Traiter efficacement les dysfonctionnements et lutter contre leur récurrence
Constat… classique :
Que ce soit à l’occasion des audits, lors des revues des réclamations clients, des anomalies internes ou dans les compte rendus d’essais de validation, un (trop) grand nombre d’événements “indésirables” est identifié de manière récurrente ; les effets en sont bien connus :
1. Il faut revenir sur l’ouvrage.
2. Que de gaspillage de temps et d’argent à réinventer la poudre !
3. Et la motivation dans tout cela !
C’est que, bien sàûr, à chaque fois, on croit trouver la solution au problème…Et, comble de l’ironie, comme on connaît le problème, on la connaît, la solution !
Les causes de cet écueil sont simples :
– pas de hiérarchisation rigoureuse des dysfonctionnements (étendue des effets) ;
– pas de temps passé à chercher les causes profondes de la manifestation des écarts à traiter, quand ce n’est pas le court-circuitage pur et simple de cette phase…
– pas de vrai travail d’équipe (choix des acteurs réellement impliqués dans la résolution) ;
– pas de logique, sans oser parler de méthode dans l’enchaînement des actions ;
– pas d’interrogations sur la non-détection des dysfonctionnements ;
– pas de validation des actions entreprises ;
– pas de mesure d’efficacité de ces actions ;
– pas de mesure d’ordre préventif pour empêcher que ces événements ne se reproduisent…
Bref, la réunion de tout ou partie de ces éléments de diagnostic – il y a du “vécu” dans ce propos (n’est-ce pas ?) – n’est autre que la démonstration que le traitement des problèmes ne fait pas partie du “QUOTIDIEN QUALITÉ”.
Pour avoir, donc, été confronté à ces “stigmates” de la qualité, QUALITESSOR s’est, entre autres spécialités, fait sienne la volonté d’entraîner les équipes motivées à TUER les problèmes :
– avec des méthodes simples et éprouvées – généralement connues ! – mais dont seule la combinaison logique en garantit le résultat ; d’“inspiration” automobile, leur mise en œuvre a été validée dans le cadre d’audits de certification ;
– axée essentiellement sur la recherche des causes des dysfonctionnements et sur la mesure de l’efficacité des actions correctives, la démarche a pour avantage d’être adaptable à tout type d’écart, qu’il affecte le système de management, les processus, les produits ou les services.
Et pourtant, ce n’est pas par manque d’“arsenal” normatif que l’on ne traite pas les problèmes AU FOND dans les entreprises (citons la série des normes ISO 9000:2000 bien sàûr, mais aussi ISO/TS 16949, ISO/CEI 17025…).
C’est que ces normes, c’est bien beau pour édicter des objectifs, mais pour le choix des moyens on est parfois désarmé !
Alors, envie de tuer les problèmes ?
Une nouvelle identité et une ambition affirmée : Neovacom devient Docoon.immo
Docoon.immo : une expertise consolidée dans l’immobilier et le bâtiment Depuis plus de 10 ans, Neovacom propose des solutions d’interopérabilité et de dématérialisation dédiées aux bailleurs sociaux et aux collectivités. Son intégration au groupe Docoon en 2024 a donné lieu à une fusion partielle des équipes et à la création de synergies technologiques. Le changement […]
65e Congrès Européen de la Qualité à Reims : un rendez-vous empreint de transformation, de performance et d’innovation
Une table ronde de leaders inédite L’un des moments les plus marquants de cet événement a été la table ronde inédite réunissant les leaders des principales organisations de qualité à travers le monde. Ce moment d’échange de haut niveau a permis de partager des perspectives novatrices et d’explorer les dynamiques globales de la qualité. Les […]
Un référentiel pour mesurer et réduire l’impact environnemental de l’IA
Les systèmes d’IA consomment de l’énergie et des ressources. Cependant, viser une consommation minimale peut entraîner un effet rebond : une IA plus efficiente devient moins coûteuse et plus facile à intégrer, augmentant ainsi son utilisation et son impact environnemental. L’AFNOR Spec 2314 traite de ces problématiques et propose des solutions pour promouvoir une IA […]