IFCO décerne des certificats Développement Durable à ses partenaires distributeurs

IFCO, le leader mondial des solutions d’emballages réutilisables destinées aux produits frais, vient de lancer sa propre certification environnementale destinée à l’ensemble de ses partenaires distributeurs en Europe et en Amérique du Nord. IFCO faisant partie des acteurs de la logistique les plus engagés au monde en matière de Développement Durable et de Responsabilité Sociétale (RSE), les distributeurs bénéficieront d’une certification qui attestera de leur engagement en faveur de la réduction de leur empreinte environnementale sur l’ensemble de leur chaîne d’approvisionnement.

Les certificats qui seront remis entre septembre et décembre 2018 sont relatifs aux résultats environnementaux publiés par IFCO pour l’année 2017. Par la suite, ils seront actualisés chaque année en février, sur la base des informations de l’année précédente. Ces certificats ont vocation à souligner la contribution de chacun des distributeurs dans la réduction des impacts environnementaux. Ces derniers pourront utiliser ces éléments pour communiquer en interne comme en externe.

IFCO étant en mesure de calculer les économies d’énergie et de ressources au cas par cas, chaque partenaire recevra un certificat mettant en évidence la quantité de dioxyde de carbone, d’eau, d’énergie, de déchets solides et de déchets alimentaires économisés dans la chaîne d’approvisionnement de ses produits frais. Pour faciliter l’interprétation de ces résultats et pour mieux en percevoir l’importance, IFCO a choisi d’illustrer ces économies par des équivalences éloquentes. Ainsi, le CO2 qu’un détaillant économise chaque année grâce à l’utilisation des bacs plastique réutilisables d’IFCO sera converti en « nombre de véhicules en moins en circulation sur les routes ».

IFCO contrôle régulièrement les bénéfices environnementaux générés grâce au système de mutualisation et de réutilisation de ses emballages. En effet, tous les bacs plastique d’IFCO sont réutilisés plus de 50 fois au cours de leur vie et subissent à chaque rotation un processus rigoureux de nettoyage – SmartCycleTM – et d’inspection, avant d’être à nouveau remis en circulation. 100 % recyclables, les bacs IFCO, lorsqu’ils sont endommagés, sont utilisés pour la fabrication de nouveaux bacs plastique.

Plusieurs études réalisées antérieurement ont pu déterminer que l’utilisation des bacs plastique réutilisables d’IFCO avait un impact positif sur l’environnement. Des économies significatives ont été notamment démontrées sur les émissions de CO2 (jusqu’à 60%), sur l’utilisation de l’énergie (64%) et de la consommation d’eau (80%). Elles ont également mis en évidence la réduction des déchets solides (jusqu’à 86%) ainsi que la diminution du taux de dommages des produits alimentaires (jusqu’à 96%), comparativement à un emballage à usage unique.

En tant qu’acteur majeur du marché des bacs plastique réutilisables au niveau mondial (plus de 1,3 milliard d’expéditions chaque année), IFCO contribue majoritairement aux bénéfices environnementaux mesurés dans ces études. Preuve en est, sur l’année 2017, en Europe et en Amérique du Nord, les solutions d’IFCO ont eu un impact positif sur l’environnement en :
– Éliminant 460 000 tonnes de CO2, soit l’équivalent d’environ 241 000 voitures en moins sur les routes sur une année,
– Économisant 8 millions de mètres cubes d’eau, soit l’équivalent de plus de 188 millions de douches d’une durée de cinq minutes,
– Diminuant de 29 500 térajoules l’énergie électrique nécessaire pour alimenter l’équivalent de plus de 15 millions d’ampoules par an,
– Réduisant de 237 000 tonnes le volume des déchets solides, soit le contenu quotidien de la poubelle de 171 millions d’individus,
– Evitant 42 200 tonnes de déchets alimentaires qui correspondent au volume nécessaire pour réaliser l’équivalent de 70 millions de repas moyens dans le monde.
Tous ces avantages se répercutent sur les chaînes d’approvisionnement des partenaires et clients d’IFCO et représentent une avancée significative pour ceux qui souhaitent protéger leurs produits frais tout en s’engageant à améliorer leurs performances en matière de développement durable.
Nous sommes convaincus de l’intérêt de cette initiative de certification Développement Durable et sommes persuadés qu’elle deviendra rapidement un argument de plus pour nos partenaires commerciaux et une norme adoptée par le secteur », commente Wolfgang Orgeldinger, PDG d’IFCO Systems. « Ce certificat est un message clair adressé aux clients et aux partenaires commerciaux des distributeurs, à savoir qu’ils s’attaquent aux défis environnementaux de manière tangible et mesurable. Les distributeurs pourront également mettre l’accent sur cette certification qui les aidera à atteindre leurs objectifs en matière de Développement Durable de plus en plus au centre de leurs préoccupations. »

Source : https://www.ifco.com

Placo, la filiale de Saint-Gobain, est certifiée ISO 45001 par SGS France

La nouvelle norme ISO 45001 vient renforcer l’action de l’OHSAS 18001, en devenant une norme internationale de référence avec : un référentiel plus opérationnel – moins contraignant, une visibilité accrue de la réalité du terrain, des conditions de travail  »meilleures » et plus sûres… Une période de transition de 3 ans sera observée jusqu’au 12 mars 2021. Après un récent audit, Placo est la 1ère entreprise française certifiée ISO 45001 par SGS France.
La sécurité et la santé au travail sont des valeurs fondamentales pour le Groupe Saint-Gobain et ses filiales. À la suite d’un audit mené cet été chez Placo, SGS France a pu constater :
– le niveau d’engagement exemplaire de la direction et de l’ensemble de l’encadrement,
– la forte implication des collaborateurs dans la démarche de prévention des risques.
Placo a pour objectif d’atteindre et de maintenir le « zéro » accident du travail et maladie professionnelle.
L’année dernière, l’entreprise a poursuivi ses progrès en réduisant de 68% les accidents de travail. Son taux de fréquence est ainsi passé de 6,1 en décembre 2016 à 1,9 en décembre 2017.

« Ces résultats illustrent le travail de réduction des risques que nous menons depuis plusieurs années, qui consiste à identifier en amont toute forme de situation qui pourrait s’avérer  »dangereuse », et de prévenir en traitant le risque. La démarche, s’appuyant sur l’engagement de l’encadrement et l’implication du personnel, permet d’accroître progressivement la  »culture sécurité » de la société », explique Jean-Luc Sylvestre, Coordinateur EHS, Usines Placo.

« Même si la période de transition s’étend sur 3 ans, il ne faut pas tarder. Planifiez vos audits de transition dès 2018
ou 2019. Évaluez l’existant et le  »gap » entre votre système actuel et les exigences ISO 45001. Identifiez et sensibilisez
toutes les parties qui ont un impact sur la performance de votre système de management santé et sécurité. Et surtout
formez vos équipes et vos futurs auditeurs à l’ISO 45001 », recommande Olivier Audebert, Directeur technique et
commercial, SGS France.

Source : https://www.sgsgroup.fr

De la Gestion du Processus Assurance Qualité intégrée à la solution Axiscope DSP

Axiscope a développé un module complet de Gestion du Processus Assurance Qualité intégré à Axiscope Digital Sourcing Platform (Axiscope DSP), qui permet aux industriels de mieux piloter la conformité et d’anticiper les risques liés aux fournisseurs. Dans le cadre du processus d’homologation ou d’audit des fournisseurs, des campagnes périodiques de collecte d’information permettent de vérifier la conformité des fournisseurs à des normes ou des réglementations internationales telles que RGPD, « Conflict Minerals», RSE, etc.

Ce nouveau système permet de définir, normaliser et gérer les activités de planification avancée et de contrôle qualité des fournisseurs ainsi que de leurs processus et outils de production. Des modules APQP (Advanced Product Quality Planning), gestion des réclamations / incidents et plans d’actions de progrès viennent compléter ce dispositif complet de pilotage de la politique de gestion des fournisseurs et des risques. Actuellement en cours de déploiement chez plusieurs clients de l’Automobile, il sera proposé en version packagée à l’automne 2018. 

Axiscope DSP capitalise sur les toutes dernières innovations technologiques pour répondre aux enjeux actuels de digitalisation des services Achats:

  • Instaurer des passerelles facilitant la collaboration entre les Achats et les métiers,
  • Automatiser les processus d’achats en impliquant les fournisseurs où qu’ils soient,
  • Favoriser l’adoption et l’usage par les utilisateurs avec une ergonomie 100% Web,
  • S’extraire des contraintes techniques sans investir dans des infrastructures coûteuses,
  • Garantir la disponibilité des systèmes et la sécurité des données grâce au Cloud,
  • Accélérer le déploiement pour bénéficier rapidement des gains d’efficacité attendus,
  • Bénéficier d’une solution moderne à un coût d’usage maîtrisé basé sur l’utilisation réelle du service.

Avec ses différents modules pouvant être déployés progressivement, Axiscope DSP couvre le « Sourcing-to-Order » : de la gestion des informations fournisseurs (Supplier Information Management)  à la gestion collaborative de la relation fournisseur, avec l’organisation de conduite d’appel d’offres ou de consultations, la gestion du cycle de vie des contrats, le pilotage de la performance et des risques fournisseurs, la gestion des plans d’actions Achats et des plans de progrès fournisseurs. Grâce au collaboratif, l’ensemble des acteurs de l’entreprise peuvent bénéficier d’achats performants réalisés sur la base d’une coopération efficace impliquant les fournisseurs pour favoriser la maîtrise du risque et l’innovation.

Source : https://www.axiscope.com

Ociane Groupe Matmut renouvelle sa certification qualité ISO 9001

Entreprise relevant du Code de la Mutualité, Ociane Groupe Matmut compte 650 000 adhérents. Elle a choisi dès 2013 d’avoir recours à l’organisme certificateur Afnor pour mettre en place la certification ISO 9001 « Conception, distribution et gestion de produits d’assurance et de prévoyance pour les adhérents Entreprises et Particuliers ». Après un audit de renouvellement en 2016 et un audit de surveillance en 2017, Afnor Certification a, fin juillet, évalué et jugé conforme Ociane Groupe Matmut aux exigences requises pour le renouvellement de la norme qualité ISO 9001, sans délai ni réserve pour un an.
Ce renouvellement est à souligner, dans un contexte de forte activité et d’intégration de la mutuelle au sein du Groupe Matmut.
Proposant des offres de complémentaire santé, Ociane Groupe Matmut s’est engagée depuis de nombreuses années dans une démarche qualité tournée vers la satisfaction de ses adhérents. La certification ISO 9001, accordée par Afnor Certification depuis le 23 juillet 2013, atteste de l’efficacité des procédures mises en oeuvre et confirme l’aptitude de la mutuelle à fournir des services de qualité, au quotidien. Cette démarche qualité permet notamment d’accompagner les travaux de mise en conformité à la directive européenne Solvabilité 2.
Le 24 juillet dernier, Afnor Certification a évalué et jugé conforme l’entreprise aux exigences requises pour le renouvellement de sa certification ISO 9001. Cette certification est renouvelée pour un an et concerne l’ensemble des services et sites d’Ociane Groupe Matmut (Bordeaux, Pau, Bayonne et Rouen).
Ociane Groupe Matmut a choisi la certification ISO 9001 dans le but de garantir l’homogénéité de ses pratiques et l’efficacité de ses processus, mais aussi de faire connaitre son savoir-faire et son souci de la satisfaction de ses adhérents, qui a toujours été au coeur de ses préoccupations.
Dans le but de se différencier par un haut niveau de qualité de ses produits et de ses services, elle a notamment mis en place une politique qualité qui s’articule autour de quatre axes. De façon non exhaustive, quelques exemples concrets :
• La rigueur :quatre outils de mesure de la satisfaction des adhérents sont utilisés : des baromètres qualité annuels réalisés par un organisme sondeur, un système de mesure de la satisfaction post appel, une qualification de la satisfaction client post contact réalisée par les conseillers et enfin un outil de suivi des réclamations adhérents.
• L’ambition : Ociane Groupe Matmut souhaite avoir une vision prospective des marchés sur lesquels elle intervient, anticiper les changements réglementaires et dépasser les prévisions tant commerciales que financières. Le rapprochement avec le Groupe Matmut a notamment permis en 2017 de faire croître le portefeuille santé de 8%.
• L’innovation : Ociane Groupe Matmut place les questions d’innovation et de développement au centre de son fonctionnement. Elle a notamment créé une Direction « Innovation et Développement » à l’origine de nouveaux services mis à disposition de ses adhérents. Le partenariat avec Médaviz permet ainsi aux 650 000 adhérents santé d’Ociane Groupe Matmut (dont les 6 200 salariés du Groupe Matmut), d’accéder à cette plateforme de téléconsultation médicale. Des partenariats avec Salvum (application pour se former de façon ludique aux gestes de premiers secours) et Metacoaching (coaching santé en ligne) ont également été noués.
• Le dynamisme : Ociane Groupe Matmut propose tous les ans de nouveaux produits et prestations. La politique qualité mise en place vise à réfléchir aux moyens de réduire les délais de production de toute nouvelle offre. La nouvelle offre individuelle Ociane Santé Évolution a connu un franc succès dès sa sortie, en avril 2017.

Source : https://www.matmut.fr/

Baromètre 2018 « Radioscopie des managers » de l’Observatoire Cegos

Si 84% des managers souhaitent encore occuper un tel poste dans les cinq ans à venir, seuls 34% des salariés aspirent à devenir eux-mêmes managers. 51% des managers interrogés le sont devenus par choix, après l’avoir demandé. Avec le recul, 78% des managers estiment que le rôle qu’ils exercent aujourd’hui répond à leurs attentes. Parmi leurs motifs de satisfaction, figurent des responsabilités plus grandes et une plus large autonomie, le sentiment de contribuer au bon fonctionnement de l’entreprise, les relations avec leurs équipes, la reconnaissance en général…

En revanche, pour les 22% de managers qui ne souhaitent plus occuper cette fonction à l’avenir, le manque de soutien de la part de la direction, le manque de liberté et de moyens pour accompagner leurs collaborateurs, ou encore le manque de temps, figurent parmi leurs motifs de déception.

Ainsi, une large majorité de managers recommanderaient à un collègue non manager de le devenir. Problème : seuls 34% des salariés interrogés aspirent à devenir eux-mêmes managers…

Des managers satisfaits

Globalement, les managers interrogés se disent plutôt satisfaits des moyens mis à leur disposition pour exercer leur fonction.

En outre, le management individuel et la montée en compétences de leurs collaborateurs sont considérés par les managers interrogés comme les tâches donnant le plus de valeur à leur fonction.

Le développement de l’intelligence collective, l’accompagnement des projets de transformation de l’organisation et le pilotage de la performance apparaissent aussi comme des tâches importantes et valorisantes pour les managers. A l’inverse, ils considèrent le reporting comme une tâche de peu de valeur au regard du temps qu’ils y consacrent.

Par ailleurs, les managers sont encore principalement évalués sur des objectifs quantitatifs de performance individuelle (85% d’entre eux) et collective (88%). Seuls 53% sont évalués sur la base d’indicateurs RH.

Concernant l’évaluation de leurs collaborateurs par les managers, l’entretien annuel reste une pratique largement répandue : près de 8 managers sur 10 évaluent leurs collaborateurs par ce biais. Toutefois, les salariés sont plus sceptiques que les managers sur les bénéfices de cet entretien annuel.

Premier enseignement général de l’étude : 54% des managers considèrent qu’il est plus difficile de manager aujourd’hui qu’avant.

Néanmoins, concernant leurs conditions de travail respectives, salariés et managers se retrouvent sur 2 points :

–              81% des salariés et 76% des managers arrivent à maintenir un bon équilibre entre leur vie professionnelle et leur vie privée ;

–              71% des salariés et 77% des managers estiment que leur supérieur hiérarchique est à leur écoute en cas de difficultés.

En revanche, si 74% des managers estiment que leur hiérarchie prend en compte leurs avis et propositions, ce n’est le cas que de 58% des salariés.

En outre, 33% des managers disent agir parfois contre leur éthique et leurs valeurs, contre 25% des salariés.

Manager au quotidien et accompagner les équipes

Les managers ont tendance à surestimer les reproches qui leur sont exprimés par les salariés. Par exemple, 50% des managers pensent que le manque de proximité et de disponibilité est le principal reproche qui leur est fait par les salariés… alors que seuls 40% des salariés le disent effectivement. Dans le même ordre d’idée, 41% des managers considèrent le manque de confiance dans l’équipe et l’excès de contrôle comme un reproche courant, mais seuls 28% des salariés soulignent ce manquement.

Autre décalage de perception : les managers ont tendance à surestimer la confiance que leur accordent les salariés. Ainsi, ces derniers évaluent leur niveau de confiance dans leur manager à 5,9 sur 10, alors que les managers notent le niveau de confiance que leur accordent leurs collaborateurs à 7,7 sur 10.  Enfin, les salariés évaluent leur niveau de confiance dans le corps managérial de leur organisation à 5,1 sur 10.

Ecoute, humanité et empathie en tête de liste

Globalement, les managers sont perçus comme plutôt proches du terrain : 32% des salariés voient leur manager comme un manager de proximité, 30% comme un manager métier, 16% comme un manager communicant, 16% comme un manager leader et 6% comme un manager coach.

Interrogés sur les 3 principales aptitudes qu’un bon manager doit avoir aujourd’hui, les salariés citent le développement des talents de l’équipe, le fait d’être digne de confiance et le fait de responsabiliser les collaborateurs. Quant aux managers, ils mentionnent le développement des talents, puis la responsabilisation et le fait de savoir combiner exigence et bienveillance.

Quand les salariés sont questionnés sur la qualité la plus indispensable pour être un bon manager, les notions d’écoute, de disponibilité, d’humanité, d’empathie ressortent spontanément en premier, tout comme une sensibilité à l’autorité. 56% des salariés estiment que leur manager possède cette qualité.

Enfin, les managers et les salariés s’accordent à dire que ces qualités humaines constituent la principale compétence managériale à développer. Pour les salariés, un manager se doit d’être courageux en assumant et soutenant les revendications de son équipe auprès de la direction. Il doit aussi faire preuve de self control face à la pression et au stress.

Pour cette édition 2018 réalisée en ligne, 1025 salariés et 578 managers (n’appartenant pas à une instance dirigeante) ont été interrogés en France en juillet dernier. Tous les répondants travaillent dans une entreprise du secteur privé de 500 collaborateurs et plus, ou dans une organisation de la Fonction Publique d’Etat.

Source : https://www.cegos.com