Lancement de la 8ème édition du Concours National de la Création Agroalimentaire Biologique

Le seul concours dédié aux jeunes entreprises agroalimentaires Bio est officiellement lancé. Réservée aux entreprises de moins de 3 ans, cette 8ème édition continue de mettre à l’honneur l’originalité d’un projet d’entreprise ou d’un nouveau produit. Véritable booster de l’innovation, le concours organisé par Gers Développement et parrainé par l’organisme de certification Ecocert, soutient la filière agroalimentaire Bio en France. Les créateurs et dirigeants d’entreprises agroalimentaires Bio ont jusqu’au 31 mai 2020 pour déposer leur candidature sur le nouveau site www.concours-bio.fr. Verdict et remise des prix en septembre 2020.

Un concours pour les jeunes entreprises agroalimentaires Bio innovantes

Depuis sa création en 2012, le « Concours National de la Création Agroalimentaire Bio » poursuit les mêmes objectifs : soutenir et encourager la création et le développement des entreprises innovantes sur un secteur en pleine croissance. Véritable booster commercial, il est exclusivement réservé aux créateurs et dirigeants d’entreprises agroalimentaires biologiques françaises de moins de 3 ans.

Deux lauréats et 30 000 euros de dotations à la clé

Le premier lauréat recevra 5000 € en numéraire et le second 2500 €. Chaque lauréat bénéficie également d’un accompagnement commercial et technologique à travers diverses prestations offertes par les partenaires : référencement test, campagne publicitaire, prestations de conseil technologique, accompagnement en stratégie d’entreprise.

Les dates et chiffres clés de la 8ème édition

Dépôt des candidatures : du 15 janvier 2020 au 31 mai 2020
Jury : 25 juin 2020
Remise des Prix : septembre 2020
Date de création du Concours : 2012
33 entreprises candidates à la 7ème édition

Source : https://www.concours-bio.fr

Creaform lance le HandyScan Aeropack pour l’industrie aérospatiale

Creaform, leader mondial en solutions de mesure 3D portables automatisées, propose le HandySCAN Aeropack, un pack de numérisation 3D pour résoudre les problèmes liés au contrôle de la qualité de l’industrie aéronautique. Il permet, par exemple, d’évaluer les dommages causés par les tempêtes de grêle ou les incidents d’avions, ou encore d’effectuer l’inspection des volets et des ailerons. Le HandySCAN Aeropack peut également être utilisé pour la rétro-ingénierie, la maintenance et la réparation, ainsi que pour la conception de pièces difficiles à se procurer.

La solution HandySCAN AEROPACK comprend :
– HandySCAN 3DMC : le scanner 3D portable de classe métrologique leader de l’industrie aérospatiale est conçu pour acquérir des mesures exactes, répétables et fiables, et numériser des surfaces complexes et des pièces de toutes tailles, même dans des environnements peu favorables tels que les hangars d’aviation et les ateliers.
– SmartDENT 3DMC : un logiciel d’inspection de surfaces d’avion pour l’évaluation des volets, des ailerons, du fuselage des avions, etc.
– VXinspectMC : un module logiciel d’inspection dimensionnelle pour les processus de contrôle de la qualité et les rapports d’inspection.
– VXmodelMC : un module logiciel de post-traitement et de finalisation de données de numérisation 3D dans n’importe quel logiciel de CAO.

Intuitif et convivial pour les opérateurs de tout niveau de compétence, le HandySCAN AEROPACK permet d’optimiser
l’efficacité des processus de contrôle de la qualité et de rétro-ingénierie, en réduisant l’influence que l’utilisateur exerce
sur les résultats des mesures et en accélérant la création des rapports finaux ou des conceptions en CAO. Affichant
une efficacité sans pareil, le HandySCAN AEROPACK ne fait aucune concession sur les résultats de diagnostic et la
sécurité.

Le HandySCAN 3D fait partie du Manuel de l’équipement technique d’Airbus, auquel fait référence son Manuel de
réparations structurales. Il fait également partie des lettres de service de Boeing et peut ainsi être utilisé pour enregistrer les attributs physiques des enfoncements sur les aéronefs, pour tous les avions commerciaux de Boeing.

« L’industrie aérospatiale fait face à des difficultés grandissantes à cause de l’innovation accélérée des fabricants, des
normes réglementaires strictes et des préoccupations concernant la sécurité des passagers, ce qui augmente les coûts
des avions immobilisés et des objectifs de rentabilité, explique Jérôme-Alexandre Lavoie, chef de produit chez Creaform. Étant donné que le pack HandySCAN AEROPACK a été conçu dans cet esprit, les entreprises aériennes
peuvent enfin surmonter ces difficultés grâce à notre solution. »

Source : https://www.creaform3d.com/fr

Une première en France dans son secteur : Regio Nettoyage obtient l’Écolabel européen

Nul doute, Regio Nettoyage fait figure de pionnière ! Avec un chiffre d’affaires de près de 4 millions d’euros, l’entreprise spécialisée dans la propreté industrielle et tertiaire est la première entreprise de son secteur à obtenir l’Ecolabel européen. La plus haute certification pour la protection de l’environnement et de la santé en Europe.

Depuis 2007, Regio Nettoyage s’illustre pour son exemplarité éco-responsable et connaît une croissance à 2 chiffres depuis 6 ans. Forte de ses 200 collaborateurs, la société alsacienne accompagne avec pertinence et méthode les entreprises dans leur transition écologique.

Pionnier d’une compétence verte 

Tandis que la liste des produits d’entretien dangereux s’allonge, l’entreprise Regio Nettoyage tord le cou aux stéréotypes et se voit décerner, après un audit exigeant, l’écolabel européen, une première dans la catégorie “Nettoyage”. Ce véritable gage d’excellence, attribué par l’Afnor, organisme de certification depuis plus de 25 ans, met en lumière les meilleures pratiques de multiples organismes, de tous secteurs et de toutes tailles. En distinguant les signes de qualité, l’Afnor valorise et récompense ainsi les démarches exemplaires.

Regio Nettoyage est aujourd’hui la seule en France à détenir cette certification environnementale . Forte de sa rigoureuse expertise et business model éprouvé, la PME avant-gardiste a su satisfaire la liste drastique des critères pour décrocher ce “graal” professionnel.

Pour obtenir cette distinction, Regio Nettoyage a fait valoir l’utilisation de produits d’origine naturelle, respectueux de l’environnement, sans étiquetage de risques, éco-labellisés et développés en France, mais aussi l’emploi de matériels bio-sourcés ou issu de plastique recyclé. La démarche tient compte également de sa stricte politique de tri des déchets, de la consommation énergétique des matériels de nettoyage.

Par son approche globale, Regio Nettoyage implique par ailleurs ses salariés dans cette dynamique vertueuse. L’entreprise organise régulièrement des formations du personnel aux éco-gestes et aux problématiques écologiques. En outre, elle met en place des systèmes de management environnemental, afin de mesurer et d’améliorer la performance verte de l’entreprise.

La logique-éco 

La propreté est un besoin qui touche l’ensemble des entreprises et secteurs d’activité. Loin de se contenter de porter l’étendard écologique, c’est l’ensemble du modèle économique de Regio Nettoyage qui est fondé sur le respect de l’environnement. L’entreprise a su se placer en leader auprès des PME en quête d’une offre de prestations écologiques et sur-mesure.

Fervent passionné, Nicolas Meyer, dirigeant de Regio Nettoyage, s’attache à ancrer son coeur de métier dans une dynamique verte , en appliquant des process précurseurs, vertueux et responsables. Flotte équipée à près de 20% de véhicules électriques, recours exclusif à des lavettes en microfibre, aspirateurs peu énergivores, chariots de lavage issus à 75% de plastique recyclé sont autant de leviers d’action mis en oeuvre par le jeune dirigeant depuis son acquisition en 2011.

Couplés à une formation pratique de chaque membre, les éco-gestes sont devenus des habitudes pour les 200 collaborateurs de la structure : utilisation d’eau froide, optimisation de l’usage de l’eau, dosage juste des produits, gestion des déchets, écoconduite…

Société locale intervenant tant en collectivité, qu’en établissements de santé, en sites tertiaires ou en galeries commerçantes, Regio Nettoyage a permis une dépollution conséquente de l’air ambiant des quasi 500 structures dans lesquelles elle intervient.

Oeuvrant dans un secteur hyper concurrentiel, Nicolas Meyer a su convaincre et fidéliser des clients de plus en plus nombreux, en redynamisant son secteur d’activité par une démarche positive et éthique. À travers son expérience, il espère insuffler une prise de conscience, voire une adhésion de ses pairs à suivre le mouvement.

Une entreprise éthique et respectueuse

Regio Nettoyage base son développement sur l’humain. Une fine réflexion autour de l’ergonomie , dans ce métier de terrain, a été menée par Nicolas Meyer. Soucieux des conditions d’exercice de ses équipes, le jeune dirigeant n’hésite pas à investir dans des outils adaptés et innovants, pour réduire les risques de troubles musculo-squelettiques de ses employés.

Toujours animé par le besoin d’accompagner ses équipes, les mesures se multiplient. Mise en place de formations, grande proportion de CDI (90%), travail en journée, l’entreprise réconcilie l’opinion collective avec la mauvaise image dont pâtit la profession.

Ainsi, parmi plus de 200 collaborateurs, 45% sont des seniors et 18% sont de travailleurs handicapés . De ce fait, l’entreprise contribue amplement à la valorisation des professionnels de la PME. À en juger par le faible turn-over au sein de la société, toutes ces mesures éthiques concourent au bien-être au travail.

Source : https://www.ecolabels.fr/

10e édition de la Semaine de l’industrie du 30 mars au 5 avril 2020 : Les labellisations sont ouvertes !

Depuis 2011, la Semaine de l’industrie contribue à changer le regard du grand public et des jeunes sur l’industrie et ses métiers, à travers l’organisation d’événements sur l’ensemble du territoire national (job dating, visites d’entreprises et d’établissements de formation, conférences, ateliers, expositions…). L’édition 2019 a marqué un record avec 4 763 événements labellisés et plus de 800 000 participants.
La 10ème édition de la Semaine de l’industrie aura lieu du 30 mars au 5 avril 2020 sur le thème « Inventer un avenir durable ». Ce thème permettra d’illustrer et de valoriser l’engagement des acteurs industriels et des partenaires de l’événement dans la transition écologique et l’économie circulaire. Il mettra également en avant les initiatives visant à renforcer la mixité des métiers et la sensibilisation des jeunes filles aux carrières industrielles.
La Semaine de l’industrie 2020 offrira des milliers d’occasions de susciter des vocations en montrant aux jeunes collégiens et lycéens que l’industrie propose des métiers d’avenir, carrières passionnantes, formatrices et bien rémunérées. Travailler dans l’industrie, c’est l’opportunité d’explorer l’international et surtout de répondre aux besoins de tous : se loger, se nourrir, se soigner, se déplacer, se cultiver. Cet enjeu de promotion est primordial alors même qu’en 2019, près de 50% des 223 000 projets d’embauche dans l’industrie manufacturière (+20% par rapport à 2018), sont jugés « difficiles » par les entrepreneurs du secteur.

Ouverture des labellisations de l’édition 2020

Tous les acteurs et les partenaires de l’industrie (entreprises, fédérations industrielles, établissements scolaires et de formation, collectivités territoriales, administrations et opérateurs publics etc.) sont invités à se mobiliser et à labelliser leurs événements avant le lundi 20 mars 2020 sur le site https://www.semaine-industrie.gouv.fr/accueil/comment-inscrire-evenement-2020

Pour obtenir la labellisation, un événement doit remplir quatre conditions :
– se dérouler entre le 30 mars et le 5 avril 2020
– être ouvert au grand public, notamment aux jeunes, demandeurs d’emploi, professionnels
de l’enseignement et des ressources humaines…
– avoir pour objectif d’informer et de communiquer sur le thème de l’industrie
– être gratuit

Les organisateurs de la Semaine de l’industrie

La Semaine de l’industrie est pilotée par le ministère de l’Economie et des Finances (Direction générale des entreprises), en association avec les ministères chargés du Travail, de l’Agriculture, de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur, ainsi que Régions de France. Elle mobilise chaque année de nombreux partenaires : entreprises, syndicats, fédérations et partenaires de l’industrie (France industrie, l’Alliance industrie du Futur, la CPME, Syntec Ingénierie, Syntec Numérique, Ingénieurs et Scientifiques de France, La Fabrique de l’industrie,
les centres techniques industriels,…), les opérateurs de l’Etat (BPIfrance, BusinessFrance), les chambres consulaires, les services de l’Etat en région (Préfectures, Direccte, Rectorats et établissements d’enseignement), les centres d’apprentissage et les 164 « Territoires d’industrie ».

Source : https://www.semaine-industrie.gouv.fr/

Savoir-faire « Made in Nouvelle-Aquitaine » et excellence régionale à l’honneur à Paris

Afin de mettre à l’honneur la diversité du patrimoine régional, les métiers et savoir-faire d’excellence, le Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine offre une belle vitrine à plusieurs « Entreprises du Patrimoine Vivant » du territoire disposant de ce label, en leur ouvrant les portes de Maison de la Nouvelle-Aquitaine à Paris du mardi 7 au mercredi 29 janvier 2020 (21, rue des Pyramides).

En effet, 22 entreprises régionales disposant du label seront mises à l’honneur à la Maison de la Nouvelle-Aquitaine à travers une exposition photos et la vente de produits respectueux et fabriqués localement :

  • 6 du domaine gastronomique avec la confiserie Lopez (Royan), la confiserie Paries (Saint-Jean-de-Luz), la confiturerie Francis Miot (Uzos), le cognac du domaine Château de Fontpinot (Segonzac), la biscuiterie Goulibeur (Poitiers), le pastis landais Larquier (Mazerolles)
  • 8 issues du cuir, textile et accessoires avec la ganterie Agnelle (Saint-Junien), la maroquinerie Alexandre Mareuil (Artigues-près-Bordeaux) et Daguet (Saint-Junien), les accessoires pour les chaussures de l’entreprise Avel (Magnac-Lavalette-Villars), la manufacture Castex (Dax), le linge basque de tissage Moutet (Orthez), les chaussures JMG Houcke (Excideuil), la filature Fonty (Rougnat)
  • 8 des métiers d’arts avec les créations de pièces en verre d’Alex Ematek (Loudun), la création de makhila des ateliers Bergara (Larressore), la Coutellerie Nontronnaise (Nontron), la porcelaine de Feeling’s Sylvie Coquet (Linards), les accordéons Maugein (Tulle), la porcelaine Pierre Arquie (Limoges), les planchas ENO (Niort), la fabrication de pièce en bois moulé de la Société Nouvelle Lecuiller (Tonnay-Boutonne).

Cette action de valorisation de ces entreprises s’inscrit dans le cadre de la feuille de route « Cuir, luxe, textile et métiers d’art » 2020-2022 votée lors de la séance plénière de décembre 2019, notamment au titre de l’action « Poursuivre la construction d’une image d’excellence ».

Cette feuille de route trace les orientations et un programme d’actions pour les 3 prochaines années. Le développement de tous les types d’entreprises, artisanales et industrielles, le recrutement, la valorisation des compétences, les labélisations mettant en avant les savoir-faire ou encore le développement à l’international sont les actions priorisées de cette feuille de route.

La feuille de route de Nouvelle-Aquitaine est unique en France en raison de sa capacité à englober les entreprises tant artisanales qu’industrielles, les entreprises unipersonnelles et les PME, dans une même stratégie, un même programme d’actions qui ont pour point commun « leur savoir-faire ».

Source : https://www.patrimoinevivantnouvelleaquitaine.com/

Anne Thomas prend la direction d’Afnor Compétences

Depuis le 1er janvier 2020 Anne Thomas est la nouvelle directrice de la filiale formation et conseil du groupe Afnor. Elle succède à Pascal Prévost. 

Diplômée d’Audencia en 1995, Anne Thomas (47 ans) a mené un parcours professionnel toujours orienté vers la transmission des savoirs dans des secteurs de services BtoB : formation, presse, édition, services digitaux, associatif. Elle a particulièrement conjugué des compétences de management, de développement de centres de profit et de marketing. 

Après des débuts chez L’Oréal, Anne Thomas rejoint en 1997 « Les rencontres d’affaires » qui deviendra l’organisme de formation professionnelle Comundi. En 2003, elle intègre Reed Business Information, en assumant successivement plusieurs responsabilités. Elle créée ainsi la fonction marketing au niveau du groupe avant de prendre la direction de la business unit presse, fonction qu’elle poursuit jusqu’en 2016, après des changements d’actionnaires et la transformation de la société en Intescia. En 2018, elle rejoint la Fédération de Réseau Entreprendre et dirige la formation et les services aux associations adhérentes, jusqu’en octobre 2019.

Investie dans le domaine caritatif, Anne Thomas s’implique dans l’association Société Saint-Vincent-de-Paul depuis 2016, où elle organise avec 15 bénévoles des actions de soutien aux personnes âgées isolées.

« Je suis très heureuse de rejoindre le groupe Afnor et Afnor Compétences en particulier, à un moment clé de l’évolution de l’organisme de formation référent en véritable partenaire de la transformation des organisations, du développement et de la reconnaissance des compétences », déclare Anne Thomas, directrice générale d’Afnor Compétences.

Depuis près de 40 ans, Afnor Compétences s’attache à développer des solutions innovantes de formation et de conseil pour aider les organisations à mieux comprendre et s’approprier les référentiels – normes, réglementations – et ainsi gagner en performance.

Leader français des formations dédiées aux systèmes de management (qualité, sécurité et environnement), aux méthodes associées, à l’audit et l’évaluation, Afnor Compétences s’adresse aux acteurs de la performance industrielle, de la construction durable et de l’immobilier. Les consultants-formateurs d’Afnor Compétences dispensent des formations et séminaires clés-en-mains (inter), sur mesure (intra), en présentiel, à distance ou mixtes, avec les derniers outils d’e-learning.

 

Source : https://competences.afnor.org

L’ISAE-SUPAERO et Daher créent une chaire de recherche sur la conception et la certification d’avions innovants de catégorie CS-23

L’ISAE-SUPAERO, la Fondation ISAE-SUPAERO et Daher signent une convention de mécénat pour la création d’une chaire de recherche. D’une durée de 5 ans, cette chaire vise à réaliser des travaux de recherche sur la conception et la certification d’architectures innovantes d’avions légers de type CS-23, c’est-à-dire avec une masse maximale au décollage de 5670kg et une capacité maximale de 9 passagers. Inscrite dans une logique de réduction de l’empreinte environnementale de l’aviation, cette chaire illustre l’engagement de l’ISAE-SUPAERO et de sa Fondation à innover dans des modèles et outils sensibles aux enjeux climatiques.

Une chaire de recherche en adéquation avec les grands défis du siècle 

En juillet 2019, la Fondation ISAE-SUPAERO, l’ISAE-SUPAERO et l’avionneur et équipementier Daher signaient une convention de mécénat. Son objectif ? Mettre en place une chaire de recherche sur la conception et la certification d’avions légers à propulsion hybride-électrique, combinant ainsi les énergies fossile et électrique pour assurer la propulsion et l’alimentation des systèmes embarqués.

La chaire s’articule autour de trois axes principaux :

1. La réduction de l’impact environnemental de l’aviation
La Chaire va permettre de développer des solutions hautes performances et durables pour l’aviation légère en travaillant notamment sur l’hybridation de sources d’énergie à bord, l’exploration d’architectures innovantes telles que la propulsion électrique distribuée et les modes d’opération innovants (transport intercités).
« A travers cette Chaire, Daher est fier de contribuer à l’invention de l’avion de demain et à la décarbonation du transport aérien, deux axes au coeur de notre raison d’être d’avionneur et d’entreprise responsable. Cette Chaire va de plus contribuer au développement de compétences et expertises clés pour Daher comme pour l’ensemble de l’écosystème aéronautique, et qui illustrent également nos engagements RSE », souligne Jérôme Leparoux, Directeur des Ressources Humaines et Secrétaire Général de Daher.

2. Une approche systémique étendue en conception avion
L’introduction de solutions technologiques novatrices permet d’envisager des architectures innovantes pour les avions légers de demain, ouvrant la voie à de meilleures performances globales. Pour cela, il est nécessaire d’introduire une vision systémique forte lors de la recherche de solutions innovantes, c’est-à-dire développer un outil capable d’intégrer toutes les disciplines relatives à l’avion et à son écosystème : de la capture du besoin du client, en passant par les missions de l’avion, l’optimisation de son architecture, les aspects environnementaux et les aspects sécuritaires.
De plus, les travaux de recherche soutenus par la chaire permettront une analyse des besoins sociétaux de mobilité et des sources d’énergie pertinentes à court, moyen et long terme.
« Face au champ des possibles qu’autorise l’émergence de nouvelles technologies couplée aux enjeux environnementaux et sociétaux, pouvoir associer l’excellence scientifique à notre réflexion stratégique et industrielle est un atout précieux pour consolider nos choix. Ainsi, s’appuyer sur un corpus scientifique riche et reconnu permet, sur un sujet aussi critique que la sécurité ou la pertinence économique, de sécuriser et de justifier sur le fond et auprès des Autorités les grands choix que nous allons être amenés à effectuer », ajoute Pascal Hermel, Directeur des projets amont Groupe de Daher.

3. La sécurité et la certification de nouvelles architectures
La certification et l’analyse de sécurité de ces nouvelles architectures d’avion de catégorie CS-23 occuperont une part importante des travaux de cette chaire. Ceci s’appuiera sur la nouvelle approche réglementaire mise en place par les autorités de sécurité aérienne pour cette catégorie d’avions et introduira les démonstrations de sécurité dès la conception de l’appareil. Les chercheurs analyseront des méthodes pour favoriser l’introduction d’innovation dans les avions tout en garantissant le haut niveau de sécurité requis et les contraintes de développement.
« Efficience pour développer des méthodes d’optimisation de nouvelles architectures d’avion léger en intégrant les dimensions technologiques, opérationnelles et environnementales. Exigence pour définir comment ces innovations doivent répondre en certification aux objectifs de sécurité élevés de l’aviation. Tels sont les axes qui guideront nos travaux de recherche », explique Joël Jézégou, enseignant-chercheur à l’ISAE-SUPAERO. Signée pour une durée de 5 ans, la convention de mécénat permettra aux trois acteurs, ISAE-SUPAERO, sa Fondation et Daher, d’accroître et de consolider leur niveau d’excellence et de partager leurs travaux de recherche en matière d’avions innovants afin d’optimiser les appareils et de concilier sécurité, performances, protection environnementale, économie du marché et besoins des passagers.
« De nouveaux défis, et qui sont autant d’opportunités, se présentent à nous ; ainsi le défi climatique et les évolutions de plus en plus rapides des besoins du marché sont des enjeux majeurs qui doivent guider notre réflexion vers de nouvelles architectures d’aéronef, et nous inciter à repenser les méthodes efficaces pour les mettre sur le marché. Notre collaboration étroite avec l’ISAE-SUPAERO est un des leviers stratégiques pour accompagner le changement de paradigme que cela suppose », commente Nicolas Orance, Chief Technology Officer de Daher.

Via ce type de chaire, l’ISAE-SUPAERO s’inscrit comme un acteur de référence dans le domaine de la recherche aéronautique et poursuit le développement de ses travaux en adéquation avec les nouveaux besoins sociétaux et les défis environnementaux.

« En combinant l’excellence industrielle et l’excellence académique, nous avons pour ambition de changer l’approche de la conception des avions légers. En prenant en compte le cycle de vie complet de l’avion, les travaux de la Chaire permettront de concevoir des architectures innovantes sur les plans technologiques et environnementaux. C’est essentiel pour inventer le transport aérien de demain, qui doit répondre au défi du réchauffement climatique. », affirme Olivier Lesbre, Directeur Général de l’ISAE-SUPAERO.

« Face à des enjeux environnementaux grandissants, nous sommes heureux de faire partie de ceux qui, aux côtés de grandes entreprises comme Daher, innovent dans la recherche d’outils qui contribueront à la décarbonation du secteur aéronautique de demain » déclare Jean-Louis Marce, Secrétaire de la Fondation ISAE-SUPAERO.

Source : https://www.fondation-isae-supaero.org

Bonne année 2020 avec Quality & Co et le groupe MRJ Presse !

Chers internautes, lecteurs et abonnés,

Toute l’équipe MRJ Presse se joint à Qualité Références pour vous souhaiter ses meilleurs vœux pour cette nouvelle année 2020. Que Quality & Co soit votre fidèle source d’information, que notre magazine vous conduit vers la réussite et que tous vos projets se concrétisent ! 

La Rédaction

Afnor Certification adhère à la Coprec

Numéro 1 français de la certification tierce-partie, Afnor Certification adhère à la Confédération des organismes indépendants tierce partie de prévention, de contrôle et d’inspection (Coprec) pour contribuer à la défense collective de la profession et à son développement.

« Des milliers d’organismes publics et privés comptent sur le savoir-faire précis de la certification tierce-partie pour répondre à leurs défis actuels et à venir, tels que ceux générés par l’économie circulaire par exemple. Nous rejoignons la délégation certification de la Coprec pour contribuer au développement de cette profession génératrice de confiance », affirme Franck Lebeugle, directeur général d’Afnor Certification.

La certification tierce-partie est utilisée par les organisations de toute taille, privées comme publiques, et de tous secteurs pour notamment soutenir leur dynamique d’amélioration continue. Elle est attribuée suite à des évaluations de conformité indépendantes et impartiales, encadrées par des normes internationales, sous le contrôle volontaire du Cofrac en France, via l’accréditation.   

La Coprec regroupe des organismes chargés de réaliser des missions d’évaluation de conformité, de contrôle, de certification et de prévention. Ils attestent avec objectivité, indépendance et impartialité de la conformité de démarches, de procédés de fabrication ou de méthodes dans tous les secteurs de l’économie. Cette profession emploie environ 38 000 personnes en France et a réalisé 3 milliards de chiffre d’affaires en 2018.

Source : https://certification.afnor.org

Le CNES maintient ses certifications ISO 9001 et 14001

L’audit du Système de Management du CNES, réalisé en octobre 2019 dans ses quatre centres d’excellence à Paris Les Halles, Paris Daumesnil, Toulouse et Kourou, se solde par d’excellents résultats. À l’issue de cet audit, le maintien des certifications qualité ISO 9001 et environnement ISO 14001, a été confirmé par AfnorCertification.
Pour la troisième année consécutive, aucune non-conformité n’a été constatée.
De nombreux points forts ont été relevés, notamment :
– Le leadership de la Direction et des pilotes de processus pour répondre aux enjeux et préparer l’avenir,
– L’implication des personnels du CNES dans la démarche de progrès,
– La forte dynamique à l’international avec un rayonnement croissant attesté par les nombreuses coopérations,
– La robustesse du système de management avec une forte ambition en matière de développement durable (projet ODDE),
– La maturité des approches environnementales : biodiversité, plan de mesure environnemental, écoconception, analyse de cycle de vie, bilan carbone, référent achats durables,
– L’approche de la Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences,
– La maitrise opérationnelle des projets et chantiers visités (localisation, maintien en conditions opérationnelles, activité ballons),
– La maturité des activités de management de projets (SMOS, Ensemble de Lancement Ariane 6) et l’efficacité des instances décisionnelles (Comité Directeur de Management de Projet),
– La plateforme ArianeWorks (programme Thémis),
– L’écoute des clients internes et des parties intéressées,
– La capitalisation des connaissances à tous les niveaux de l’organisation.
À l’annonce de ces résultats exceptionnels, Jean-Yves Le Gall, Président du CNES, a déclaré : « Le maintien des certifications ISO 9001 et ISO 14001, sans non-conformité pour la troisième année consécutive, atteste du haut niveau de performance de nos quatre centres d’excellence. Je tiens à féliciter l’ensemble des personnels du CNES pour cet excellent résultat, obtenu de concert avec leur remarquable mobilisation pour que le CNES relève les nombreux défis auxquels il doit faire face dans un contexte en très forte évolution. ».

Source : https://www.cnes.fr