiance avec leurs internautes. Leur enjeu est une gestion fine de la pression commerciale dans un respect des règles de la nouvelle règlementationrelative à la protection des données personnelles (RGPD et loi CNIL 3).

Simon Associés est intervenu aux côtés des dirigeants et du Délégué à la protection des données (DPO – Loïc Galvier) de Cadre de Vie pour les soutenir dans la mise en place de procédures et démontrer le respect de chacune des 26 exigences du référentiel du label Gouvernance. Seulement une dizaine d’entreprises en France possède ce label qui se présente comme un outil deresponsabilisation et véritable indicateur de confiance sur le marché. Grâce à celui-ci, Cadre de Vie devient une référence en France en matière d’excellence du parcours client. Il témoigne de la volonté de Cadre de Vie d’inscrire le respect de la vie privée de ses clients et usagers dans ses pratiques commerciales et de faire de la sécurisation des données dans ses échanges commerciaux une priorité. Car en effet, le label « Gouvernance Informatique et Libertés », obtenu pour une durée 3 ans, témoigne du respect par Cadre de Vie de procédures strictes et validées par la CNIL visant à sécuriser la gestion des données personnelles et à garantir le respect de la règlementation.

Fondé en 1992, Simon Associés est un cabinet d’avocats d’affaires, disposant de bureaux intégrés à Paris, Lyon, Montpellier, Nantes et Fort-de-France. Le cabinet a également organisé dans l’hexagone le réseau dédié de cabinets indépendants baptisé Simon Avocats. Au service des entreprises, Simon Associés compte aujourd’hui en France plus d’une soixantaine d’avocats, dont 21 associés. Il rassemble plus d’une centaine de professionnels avec le réseau national Simon Avocats.

Source : https://www.simonassocies.com

CNPP : un nouveau président et un premier certificat pour un ECS

CNPP Cert. remet le premier certificat « Certificate of Compliance » pour un équipement de contrôle et de signalisation (ECS) à la société DEF, lui permettant de l’exporter aux Emirats Arabes Unis. En effet, il y a quelques temps, CNPP a été officiellement référencé pour des activités d’essais et de certifications de produits de sécurité incendie aux Emirats Arabes Unis. Le ministère de la défense civile de ce pays est venu visiter et auditer les laboratoires CNPP, journée durant laquelle les équipes ont pu démontrer leurs compétences à mettre en oeuvre les essais sur différents équipements et moyens de tests. Par ailleurs, CNPP est aussi référencé au Koweït, au Qatar et à Taïwan.

En outre, Bernard Durand a été désigné, l’issue l’assemblée générale de  juin dernier Président CNPP Association. Ingénieur civil Mines, titulaire d’un d’économie monétaire Paris Dauphine, Il a débuté son parcours professionnel aux AGF en 1976 avant d’exercer chez Jean Moulin & Fils en tant chargé clientèle comme responsable département grandes entreprises. En 1983, il a été nommé en que directeur sein de l’agence de souscription Sprinks. En 1993, il rejoint l’UAP en tant que directeur de la branche dommage des grandes entreprises avant d’être nommé en 1997 au poste de directeur de la branche internationale dommages d’Axa Global Risks, puis en 2000 en tant que directeur à la direction centrale des partenariats d’Axa France assurance. De 2001 à 2003, il exerce en tant que membre du directoire des Assurances Saint-Honoré (groupe LCF Rothschild) et membre du comité exécutif de la Compagnie de Conseils Saint-Honoré, il est alors responsable des branches IARD des entreprises. En septembre 2003, il rejoint MMA en tant que directeur central marchés entreprises puis devient président du directoire de Covéa Risks, en charge depuis 2011 des relations grands comptes. Il préside, par ailleurs, le réseau INI (International Network of Insurance). Dernièrement, Bernard Durand était directeur des cessions en réassurance du groupe Covéa.

Source : https://www.cnpp.com