Finacald lève 10M$ pour son développement et la numérisation du secteur de la construction

Lancé fin 2011 par Jimmy Louchart, Joffroy Louchart et David Vauthrin, Finalcad contribue à optimiser l’efficacité opérationnelle des entreprises du secteur de la construction grâce aux outils digitaux. Pour répondre à cet enjeu, la société propose une plateforme SaaS de gestion des chantiers qui permet de digitaliser les données et les processus liés aux projets de construction. La solution permet de favoriser la collaboration et la coordination entre les différentes parties prenantes sur site et hors site, et ainsi d’optimiser la qualité des projets livrés. Parmi les clients, figure le groupe Eiffage qui vient de prolonger de plusieurs années son partenariat engagé en 2017 avec l’éditeur afin de l’accompagner dans la transformation digitale de ses chantiers.

Une levée de fonds pour renforcer les investissements et accélérer la transformation de l’entreprise

Cette levée a été réalisée par l’équipe de direction de Finalcad qui a été renforcée récemment par l’arrivée de Pascal Laik en tant que de Chief Executive Officer pour soutenir l’ambitieux programme de développement de la société.

Pascal Laik a été nommé CEO de Finalcad fin 2021. Il dispose d’une expérience de plus de 30 années acquise dans les nombreux postes à responsabilité qu’il a occupés chez des éditeurs leaders dans leur spécialité comme Oracle, Siebel Systems, Informatica et C3.AI dont il a accompagné la croissance et le développement à l’international. Son expérience importante dans le domaine du SaaS, dans la gestion, la commercialisation et la mise en œuvre de plateformes de transformation numérique acquise dans l’univers IoT, Big Data et IA sont autant d’atouts au service des objectifs d’excellence opérationnelle et de croissance des ventes que visent Finalcad.

Fort de ce nouveau financement, Finalcad consolidera les investissements et la transformation commencée il y a quelques années, dans un esprit de continuité avec les investisseurs historiques. Cette levée de fonds permettra notamment de soutenir les investissements R&D sur des sujets tels que la sécurité et l’environnement sur les chantiers ainsi que l’exploitation des données dont l’emploi de l’Intelligence Artificielle au service des équipes terrain et de management. Enfin, après avoir développé son activité en Asie du Sud-Est ces dernières années, l’éditeur continuera son déploiement à l’international, en Europe et en Afrique du Nord.

« Nous nous réjouissons de cette levée de fonds dont l’objectif est de rendre accessible à tous les professionnels de la construction une plateforme collaborative unique et personnalisable permettant de digitaliser en toute autonomie chaque étape de la vie des ouvrages, depuis le début des travaux jusqu’à leur exploitation.

Grâce à elle, nous allons renforcer notre positionnement en tant que Field Experience Platform – solution de productivité orientée terrain – afin d’apporter une meilleure réponse aux besoins quotidiens des équipes opérationnelles, et, pour leur management, en facilitant le pilotage et la gestion de la performance via l’analyse des données remontées des chantiers. Ce financement va nous permettre d’aller encore plus loin dans cette direction, en exploitant pleinement le potentiel des données BIM et les capacités offertes par l’Intelligence Artificielle. », précise Pascal Laik, CEO de Finalcad.

Jean-François Cochy, Partner chez Cathay Innovation déclare à propos de cette levée :« Grâce à sa suite technologique moderne et à ses outils numériques évolutifs et user-friendly, Finalcad est aujourd’hui un leader incontesté de la digitalisation du secteur de la construction. Finalcad fournit des solutions qui aident les professionnels du BTP à optimiser leurs opérations et leur expérience sur le terrain. Depuis notre investissement initial en 2018, nous avons accompagné le renforcement de l’équipe – ce qui s’est traduit au cours de l’année dernière par l’acquisition d’une large base d’utilisateurs de Finalcad One, tout en conservant les clients historiques avec des contrats renouvelés. Nous nous réjouissons de soutenir l’équipe dans cette prochaine phase de développement et d’expansion grâce aux atouts de notre plateforme mondiale. »

Jonathan Sibilia, Partner chez Molten Ventures conclut quant à lui sur les perspectives pour les professionnels du BTP : « Finalcad fournit une solution dont la valeur est aujourd’hui largement prouvée et reconnue. Des gains de temps significatifs ont été remontés suite aux retours d’expérience de nombreux conducteurs de travaux qui utilisent la solution depuis plusieurs mois : plus de 28 heures/mois pour chaque utilisateur ! Ces gains de temps sont déjà considérables, mais des gisements de valeur gigantesques restent à exploiter en poussant plus loin l’analyse des données chantiers. Nous sommes convaincus que cette analyse sera demain le moteur principal de la transformation digitale des entreprises de construction. »

France Luxury Shirt augmente sa productivité de 10% avec Perform’Industrie

« Nous avions une façon de travailler à l’ancienne, très peu collaborative, avec des difficultés de suivi », témoigne Diego du Réau, président de France Luxury Shirt. Le dirigeant d’entreprise fait le bilan de son accompagnement dans cette opération et les résultats obtenus en termes de productivité.

Grâce au programme Perform’Industrie Centre-Val de Loire, la société de fabrication de chemises de luxe située à Villemandeur depuis 1838 a pu se réorganiser afin de maintenir sa compétitivité face à la concurrence internationale, et notamment face à des pays à faible coût de main d’œuvre. L’entreprise, entre artisanat et industrie, doit être rester concurrentielle dans tous les cas de production (petite ou plus grande série). Pour faire face à ces problématiques, la CCI a orienté l’entreprise vers le Cetim et le programme Perform’Industrie Centre-Val de Loire.

Afin d’accompagner FLS dans la réorganisation de l’atelier, une matrice de polyvalence a été créée et des formations internes ont été organisées pour faire progresser les salariés. Pour cet accompagnement, le cabinet conseil Toptech a été sollicité. L’entreprise a donc modifié ses méthodes de travail , peu collaboratives et a trouvé des solutions face à ses difficultés par le suivi de ses activités. « Jusque-là, nous travaillions à posteriori et non pas en anticipation », remarque Diego du Réau. Il a ainsi donné une nouvelle orientation à la société avec un objectif de transformation à 5 ans.

« Perform’Industrie a permis à la direction de gagner en sérénité grâce à des outils fiables utilisés par l’encadrement et les équipes pour des remontées d’informations, pour le suivi de la qualité et aussi pour les tenues des plannings pour les clients. Le travail est mieux organisé, plus fluide et plus serein. La prochaine étape sera l’utilisation d’outils numériques au poste de travail pour permettre à chacun de disposer en temps réel de son suivi d’activité, des méthodes et des outils dont il a besoin. » note le président.

Le programme Perform’Industrie Centre-Val de Loire vise à accompagner les entreprises de la région dans l’amélioration de leur performance industrielle et de leur compétitivité. Son ambition est aussi d’aider les industriels à rebondir immédiatement et durablement dans le contexte actuel au travers de parcours d’accompagnement spécifiques.

L’Etat et la Région ont confié au Cetim le pilotage du Consortium du programme qui regroupe l’Aract, Bpifrance, le Réseau Consulaire, le Club Industrie du Futur, le Cresitt, DEV’UP, France Chimie Centre-Val de Loire, Polyvia, Numeum, le Pôle Formation UIMM – Afpi Centre-Val de Loire, l’UIMM Centre-Val de Loire et l’UIMM Loiret-Touraine. 180 sociétés (TPE/PME/ETI) devraient être accompagnées d’ici fin 2022 afin d’améliorer leur transformation, mutation, projection vers le futur.

Le collectif Confiance.ai collabore avec Eurocae

Les acteurs du programme Confiance.ai souhaitent de créer un environnement technique afin d’assurer un haut niveau de confiance dans les services et systèmes critiques à base d’Intelligence Artificielle (IA). Le but de la collaboration entre le collectif et Eurocae est d’échanger des informations générales et techniques, de partager des expertises et de donner à terme des recommandations communes. L’environnement de confiance sera créé afin de répondre aux standards européens les plus avancés sur le sujet, soutenus par le secteur de l’aéronautique.
De plus, les travaux effectués dans le cadre du développement de l’environnement de confiance pourront enrichir et guider le développement de ces futurs standards qui apparaitront pour les systèmes basés sur l’intelligence artificielle, notamment en termes de méthodologie ou de métrologie de la performance.
Ce volet sur l’application et l’émergence des nouveaux standards est abordé dans le cadre des projets « Stratégies d’intégration, vérification, validation et qualification des systèmes en vue de la confiance » et « Processus et Méthodologie pour la Confiance» du programme. Cette conformité aux standards présentera la garantie de la portée industrielle des développements de l’environnement de confiance.
« A la pointe en matière de standardisation, l’aéronautique est l’un des secteurs clés adressés par le collectif Confiance.ai. Nous sommes heureux de la mise en place de ce partenariat avec Eurocae, vertueux de part et d’autre, sur le sujet de la standardisation de l’intégration de l’IA dans les systèmes », déclare Paul Labrogère, Directeur Général de IRT SystemX, pilote du programme Confiance.ai et signataire du partenariat avec Eurocae.
« Confiance.ai a très bien compris ce que peut apporter l’intelligence artificielle à l’industrie et a choisi de se concentrer en particulier sur les systèmes critiques. Le partenariat d’Eurocae avec Confiance.ai permettra de développer l’expertise et le savoir-faire nécessaires au processus de normalisation d’ Eurocae afin de permettre une intégration fiable dans les systèmes de sécurité critiques de l’aviation », affirme Christian Schleifer, Directeur général d’Eurocae.
Enfin, ce partenariat avec un organisme-clé de la standardisation en Europe est le premier signé par le collectif Confiance.ai qui entend poursuivre dans ce sens en liant des collaborations avec des organismes équivalents dans le domaine du véhicule autonome, de l’énergie, de la défense, etc.

Exakis Nelite : lauréat du Plan France Relance pour le projet « Data Lake for Nuclear »

Appliquer les techniques de l’Intelligence Artificielle au profit de la qualité et de la performance des réalisations nucléaires : voici l’objectif du projet Data Lake for Nuclear (D4N) soutenu par EDF et le syndicat professionnel de l’industrie nucléaire française Gifen. Son ambition est de réunir les données dormantes pour leur valorisation dans l’entrainement d’algorithmes. Exakis Nelite, filiale de l’ETI française Magellan Partnersse mobilise pour la création de cette plateforme d’échange de données et d’entrainement des algorithmes dans le respect des exigences de sécurité et d’anonymisation associées au monde du nucléaire.

« Ce projet permet aux équipes d’Exakis Nelite de mettre en œuvre une architecture cloud mutualisée et sécurisée au service des besoins de digitalisation de la filière du nucléaire française » déclare Didier Zeitoun, Président d’Exakis Nelite.

Azure représentera aussi un socle technologique permettant de bénéficier des nombreuses particularités de la plateforme dans les domaines de la Data, de l’IA, de la gouvernance et de la sécurité. Les verrous à lever concerneront l’utilisation d’un chiffrement homomorphe pour les données, le cloisonnement et l’étanchéité des environnements d’intelligence artificielle ainsi que la conception d’un Data Lake capable d’adresser l’hétérogénéité des données.

Enfin, une fois déployé, ce projet deviendra un réel accélérateur mais aussi un incubateur pour l’ensemble des projets de la filière.

LRQA : une nouvelle image de marque tournée vers la transition numérique de ses marchés certification et inspection



« Notre nouvelle identité reflète avec fierté nos origines et notre expertise internationale, nous sommes identifiés et connus par nos clients avec une notoriété de marque forte grâce à LRQA. Il était donc évident de garder cette marque tout en y apportant de la modernité. Avec cette nouvelle identité, nous nous concentrons sur l’avenir dans un paysage en constante mutation des risques auxquels nos clients sont confrontés et sur la transformation rapide de l’assurance elle-même, sous l’impulsion des nouvelles technologies et de la Data » déclare Paul Butcher, PDG du Groupe LRQA. En regroupant sous la marque LRQA des compétences en matière de certification, de cybersécurité, d’inspection et de formation, les équipes du groupe fourniront des solutions personnalisées répondant à des marchés et des clients en évolution rapide avec l’objectif de mener à bien ces prochaines années la transformation digitale du secteur des services en charge de la gestion des risques.
Paul Butcher précise : «  La transition numérique est une réelle opportunité pour nos marchés. Elle nous permet d’offrir des services d’assurance plus efficaces, sans compromis sur la qualité ; l’analyse des données transforme la façon dont nous concevons et abordons les programmes de gestion des risques ; et la capacité d’assurer les actifs numériques et physiques est désormais essentielle à la résilience et à la performance des entreprises. C’est pourquoi nous pensons que la période est propice à LRQA. Notre expertise technique est largement respectée et reconnue, nous avons une envergure mondiale et un large portefeuille de services. Nous avons prouvé notre capacité à nous adapter et grâce à Nettitude, nous offrons une expertise exceptionnelle en matière de cybersécurité.« 
Jeannie Ivanov, directrice marketing du Groupe LRQA , remarque, quant à elle : « Nous sommes ravis d’apporter une nouvelle identité à notre marché. Qu’il s’agisse d’aider nos clients à identifier et à réduire les risques de manière proactive, à relever le défi de la création d’activités plus durables. Ou encore d’aider à libérer le potentiel de la « Data » et de la technologie ; et pour rendre les chaînes d’approvisionnement plus transparentes. LRQA se tourne vers l’avenir. » Elle ajoute : « Nous avons créé la marque LRQA avec un état d’esprit « digital first » – reflétant notre engagement à ouvrir la voie du secteur en tant qu’acteur du marché des services de gestion des risques et à utiliser la technologie pour renforcer les partenariats avec nos clients dans un monde en évolution rapide – où qu’ils opèrent et quoi qu’ils fassent.« 
Enfin, Lloyd’s Register a annoncé la vente de sa division Business Assurance & Inspection Services, y compris l’entreprise de cyber-sécurité Nettitude, à Goldman Sachs Asset Management en juillet 2021. La transaction devrait être finalisée fin 2021, après l’obtention des autorisations antitrust et réglementaires.

Une nouvelle étape dans l’histoire de LRQA

« Nos clients sont confrontés à un environnement opérationnel de plus en plus complexe. Cette transaction apportera l’attention et l’investissement supplémentaires dont nous avons besoin pour atteindre notre objectif : devenir le principal fournisseur de services de certification numériques. Les ressources apportées par cette nouvelle structure contribueront au développement de services de pointe en matière de certification, d’inspection et de cybersécurité en répondant aux besoins de nos clients à travers le monde. » déclare Paul Butcher, le Directeur Général de LRQA.


LRQA assure la transformation numérique de ses marchés grâce à ses nombreux atouts, notamment son expertise technique approfondie, son échelle mondiale, sa capacité à s’orienter vers la technologie et développer ses compétences en la matière, son expertise en cybersécurité et une large gamme de services.

Grâce à de nouveaux investissements, LRQA continuera à développer son portefeuille de services et à les faire évoluer selon les besoins de ses clients concernant la certification, l’inspection et la cybersécurité. En répondant à ces besoins, il pourra ainsi établir des forts partenariats avec des clients dans des secteurs, des lieux et des segments clés où les risques sont en constante évolution.

Le nouveau propriétaire et la nouvelle structure favoriseront la croissance de LRQA. Goldman Sachs Asset Management appuyera ainsi la société dans son développement et dans l’amélioration de ses capacités. Il connait de manière approfondie des secteurs dans lesquels intervient LRQA et dispose d’une forte expérience dans le soutien aux équipes de gestion afin de stimuler leur performance.

Idea et Fives unis pour l’excellence logistique

Avant de travailler avec Fives, Idea travaillait avec la filiale Fives ECL. Depuis 2013, la relation partenariale s’est élargie avec d’autres filiales du Groupe situées dans le nord de la France. En 2020, l’industriel a opté pour des choix stratégiques comme la création d’un hub logistique. Ce centre de services in situ est consacré aux nouveaux projets industriels et aux pièces de rechange pour 4 marchés principaux : la transformation de l’aluminium et de l’acier, les cimenteries et les sucreries.
Rodrigue Bammez, Responsable d’exploitation et chargé d’affaires chez Idea, déclare : « L’enjeu pour Idea est d’accompagner Fives – implanté dans plus de 30 pays – à standardiser ses pratiques et atteindre l’excellence opérationnelle. Pour cela, nous déployons une logistique globale in situ. Les prestations impliquent la mise en place de solutions innovantes et digitales afin d’obtenir rapidement une plateforme performante et à la hauteur des ambitions de l’entreprise internationale.»

Mise en place des outils digitaux

Des solutions numériques ont été mobilisées pour assurer la performance du hub Fives : captation des données sur le terrain, gestion des affrètements, enlèvement de marchandises, ordonnancement automatique des missions, tracking du flux et des opérations logistiques. Julien Osmont, Group Supply Chain Manager chez Fives, note à ce propos : « Ce sont les qualités reconnues d’Idea – en tant que logisticien et emballeur utilisant des outils digitaux performants – qui ont guidé notre choix final pour la gestion de notre plateforme hub. Malgré une phase de transition toujours délicate dans ce genre de projet, l’activité a été maintenue. Nous travaillons ensemble à la mise en place de solutions pour accompagner notre croissance et améliorer notre logistique globale, notamment pour le contrôle réception, le tracking des non-conformités et le calcul OTD. »

Vers une logistique 4.0

Depuis un an, Idea suit Fives dans une mutation de sa logistique, en fournissant une digitalisation et une standardisation des process. En améliorant la performance globale des activités, il accompagne la croissance de l’industriel, tout en développant le savoir-faire de ses opérateurs. Rodrigue Bammez remarque : « Ce nouveau périmètre d’intervention chez Fives a permis aux équipes de monter en compétences et d’opérer en logistique globale. Elles ont été formées aux outils digitaux et sont désormais plus polyvalentes. Nos opérateurs y voient de vraies perspectives d’évolution de leur métier. »

Afin de garantir un démarrage de qualité, une task force déploie un processus robuste permettant d’assurer une prestation efficace, avec un management de transition adapté. Ainsi, dès le premier jour sur site, des outils numériques ont pu être déployés et assurer le monitoring d’activité afin de répondre aux enjeux du client. Enfin, les équipes de Fives et d’Idea continuent à travailler ensemble afin de mettre en place de nouvelles solutions techniques et technologiques visant à améliorer la performance de la supply-chain.

Digitalisation de l’Excellence Opérationnelle

Colissimo, ambassadeur du colis réutilisable

Dans ce cadre, Colissimo noue un partenariat avec Hipli, une start-up novatrice, conceptrice d’emballages réutilisables (plus de cent fois), éco-conçus à partir de polypropylène, plastique recyclable et sélectionné pour sa grande résistance. Nettoyés et reconditionnés par Hipli avant chaque nouvelle mise en circulation, ils permettent de diminuer les émissions carbone jusqu’à 83% par rapport à un emballage jetable. Léa Got et Anne-Sophie Raoult, Co-fondatrices de Hipli, déclarent : “ Le colis est le premier contact physique d’un client avec l’achat effectué sur internet. La bonne nouvelle est qu’un colis réutilisable est un moyen efficace de prouver l’engagement d’une marque pour la planète.” Le but de ce partenariat a pour objectif de soutenir le développement des emballages réutilisables sur le marché du e-commerce. En outre, Colissimo accompagne ses clients e-commerçants afin de les aider à optimiser la préparation de colis. .

Ce partenariat permet de placer la puissance de Colissimo au service du développement de Hipli qui apporte son expertise et son agilité dans le domaine de l’emballage réutilisable. Il est constitué de 3 volets : la commercialisation avec une remise promotionnelle sur la première commande pour les e-commerçants clients de Colissimo proposant l’emballage réutilisable Hipli, la communication par l’apposition de la marque La Poste-Colissimo sur les emballages Hipli et l’innovation afin de continuer d’améliorer les produits et processus, et développer de nouvelles solutions pour répondre aux besoins émergeants des clients. La vocation du partenariat entre Colissimo et Hipli est donc d’innover et d’élargir les usages de l’emballage réutilisable et à d’autres acteurs de l’emballage réutilisable et à des e-commerçants.

En outre, Colissimo souhaite créer et normer un « label » pour les emballages en collaborant avec l’Afnor au travers d’une Afnor spec. La Poste a, en effet, choisi de créer un « label » La Poste dédié aux emballages. Délivré à l’issue de tests effectués par les équipes techniques et RSE de La Poste, il suivra plusieurs critères. Des critères seront environnementaux et sociétaux : l’origine des matières premières utilisées, le suivi du nombre de réutilisations, son cycle de vie du traitement à l’aller et jusqu’à son retour à vide. D’autres critères techniques concerneront la robustesse de l’emballage, la traçabilité… Ce label garantira la performance technique et environnementale de l’emballage. Il sera lancé courant 2022 et fera l’objet d’une normalisation avec l’Afnor.

Chantal Dagnaud élue au Conseil d’Administration de la Fédération Internationale des Ingénieurs Conseils

Première femme ingénieure française à avoir eu le certificat du programme des Futures Leaders de Fidic en 2020, et après avoir participé pendant deux ans au groupe de travail Diversité et Inclusion de Fidic, Chantal Dagnaud rejoint le Conseil d’Administration de la fédération internationale de l’ingénierie, qui regroupe 104 pays à travers le monde. Élue par ses pairs, l’entrepreure s’est fixée comme missions de trouver des solutions concrètes aux défis du changement climatique, des nouvelles technologies et du big data, l’évolution de la médiation et l’arbitrage, mais également de lean engineering et des techniques qui doivent permettre de diminuer les coûts et augmenter la qualité.
« Je suis ravie et honorée d’avoir été élue au Board de Fidic. Durant mon mandat, je veillerai à développer des réglementations à même de faire émerger des modèles de croissances plus durables, à établir des passerelles avec les autres organisations internationales (comme la Banque Mondiale) et à mettre au coeur de la gouvernance de Fidic les enjeux de qualité, intégrité et durabilité. Les sujets liés à la gouvernance des entreprises, l’inclusion et à la diversité me tiennent particulièrement à coeur et je m’attacherai également à en faire des vecteurs de performance pour les entreprises. » déclare Chantal Dagnaud, nouvelle membre du Board de Fidic.

Chantal Dagnaud, 46 ans, est une entrepreneure internationale, propriétaire de plusieurs entreprises et juriste en droit public européen. Diplômée en droit public européen puis en Sciences Politiques en Géopolitique et Relations Diplomatiques Internationales et titulaire d’un LLB en droit civil anglais de l’Université de Kent (UK), elle a débuté sa carrière dans un cabinet de lobbying et affaires publiques et y a travaillé pendant 11 ans. Son expérience l’a permis de se spécialiser en gestion de projets internationaux, montage de cofinancement publics-privés, subventions européennes, et lobbying. Elle dirige aujourd’hui deux entreprises « Institutions & Stratégies » et « D&A Partners », cabinets de conseil spécialisés en affaires publiques, ingénierie de projets européens et internationaux et conseil en stratégie.