L’expertise de l’aérien pour optimiser la gestion des risques humains

L’aérien a développé une capacité à gérer le risque à 360° pour pouvoir faire face efficacement et rapidement à toute éventualité. Dans ce secteur, il y a notamment un rapport à l’exploitation de l’erreur humaine, toujours considérée de façon constructive puisqu’elle est un important levier pour progresser. L’approche du risque est ainsi réalisée selon deux axes. Le premier axe : le risque global ou systémique. Cette approche comprend la philosophie « just culture », la formation continue constituée de pratiques identiques à celles utilisées par les pilotes de lignes (EBT evidence base training) et une autre analyse de l’erreur qui doit être utilisée pour progresser en se basant sur la création de rapports d’incidents. Le second axe est, quant à lui, le risque actif ou latent. A ce niveau, la stratégie consiste à fournir des solutions de gestion du risque comme les check lists, les S.O.P (procédures standardisées), les acronymes, les briefings etc…
« Notre but est d’adapter nos systèmes aux organisations car le transfert de compétences est l’essence même de notre mission. Nos process ont ainsi été spécialement étudiés pour faire preuve de flexibilité en fonction des environnements ciblés. » déclare Sébastien Duflot, le fondateur d’Air Process Management (APM) à propos de l’objectif de sa société. Ainsi, celle-ci accompagne les organisations via des missions de conseil ou des conférences. Ses interventions se déroulent suivant 3 étapes. L’entretien initial (en présentiel ou en distanciel) permet de faire connaissance, d’établir des objectifs, et de définir l’ espace temps nécessaire pour la mise en place des process. APM présente aussi sa stratégie de gestion du risque humain et la philosophie globale d’entreprise prônée. Suite à cet entretien, il propose la transition sur le premier cycle qui se déroule en plusieurs phases : formation à ses modèles de sécurité, qualité et process management, audit en entreprise (risk assessment) pour diriger son intervention et finalement la mise en place du ou des process. Certaines parties peuvent être effectuées à distance. Une formation sur simulateurs de vol est aussi proposée pour la gestion de process en communication.

Puis APM s’inscrit dans une démarche de continuité et de suivi dans ce deuxième cycle. En effet, il est très important de surveiller l’adaptation des nouveaux process au système propre à chaque entreprise (monitoring). Différentes interventions sont ainsi effectuées sur des objectifs court-long terme (6 mois – 1 an) afin d’analyser, tester et ajuster les process qui auront été mis en place au préalable. Le retour d’expérience et un regard extérieur sont, en effet, essentiels à la bonne intégration des changements structurels.

Enfin, Sébastien Duflot est pilote de ligne sur Airbus A 320 chez Aer Lingus. Il travaille dans le secteur aérien depuis quasiment 10 ans, à différents postes. Il a ainsi exercé en tant qu’instructeur sur simulateur pendant 5 ans afin de former différentes personnes notamment à la gestion de situations à risques, au facteur humain et à l’interaction humain-machine-risque. Depuis deux ans, il est impliqué dans la section sécurité de sa compagnie. Il remarque à propos de la création de sa société : « Lancé en novembre dernier, Air Process Management est né du besoin de transmettre les compétences développées dans l’aérien aux entreprises françaises. Mon expérience professionnelle m’a, en effet, apporté un regard différent sur la gestion du risque et ses process. » Le lancement de ce projet qui a muri depuis longtemps, a été accéléré en raison de la pandémie de Covid 19, Sébastien Duflot ayant transformé ce challenge en opportunité.

MRJ Presse lance la nouvelle version de son site portail www.qualityandco.com, la Marketplace de la qualité et de la performance

Le portail www.qualityandco.com s’adresse aux prestataires, fabricants ou distributeurs de produits et services dans le domaine de la qualité, la sécurité ou l’environnement. Vous y trouverez tous les acteurs du marché de la certification et de la qualité (Consultants, Formateurs, Certificateurs, Editeurs de logiciels …).

Véritable Marketplace, www.qualityandco.com, rassemble au sein d’une seule et même une place de marché les fournisseurs de services et de solutions dans différents domaines : contrôle qualité, logiciels de métrologie, de gestion des processus métier, de gestion de qualité et de contrôle qualité, GED, BPM, ECM, CRM, BI, formations et certifications, accompagnement à la certification, audits de systèmes de management QSE, Diagnostic Carbone, solution Extranet ou Internet de Management de la Performance Globale, coaching, …

Rappelons que MRJ Presse privilégie une approche qualitative et concentre son offre sur des marchés « de niche », extrêmement spécialisés et à forte valeur ajoutée. Ainsi, depuis 1993, de nombreuses publications ont vu le jour dans le domaine de la maintenance industrielle, de la maintenance et des services à l’industrie et de la métrologie, des essais et de la simulation numérique.

Réforme de la formation professionnelle et Qualiopi : point d’étape avec quelques acteurs du secteur de la formation (3/5)

Dans ce contexte, comment gérez-vous ou avez-vous géré la question de la certification Qualiopi de votre organisme ? Où en êtes-vous dans votre démarche ?

Sabine Vansaingèle (Directrice STB Conseil)

La démarche est aboutie après une journée d’audit. Seules trois non conformités mineures ont dû être corrigées. Mon cabinet a obtenu la certification en juin 2020.

Florence Roudy (Directrice de Media Management)

Media-Management développe une culture qualité depuis de nombreuses années. Initialement ISO 9001 jusqu’en 2013, nous avons été ensuite certifiés par l’AFNOR (conformité formation professionnelle) au moment du Datadock. Notre certification Qualiopi a été acquise en Novembre 2019 et nous nous félicitons d’avoir été en avance sur ce sujet ! Notre prochain audit de suivi au printemps 2021 intégrera l’alternance.

Philippe Scelin (Directeur Général Groupe IRFA)

Dans notre Groupe, quelques audits ont dû être reportés après la rentrée, entre septembre et décembre 2020. Les audits sont donc en cours par structure et déjà 3 entités du groupe sont « Qualiopisées ». Qualiopi n’exclut pas nos autres démarches ISO 9001 que nous poursuivons et qui sont parfaitement complémentaires. Ces dernières, au-delà d’une « approche système de processus », nous apportent une reconnaissance auprès de nos grands comptes.

Philippe Bourdalé (Responsable Pôle Formation Professionnelle d’AFNOR CERTIFICATION)

A date, le nombre de structure certifiées et engagées auprès d’un organisme certificateur se situe autour de 10 000. Ce nombre constitue une partie réduite des acteurs concernés par la certification. La certification en 2019 et en 2020 a été principalement portée par les organismes précédemment certifiés (sur l’un des dispositifs reconnus par le CNEFOP). On note que le décret du 22 juillet, notamment le certificat à 4 ans, a eu pour effet d’accélérer l’engagement des OF vers la certification sur fin 2020, y compris de la part des nouveaux entrants.

Il convient également de noter que de très nombreux organismes ont souhaité reporter leur certification en 2021, priorisant la recherche de nouveaux clients, la pérennité de leurs structures et la digitalisation de leur offre.

Réforme de la formation professionnelle et Qualiopi : point d’étape avec quelques acteurs du secteur de la formation (5/5)

Sabine Vansaingèle (Directrice STB Conseil)

En matière de formation je veux être optimiste mais il est clair que la situation ne s’y prête guère, la crise sanitaire étant loin d’être terminée. Les problématiques spécifiques des clients notamment du secteur public, évoquées plus haut, n’arrangeant rien. Pour cela, je mise sur le regroupement de compétences avec un partenaire qui œuvre dans le champ de l’économie sociale et solidaire. Ensemble nous créons une entreprise dans le développement et l’accompagnement de formations en situation de travail. Nous souhaitons offrir un service spécifique au secteur public, à destination des agents fragilisés par une transition professionnelle. C’est aussi une aventure humaine entre des passionnés de l’accompagnement au développement des compétences, ayant des valeurs communes. Face à un marché de la formation de plus en plus contraint, des alliances de ce type seront peut-être une des réponses économiques possibles pour les organismes de formation, notamment les petits, en plus d’être particulièrement motivantes sur le plan humain.

Florence Roudy (Directrice de Media Management)

Je suis de nature optimiste et l’agilité fait partie de notre ADN …

Cependant, au-delà de nos capacités et de nos valeurs, nous ne maîtrisons pas le système et la nature vient, en quelque sorte, de nous adresser un terrible rappel à l’ordre …

Pour la première fois en 13 ans, depuis ma reprise de l’entreprise, nous aurons un CA en retrait cette année de l’ordre de 20 à 30%. Il faudra faire le dos rond et ajuster nos charges pour passer ce double cap « Réforme + Covid-19 ». Notre priorité est de rester mobilisés sur le terrain, auprès des entreprises.

Le paysage de la formation va probablement être profondément modifié. Entre ceux qui jettent l’éponge et qui vendent leur activité, ceux qui n’auront pas les reins assez solides pour faire face à la crise et ceux qui changeront de modèles économiques, le paysage va changer. Plus que jamais l’humain est au cœur des préoccupations et cela correspond parfaitement à nos valeurs : l’économie au service de l’homme et non l’inverse. Alors rendez-vous dans 1 an !

Philippe Scelin (Directeur Général Groupe IRFA)

Ma conviction est que la concentration du marché de la formation, déjà perceptible suite à la loi LCAP, conjuguée aux impacts de la crise du Covid 19 vont avoir pour conséquence d’accélérer la transformation des organismes de formation sur trois phénomènes majeurs en cours dans nos activités.

La nécessité d’accélérer l’innovation pédagogique pour offrir des formations multimodales et individualisées sur l’ensemble de notre offre de services.

La nécessité de développer des compétences dans le marketing digital pour répondre à l’orientation B to C du marché avec le CPF.

La nécessité, aussi, d’atteindre une taille significative afin de se diversifier sur les 3 segments du marché et être au «Rendez-vous» du développement de la formation, des attentes de l’économie et de la nation, la France ayant un retard majeur en matière de formation de ses actifs par rapport à ses voisins européens (Allemagne et Pays scandinaves). Ces trois impératifs, nécessiteront des capacités d’investissement supplémentaires, de faire des économies d’échelles et d’atteindre une taille significative afin de se diversifier sur les 3 segments du marché et être au «Rendez-vous» du développement de la formation, des attentes de l’économie et de la nation, la France ayant un retard majeur en matière de formation de ses actifs par rapport à ses voisins européens (Allemagne et Pays scandinaves).

Ces trois impératifs, nécessiteront des capacités d’investissement supplémentaires, de faire des économies d’échelles et d’atteindre un niveau suffisant de visibilité et de notoriété sur le territoire national sur chacun de ses segments d’offre.

Philippe Bourdalé (Responsable Pôle Formation Professionnelle d’AFNOR CERTIFICATION)

La montée en charge de la plateforme MonCompteFormation, le plan de relance et le soutien à l’apprentissage sont autant de signaux positifs et d’opportunités pour le secteur de la formation professionnelle pour les deux prochaines années. Il convient toutefois de ne pas minimiser l’impact de la Covid-19, laquelle a malmené la santé économique des acteurs de la formation, avec l’abandon, l’arrêt de certains et surtout, à venir, des convergences et regroupements de structures.

Transformation digitale : NAE co-finance 4 projets avec le soutien de la Dirrecte Normandie

Le réseau des acteurs de l’aéronautique, du spatial, de la défense et de la sécurité en Normandie, NAE, a élaboré une feuille de route dont l’objectif est d’accélérer la diffusion chez ses membres des outils numériques qui constituent un levier important de l’excellence opérationnelle. La vocation de l’action  « Edene » est d’accompagner une dizaine d’entreprises en leur permettant à la fois de se former et d’expérimenter un cas pilote en interne en bénéficiant d’un support d’experts et d’un financement de 50% jusqu’à 15 000€ HT de dépenses.

Avec le volet formation, Edene permettra aussi, d’augmenter les compétences des PME afin d’accélerer leur transformation numérique en les rendant autonomes dans le montage et la gestion d’un projet « Industrie du Futur ».

Parmi les projets déposés par les membres, quatre ont été retenus par le comité de sélection Edene pour bénéficier de ce support. Ils se différencient par leur objectif d’intégrer l’outil numérique dans un processus de transformation visant à rendre plus confortable et plus efficient le travail humain avec pour finalité l’excellence opérationnelle.

Chantreuil Mécanique : magasin d’outillages automatisé

Spécialisée dans l’usinage de pièces unitaires et petites séries depuis 30 ans, Chantreuil Mécanique dispose de 33 collaborateurs et connait une forte croissance de son chiffre d’affaires ces dernières années avec 3,4 millions d’euros réalisés en 2019. En pleine expansion malgré la crise, l’objectif de la société est d’améliorer son efficacité opérationnelle, notamment à destination de ses clients grands comptes. Avec 3000 fabrications différentes par an, 20 opérateurs pour environ 1000 références d’outils, la gestion efficiente du magasin d’outils est liée à la bonne tenue des délais. La solution logicielle retenue pour ce magasin d’outillages automatisé présente une interface tactile permettant de gérer automatiquement les commandes et d’agir de manière instantanée sur la gestion des prélèvements, des retours et des réapprovisionnements. Dans son bassin industriel, Chantreuil Mécanique sera ainsi la première PME à avoir cet outil technologique. Le coût total du projet est de 35 800 euros.

Gauthier Connectique : Gestion Electronique des Documents

Créée en 1952, la société spécialisée dans la fabrication de connecteurs et d’accessoires de connecteurs pour milieux sévères, continue sa forte croissance depuis 2011, avec un chiffre d’affaires évoluant de 1,7 millions d’euros à 4,5 millions d’euros en 2019. De plus, son effectif a plus que doublé durant cette période, avec 45 personnes actuellement. L’entreprise a récemment suivi une démarche de dématérialisation avec le but d’atteindre le zéro papier et d’assurer une démarche environnementale vertueuse, de réduire ses coûts, de croître sa productivité et de sécuriser ses informations. Après une expérimentation de gestion électronique documentaire (GED) réalisée sur le cheminement des documents achats jusqu’aux factures prestataires, Gauthier Connectique déployera la GED pour la production et la métrologie. Enfin, le coût total du projet s’élève à 16 219 euros.

Larger : armoire automatisée de gestion d’outils coupants

Crée en 1987, la société Larger est spécialisée dans la mécanique de précision. Travaillant d’abord pour l’extrusion, la pétrochimie, les moules et les réparations de machines, elle s’est orientée vers de nouveaux marchés dès 2009. En 2019, elle a effectué un chiffre d’affaires de 1 783 914 euros. L’entreprise dispose aujourd’hui d’un effectif de 18 personnes et continue une stratégie d’amélioration continue avec la gestion, le traçage, l’anticipation et la réduction des coûts et des postes les plus coûteux, notamment celui des outils coupants. 

Avec l’installation d’une armoire automatisée de gestion d’outils coupants, Larger veut répondre à une problématique prépondérante des machines outils qui disposent chacune de leur propre stock, créant des stocks insuffisants ou trop importants, des pertes, des recherches au quotidien, avec des conséquences importantes sur le temps de livraison et la satisfaction client. Le système d’armoire automatisée de gestion d’outils coupants rendra possible la centralisation et le traçage des outils, l’inventaire et l’optimisation automatisés des stocks. A terme, le but est d’étendre ce système aux moyens de contrôle. Enfin, un coût total du projet : 22 375 euros

Selha Group : Procédures Atelier en réalité augmentée

Depuis plus de 50 ans, Selha Group est spécialisé dans la conception, l’industrialisation et la fabrication de produits électroniques et de solutions de test. En 2019, le groupe a obtenu un chiffre d’affaires de 100 millions d’euros et a 900 collaborateurs répartis sur 4 sites de production en France & au Maroc. Ses activités se distinguent par une grande diversité de produits fabriqués en petites et moyennes séries, laissant ainsi peu de marge à l’automatisation. D’autant plus que ces produits à forte valeur ajoutée nécessitent également de nombreuses opérations manuelles complexes. Sur ce secteur hautement concurrentiel et international, ce ratio « main œuvre / matière » peut se révéler pénalisant et les leviers de performance sont davantage orientés sur les hommes que sur les machines. 

Ainsi, Selha Group a souhaité mettre à profit la technologie de réalité augmentée afin de transmettre les instructions de travail vers les opérateurs. Le dispositif de réalité augmentée remplacera la documentation traditionnelle (papier ou PDF) afin de rendre les instructions plus dynamiques et ainsi augmenter l’efficacité du contenu dispensé. Dans un premier temps, l’entreprise testera cette technologie au moyen d’un Proof Of Concept sur des cartes client. Le coût total du projet est de 11 000 euros.

Au-delà de l’aide directe apportée à ces entreprises, NAE pourra apporter aux entreprises de la filière des retours d’expérience supplémentaires, au travers de ces cas pilotes, afin d’accélérer leur transformation digitale.

La qualité et la certification Qualiopi

Groupe Renault et Google Cloud : partenaires pour l’industrie 4.0

Le Groupe Renault développe depuis 2016 sa propre plateforme numérique pour connecter et agréger les données industrielles de 22 sites du Groupe dans le monde (représentant 76 % de la production des véhicules) et de plus de 2 500 machines. L’objectif de ce nouveau partenariat avec Google Cloud : optimiser cette plateforme de gestion des données industrielles, qui restent la propriété du Groupe Renault.

Les solutions de Google Cloud et son expertise en smart analytics, en machine learning (ML) et en intelligence artificielle (IA), permettront au Groupe Renault d’améliorer ainsi l’efficacité de sa chaîne d’approvisionnement et de sa fabrication, la qualité de sa production, et la réduction de l’impact environnemental par des économies d’énergie.

De plus, cette collaboration facilitera la conception et le développement de nouvelles solutions qui pourraient, à terme, être utilisée à l’ensemble du secteur automobile.

Développer les compétences numériques

La formation des collaborateurs est aussi un élément primordial de ce nouveau partenariat. Ainsi, Groupe Renault et Google Cloud mettront en place un programme  évolutif consistant à renforcer les compétences des équipes ingénierie des processus, fabrication et informatiques du Groupe Renault grâce à des sessions de coworking, de formation et d’habilitation avec l’équipe Google. Ce programme vise à renforcer au sein du Groupe Renault la culture sur les données qui constitue aujourd’hui un point essentiel de la vie professionnelle quotidienne au niveau des processus opérationnels que décisionnels.

«Cette collaboration est une parfaite illustration de la stratégie digitale du Groupe Renault, appliquée ici au domaine industriel. Cet accord, et l’engagement de nos équipes en charge de l’informatique, de la production et de la gestion de la chaine logistique, vont nous permettre d’accélérer le déploiement de notre plan ‘Industrie 4.0’ conçu pour transformer et connecter nos sites de production et nos processus logistiques dans le monde entier afin d’améliorer nos standards d’excellence et de performance. Ce partenariat est aussi un atout pour les collaborateurs du Groupe qui bénéficieront d’une formation de haut niveau sur la gestion des données numériques, » affirme José Vicente de los Mozos, directeur fabrication et logistique, membre du comité exécutif du Groupe Renault.

Enfin, Thomas Kurian, PDG de Google Cloud déclare « L’innovation fait partie de l’ADN de l’industrie automobile, et la technologie numérique a tout le potentiel pour avoir un impact significatif sur la production. Nous sommes fiers de travailler en partenariat avec le Groupe Renault pour révolutionner l’avenir de la construction automobile et ouvrir la voie à une nouvelle ère d’excellence logistique. »