Aéronautique : Apave renforce son offre de certification

OSAC, Organisme de Sécurité pour l’Aviation Civile, filiale du Groupe Apave, étend son accréditation (n° 4-0605) pour les normes EN 9100 destinée aux organismes qui conçoivent, développent ou fournissent des produits et services Aéronautique, Spatiale et de Défense (ASD) et EN 9120 pour les organismes qui approvisionnent des pièces, des matériaux et des ensembles et revendent ces produits à un client des secteurs de l’industrie ASD. Avec cette accréditation, OSAC vient consolider l’offre du groupe Apave en matière de certification avec la filiale Apave Certification.
Le Comité Français d’Accréditation (COFRAC) a jugé, en effet, le système mis en place par OSAC « maîtrisé et pertinent » et a considéré qu’OSAC satisfait aux exigences relatives « à la compétence, la cohérence et l’impartialité des organismes procédant à l’audit et à la certification de systèmes de management » et lui a décerné l’accréditation afin de réaliser des audits de certification selon les normes EN 9100 et EN 9120.
OSAC propose, depuis le 1er septembre 2020, en plus de la certification ISO 9001, des prestations de certification EN 9100 et EN 9120, sous accréditation COFRAC, aux entreprises liées au secteur aéronautique qui souhaitent valoriser et améliorer leur performance et leur compétitivité dans le domaine ASD.

Amphenol Socapex s’adapte à la crise sanitaire tout en continuant son activité industrielle

Witbe garantit la bonne réception des messages d’alertes gouvernementaux en Amérique du Nord

Cette nouvelle technologie permet de détecter tout message d’avertissement planifié ou imprévu, garantit une surveillance 24/7 des systèmes d’alertes d’urgence sur de véritables appareils et peut-être implémenté en option sur des robots Witbe déjà en production.
Les robots Witbe se connectent à d’appareils de test et reproduisent les parcours des utilisateurs finaux afin de superviser la qualité d’expérience de n’importe quel service numérique. Avec cette nouvelle fonctionnalité, ils peuvent détecter les apparitions de messages d’avertissement gouvernementaux tout en surveillant la QoE d’un service vidéo. Une fois l’alerte d’urgence détectée, le robot mesure des indicateurs clés de performance (KPIs) comme le taux de réussite, le temps de propagation ou la conformité du message. Puis ces KPIs alimentent un rapport incluant une vue géographique de la propagation des messages d’alertes. Les robots Witbe effectuent également un enregistrement vidéo des messages d’alertes afin de montrer aux organisations gouvernementales qu’ils ont bien été transmis et vérifié qu’ils sont correctement arrivés à leur destination finale.
« Il était important pour nous de développer ce nouveau service car les opérateurs américains sont désormais contraints de prouver aux organisations gouvernementales qu’ils peuvent afficher ces messages d’avertissement — qu’il s’agisse d’un test ou non », a déclaré Mathieu Planche, Directeur général de Witbe. « Nous sommes très fiers que cette technologie ait déjà été mise en œuvre avec succès chezplusieurs opérateurs multiservices majeurs américains. Cette nouvelle fonctionnalité pousse Witbe vers un nouveau chapitre passionnant des tests de conformité ! »

TiHive reçoit un financement européen de 8,6 millions €

Grâce à des systèmes compacts d’imagerie utilisant des ondes Térahertz capables de traverser la matière sans les effets néfastes des rayons X, la start-up grenobloise TiHive innove dans le contrôle non-destructif en milieu industriel. S’adressant en priorité aux marchés de l’hygiène et du personal-care, l’entreprise, qui entame sa troisième année d’existence, annonce que la Commission Européenne investit 6,3 millions € dans son projet en equity. Elle figure également parmi les 7 lauréats français de l’appel à projets E.I.C Accelerator porté par la Commission Européenne dans le cadre du programme européen de recherche et d’innovation Horizon 2020, lui conférant ainsi une enveloppe supplémentaire de 2,3 millions € pour opérer sa phase d’industrialisation.
TiHive est aujourd’hui la première entreprise à pouvoir déployer et commercialiser la technologie Terahertz à grande échelle, promettant de faire économiser plusieurs milliards d’euros aux industriels. Son atout : automatiser en temps réel le monitoring de la qualité des produits avec un niveau de performance et de finesse élevé.
Fondée par Hani Sherry, Carlos Prada et Nicolas Baudouin, la start-up présente une plateforme d’inspection (hardware et software) permettant d’analyser les caractéristiques physiques des matériaux et leur qualité. Basée sur la lumière Térahertz et associée à des algorithmes de deep learning, la technologie TiHive visualise l’intérieur des matériaux (comme les polymères superabsorbants dans les couches pour bébé, les protections hygiéniques féminines, les couches pour adultes) et les tissus non-tissés (masques, tissus médicaux, lingettes…) afin de réaliser des contrôles en temps réel, optimiser l’utilisation de matières premières, détecter les contaminants et défauts intérieurs de la matière.
Les capteurs de TiHive sont installés directement sur les outils de production et détectent en temps réel les caractéristiques physiques (grammage, humidité…), les défauts et les contaminants à chaque étape de production. Le contrôle peut ainsi être effectué à grande vitesse et sans danger sur l’ensemble des produits.
« Grâce à une technologie unique basée sur des circuits intégrés développés chez TiHive ainsi que des algorithmes d’intelligence artificielle, nous sommes aujourd’hui les premiers au monde à proposer un système de contrôle ultra performant, clé en main et prêt à être distribué à grande échelle. Ce système se compose d’un ensemble d’émetteurs et d’un récepteurs, qui lorsqu’ils sont placés de part et d’autred’un objet, font apparaître des caractéristiques physiques ou des indicateurs de la qualité jusqu’ici impossibles à mesurer. » explique Clément Jany, CTO de TiHive.
Dans un contexte où les consommateurs sont très attentifs à la qualité des produits et où les industriels cherchent à produire à grande échelle en diminuant leurs coûts, l’inspection et le contrôle qualité sont devenus des enjeux primordiaux pour éviter le gâchis des matières premières, la production massive de produits non-conformes et réduire l’impact environnemental. Grâce à sa technologie, TiHive, estime une optimisation de coût à l’échelle d’un milliard € par an pour le marché des couches bébé, et une réduction d’un million de tonnes de gaspillage de matières premières par an, permettant une grande réduction de CO2 et d’énergie consommée.En révélant l’invisible à travers les matériaux, sa solution permet à l’industriel d’économiser ses matières premières, d’augmenter le rendement de production (grâce à l’automatisation du contrôle qualité), et de garantir au consommateur un produit fini conforme et de meilleure qualité.
Si les marchés de l’hygiène et du personal-care sont les premiers visés, la solution TiHive pourrait être utilisée dans les industries pharmaceutique, du luxe, de l’aéronautique…

Boeing confirme son leadership environnemental

L’édition 2020 du rapport mondial sur l’environnement présente comment le Groupe Boeing conçoit et construit des plateformes selon une approche durable, tout en économisant les ressources et en réduisant le volume de déchets créés dans le cadre de ses activités internationales.

Boeing s’est fixé, en effet, des objectifs environnementaux à l’horizon 2025 : réduire les émissions de gaz à effet de serre de 25 %, la consommation d’eau et de déchets solides envoyés dans des sites d’enfouissement de 20 %, la consommation d’énergie de 10 %, et le volume de déchets dangereux présents sur les lieux de travail de 5 %. Avec son offre de produits économes en carburant leader sur le marché, le groupe contribue à aider l’industrie aéronautique à suivre une politique de croissance neutre en carbone à partir de 2020 et une réduction du bilan carbone de 50 % d’ici à 2050.

« L’engagement constant dont nous faisons preuve en faveur de la durabilité environnementale constitue un aspect majeur de notre stratégie globale », a déclaré Greg Smith, vice-président exécutif en charge des Opérations d’entreprise, directeur financier du groupe. « L’innovation fait partie intégrante de l’ADN de Boeing, et nous utilisons cette inventivité pour contribuer à relever le défi fondamental que représente le changement climatique à l’échelle de la planète. »

Parmi les faits marquants des activités de Boeing en faveur de l’environnement en 2019, figurent :

  • développement de nouveaux produits 15 à 25 % plus efficients, en ligne avec les objectifs de l’industrie aéronautique qui visent une croissance mondiale neutre en carbone en 2020 et une réduction du bilan carbone de 50 % à l’horizon 2050 ;
  • possibilité pour les compagnies aériennes clientes de choisir un carburant durable lors des vols de livraison de leurs nouveaux avions ;
  • augmentation de la quantité d’énergie renouvelable pour les opérations du Groupe avec l’adhésion à la Renewable Energy Buyers Alliance (REBA), un consortium de grands acheteurs d’énergies renouvelables dont la vocation est d’accélérer l’avènement d’un avenir énergétique sans carbone ;
  • diminution du volume de déchets solides traités dans des sites d’enfouissement de 15 %, et de la consommation d’eau de 7 % depuis 2017 : résultats notables par rapport aux objectifs du Groupe qui souhaite réduire ces deux valeurs de 20 % d’ici à 2025 ;
  • lancement du banc d’essais volant 777 ecoDemonstrator : son but est d’évaluer des technologies durables, dont une nouvelle technologie d’extrémités de voilure permettant d’améliorer l’efficience au décollage et à l’atterrissage. Grâce à cette innovation, les compagnies aériennes pourraient économiser chaque année plusieurs milliers de tonnes de carburant ;
  • collaboration avec des partenaires extérieurs et, au plan local, avec des organisations sans but lucratif pour soutenir la durabilité environnementale avec des programmes pédagogiques et des initiatives d’engagement au sein des communautés, de protection des terres et de restauration des habitats ;
  • Boeing a obtenu pour la 10ème année consécutive le prix Energy Star décerné par l’EPA pour son excellence en matière de développement durable.

La qualité et la certification Qualiopi

Nouveau responsable des ventes pour Creaform

Au cours de ses fonctions au sein de Creaform, Marc-Antoine a développé et renforcé le réseau de distributeurs de Creaform parmi de nombreux pays. Avant d’occuper le poste de responsable des ventes, il était le responsable des ventes EMEA et a participé à l’ouverture des filiales en Italie et en Espagne. Avec une maîtrise en administration des affaires, Marc-Antoine a intégré Creaform en 2008 et occupe plusieurs postes pour les ventes de l’entreprise, y compris en tant que responsable des ventes régionale en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique.

« C’est pour moi un honneur de rejoindre l’équipe de direction de Creaform. J’espère que la transition se fera en douceur pendant que nous ferons face à de nouveaux défis du marché et que nous déploierons notre plan de développement solide », note Marc-Antoine. « J’espère pouvoir renforcer la culture de Creaform en matière d’innovation et de stratégies métier ».

« Nous sommes ravis que M. Schneider ait accepté le poste », déclare Fanny Truchon, présidente de Creaform. « Nous devrons nous adapter à une nouvelle réalité pendant les mois et années à venir. Je suis persuadée que Marc-Antoine dispose de l’état d’esprit novateur et de la souplesse nécessaires pour soutenir notre réseau international de partenaires de vente ».

Une nouvelle stratégie RSE pour Hoist Finance

Grâce à un processus ascendant, intégrant les commentaires et les idées des collaborateurs dans l’ensemble de l’entreprise, Hoist Finance a développé une stratégie de développement durable axée sur quatre piliers fondamentaux : contribuer à un écosystème financier inclusif, créer un lieu de travail idéal, lutter contre le changement climatique et maintenir les normes éthiques les plus élevées. Ce nouveau cadre présente aussi les relations de Hoist Finance avec ses collaborateurs, les banques et les institutions financières, les clients, les partenaires et la société dans son ensemble.
Cette nouvelle stratégie définit les ambitions de Hoist Finance de soutenir les nouvelles innovations afin de faciliter l’accès aux services financiers. L’inclusion financière est un défi croissant en Europe avec 636 milliards d’euros de prêts non performants qui exercent une forte pression sur l’économie européenne avec une dette des ménages s’élevant à 93, 49 % du revenu brut. Afin de protéger les personnes les plus vulnérables financièrement, la banque achète uniquement des prêts non performants auprès de banques réputées ayant une politique de crédit saine et refuse activement les portefeuilles de certaines parties des marchés du crédit à la consommation, y compris les prêts sur salaire et les prêts SMS.

« Hoist Finance a une solide expérience pour aider les gens à tenir leurs engagements malgré les difficultés financières. Dans des moments comme ceux que nous traversons actuellement, il est particulièrement important de rester proche de nos clients et de les aider à trouver une voie à suivre. En déployant notre compétence, Hoist Finance aide les gens à retourner à l’inclusion financière », déclare Klaus Anders Nysteen, CEO de Hoist Finance.
« Chez Hoist Finance, nous pensons que le monde des affaires a un rôle essentiel à jouer pour aider les gouvernements et les communautés à lutter contre l’exclusion financière et garantir à tous l’accès à des services financiers abordables. Notre nouvelle approche de la durabilité propose un programme coordonné et complet pour nous aider positivement l’impact sur nos communautés et la société », ajoute Ingrid Bonde, Responsable du Board.

Adequancy labellisée Adel

En développant le premier écosystème digital dédié aux managers indépendants sous forme de plateformes web métiers, la société Adequancy a déterminé les fondements de ses engagements et de ses responsabilités vis-à-vis de toutes ses parties prenantes : transparence, intégrité, confidentialité.

Adequancy souhaite, grâce à ce label, rester conforme aux dispositions et aux exigences de son référentiel et de ses évolutions, afin de respecter des engagements clairs et lisibles non seulement vis-à-vis du marché du management de transition mais aussi de ses collaborateurs. Elle sensibilise, accompagne et forme ses équipes dans l’amélioration des processus de la société.

Certification des bonnes pratiques digitales


Dans le cadre de sa plateforme, la société collecte, traite et organise des données personnelles, concernant aussi bien les coordonnées des utilisateurs que des données liées à leurs expériences professionnelles. Afin de créer un climat de confiance avec ses clients, les managers de transition dans sa communauté, ses partenaires et ses équipes internes, Adequancy intervient dans le processus digital pour offrir la meilleure expérience à ses utilisateurs. Ainsi, elle commet un arbitrage mesuré entre la logique des algorithmes, savoir-faire métier et relationnel, en toute transparence. Cette démarche engageante certifie sa pratique éthique en termes de gestion et de protection des données. Son but : garantir la confiance et la sécurité à l’ensemble de ses partenaires utilisateurs.

Adequancy œuvre au quotidien afin d’offrir une transparence aux utilisateurs dans la collecte et le traitement des données. Elle guide chaque étape du parcours client et du manager de transition pour faciliter leur mise en relation. Enfin, elle développe des solutions techniques et des environnements digitaux qui intègrent la protection des données personnelles et le respect de la confidentialité pour l’ensemble des utilisateurs. Cette charte résulte d’un processus de labellisation éthique avec l’Adel, une évaluation éthique afin de donner du sens, de la sécurité, de la transparence et de la confiance aux traitements des données numériques. Adequancy souhaite, grâce à ce label, rester conforme aux dispositions et aux exigences de son référentiel et de ses évolutions, en vue de respecter des engagements clairs et lisibles non seulement vis-à-vis du marché du management de transition mais aussi de ses collaborateurs. Elle sensibilise, accompagne et forme ses équipes dans l’amélioration des processus de la société.

Pour Adequancy, avoir une charte éthique signifie répondre aux attentes des clients et des managers de transition : c’est une preuve d’engagement et de qualité au service de son écosystème.

BDR France : une meilleure performance de ses process qualité grâce à une solution QSE

Chez BDR Thermea France , nous avions déjà pour habitude de gérer notre documentation de manière informatisée, en stockant nos fichiers Word sur un serveur. Pour autant, au vu de la multitude de documents disponibles, rechercher la bonne information était très compliquée et chronophage. Nous avions un réel besoin d’optimisation de notre base documentaire, mais pas uniquement. Nous étions aussi à la recherche d’un outil permettant de mettre en place des workflows pour gérer les process qualité. Plusieurs outils ont été testés et nous avons rapidement réalisé qu’il était très difficile d’obtenir un suivi satisfaisant des actions mises en place. Nous nous sommes donc mis à la recherche d’un logiciel QSE – gestion de la qualité – intégrant une GED qui nous permettrait à la fois de centraliser l’information, la tracer et l’exploiter efficacement ” , déclare Claude Fave, Directeur QSE chez BDR France (marques De Dietrich, Chappée, Oertli, Sofath).

Après avoir consulté plusieurs prestataires et échangé avec différentes entreprises sur les solutions qu’elles avaient choisies, elles, en interne, BDR France  a opté pour la société Isiware et sa solution Normea.


 Une autonomie de déploiement et d’usage

Normea a été conçu par et pour le service qualité. Son déploiement a été réalisé en interne de A à Z : cela représente un travail important en tant qu’administrateur. Évidemment, nous avons accès à des ressources dédiées très disponibles auprès des équipes d’Isiware, ce qui nous permet d’avancer rapidement. Nous travaillons dans une vraie relation de confiance ”, explique Michel Glesser, Technicien Qualité.

Sur le terrain, les équipes utilisatrices révèlent une réelle autonomie : “ Cela faisait partie de notre cahier des charges. Normea permet de créer, de gérer son administration en toute autonomie, de la création des workflows jusqu’à celle des profils sans avoir besoin de l’appui du service informatique. De plus, la plateforme est très ergonomique et d’usage intuitif pour les équipes et n’a pas nécessité de déclencher un plan de formation. Grâce aux tableaux de bord mis en place, nous sommes capables de vérifier si le logiciel est correctement utilisé et d’intervenir en fonction des besoins ”,  témoigne Alain Ferbach, Responsable Qualité Production.

Traçabilité, centralisation de l’information

Après un an d’utilisation, l’équipe Qualité de BDR Thermea France  continue de mobiliser les utilisateurs autour de Normea et de gérer son extension à tous les services. Celle-ci se déroule étape par étape, en renforçant les bonnes pratiques.

Grâce aux workflows, nous avons pu automatiser des processus complexes, en intégrant par exemple le rapport 8D – une méthode de management de la qualité complète permettant de répondre à tous types de questions et d’aider à la prise de décision – directement dans le logiciel. Chaque responsable reçoit la tâche à accomplir et reporte son activité : à la dernière étape, un rapport complet est consolidé et la problématique de départ est résolue durablement. Aujourd’hui, nous garantissons une traçabilité complète – réclamations clients, actions mises en place – et fournissons ainsi une réponse plus rapide, plus efficace et pérenne à nos clients  ”, commente Claude Fave, Directeur QSE.

La centralisation figure aussi parmi les atouts de la solution.“ À ce jour, nous avons intégré à la plateforme les 1000 documents du service qualité et avons l’intention d’en ajouter plus de 12 000 avant fin 2020. Aujourd’hui, l’information est complètement centralisée : tout est sécurisé et nous gagnons ainsi un temps précieux lorsque nous avons besoin d’une information. Par exemple dans le cas des audits, la cartographie mise en place permet de relier l’information à des normes ISO à partir de n’importe quel document ”, remarque Alain Ferbach, Responsable Qualité Production.

Une montée en charge progressive

Utilisé dans un premier temps par le service qualité, l’usage de Normea a été progressivement déployé auprès de 850 – bientôt 1300 – collaborateurs.

Le principe de tarification nous permet d’augmenter le nombre d’utilisateurs, et donc d’étendre le périmètre d’action au fur et à mesure. En passant à la nouvelle version Normea Liberty, l’usage administrateur a été considérablement facilité, notamment concernant la construction des workflows. Nous avons aussi commandé la version multi-langues qui s’adapte à la langue de l’utilisateur final. Et pour finir, nous travaillons à la mise en place de rapports KPI afin d’automatiser la génération d’indicateurs mensuels et améliorer davantage nos bonnes pratiques Qualité ”, conclut Michel Glesser, Technicien Qualité.