Baromètres Wavestone : RSE et impact écologique pour l’industrie 4.0
Le baromètre RSE de Wavestone réalisé avec la avec le C3D révèle que la Direction RSE est désormais rattachée à la Direction Générale pour 55% des répondants, tandis que 78% d’entre eux en ont fait un membre permanent de leur Comex. Pour autant, l’étude indique certains freins, notamment liés à un manque de maîtrise des indicateurs de performance extra-financière, qui démontrent la nécessité de s’équiper d’outils adaptés.
Le climat (91%), la diversité et l’inclusion (89%), et la qualité de vie et santé autravail (88%) figurent parmi les 3 priorités des entreprises en matière de RSE. La maîtrise des indicateurs RSE demeure faible et 55% des entreprises considèrent ne pas avoir d’outil de reporting adaptés. Seuls 31% des répondants sont dotés d’indicateurs matures, définis globalement et déclinés localement. Si la sensibilisation des collaborateurs augmente fortement pour 88% des répondants, l’étude révèle le manque de portage actuel des enjeux RSE par la chaîne managériale. Pour 35% des entreprises, la ligne managériale diffuse la politique RSE dans l’entreprise. Les budgets consacrés à la RSE demeurent limités : 72% des entreprises ont un budget inférieur à 2M€. Enfin, 20% des entreprises ont mis en place une équipe dédiée supérieure à 20 ETP (équivalents temps plein).
L’impact écologique intègre le top 3 des enjeux de la démarche Industrie 4.0
Dans la continuité des 3 précédentes éditions du baromètre sur l’industrie 4.0, 98 % des sociétés interrogées ont déclaré avoir lancé ou mis en route des initiatives Industrie 4.0. Néanmoins, les défis auxquels répondent ces actions évoluent de façon significative : l’impact écologique se place désormais à la troisième place du classement, avec 15% des répondants. La notion de performance énergétique en particulier apparait comme une nécessité et se révèle la thématique la plus explorée.
Pour accompagner ce changement, les projets de renouvellement et de modernisation des SI d’exploitation représentent un levier important.
En effet, outre l’amélioration de la productivité, de la qualité et de la traçabilité que peuvent fournir ces outils, ils permettent aussi de mesurer et d’apporter de la visibilité sur les ressources énergétiques consommées, les matières premières employées, ou encore de détecter et corriger les défauts afin d’éviter le gaspillage.
Si l’industrie 4.0 propose des solutions pour une industrie plus verte, elle présente aussi des problèmes. En effet, Les technologies digitales émettent 1,5 Milliard de tonnes de gaz à effet de serre (GES) et représentent 4% des émissions mondiales. Ce chiffre croit de 8% par an, c’est-à-dire qu’il double en 10 ans. La prise de conscience sur l’urgence environnementale est réelle puisque +90% des répondants ont commencé une réflexion autour de leur transition environnementale. Néanmoins, les projets peinent à se mettre en place avec seulement 30% des entreprises industrielles qui ont déclenché leur plan d’actions en la matière.
Le manque de temps (60%) et le manque de budget (50%) sont les deux premiers freins identifiés par les répondants.
Vers une industrie 4.0 plus verte
Afin d’accélérer cette transition durable, le marché doit réaliser un véritable changement de paradigme afin de passer à une logique d’écosystème et de mutualisation des efforts. Cela constitue un changement profond des logiques industrielles. Si la résilience locale va devenir un véritable enjeu, comme l’ont récemment démontré les crises successives, seuls 28% des répondants déclarent participer activement à échanges sur ce thème. L’émergence à temps d’une industrie 4.0 qui dépasserait les buts strictement financiers afin de considérer les attentes écologiques et sociétales doit être perçue comme un défi collectif, qui prime sur les intérêts particuliers.
Une transformation durable qui peine à se concrétiser
« L’édition 2022 du baromètre met en lumière une exigence croissante sur l’impact écologique et par conséquent sur la résilience des schémas directeurs industriels. Elle se traduit par la prise en compte des enjeux de durabilité dans les programmes industriels 4.0. Toutefois, si la prise de conscience est là, de gros efforts et des approches pragmatiques sont nécessaires. L’accélération est indispensable, la digitalisation en est un moyen. » affirme Olivier Fontanille, Directeur chez Wavestone.
« Dans ce contexte sensible où les industriels sont soumis à d’innombrables défis externes et internes, le fait de se former, s’informer et s’équiper avec des technologies de l’industrie du futur, apparait comme une nécessité de premier plan pour garantir la durabilité de leur activité. » poursuit Teodora ENE, Manager Relations Corporate chez Bpifrance Le Hub.
« L’édition 2022 du « baromètre de l’industrie 4.0 » illustre la nécessité, pour les PMI et ETI qui constituent 90% de l’industrie française, d’accélérer encore leur transformation. C’est en s’engageant résolument vers l’industrie du futur (intégration des nouvelles technologies, digitalisation, gestion intelligente des données) que nous saurons répondre aux enjeux de résilience et de transition énergétique par la réindustrialisation. » conclut Vincent Moulin Wright, Directeur général de France Industrie.
FFB : zoom sur le métier de Responsable Qualité Sécurité Environnement
La nouvelle étude Tork permet aux industriels de mesurer l’impact d’un emplacement de produits de nettoyage inefficace
Cette étude de Tork révèle aussi que ces opérateurs prennent souvent plus d’essuie-mains en papier que nécessaire afin d’éviter de s’interrompre. Pour aider les sociétés à lutter contre des pratiques qui peuvent perturber l’efficacité opérationnelle en entraînant des déplacements supplémentaires, la constitution de stocks inutiles et une surconsommation de produits, Tork propose le calculateur de mouvements inutiles gratuit. Avec cet outil, il est posssible d’identifier le meilleur placement possible afin de positionner des distributeurs dans les environnements industriels. Ainsi, les distributeurs d’essuie-mains mal positionnés peuvent facilement être identifiés et déplacés à un endroit plus adapté.
Accéder aux distributeurs d’essuie-mains pour réduire la surconsommation et favoriser la productivité, un principe du Lean Manufacturing
L’étude montre notamment que 44 % des opérateurs doivent arrêter leurs tâches au moins 20 fois pendant leur journée de travail car ils doivent aller chercher ou jeter des essuie-mains. Par ailleurs, 74 % d’entre eux prennent de plus de papier que nécessaire afin de ne pas avoir à se déplacer à plusieurs reprises. De plus, 69 % disent se sentir stressés s’ils sont interrompus dans leur activité alors qu’ils ont déjà une charge de travail importante. Enfin, 90 % des opérateurs déclarent que le fait de disposer d’un distributeur d’essuie-mains à proximité contribue à une meilleure organisation de leur poste de travail et à leur satisfaction professionnelle.
Le système de distribution Tork Performance conçu pour s’adapter à toutes les activités
Face à cette situation, la solution présentée par Tork consiste à installer des distributeurs d’essuie-mains au niveau des postes de travail des opérateurs afin qu’ils n’aient pas à bouger. Cependant, comme les sites industriels ne sont pas semblables, il peut être compliqué de trouver une solution duplicable dans chaque société. Pour cette raison, les distributeurs Tork Performance ont été créés avec une gamme d’options de montages uniques et flexibles, permettant de les placer là où ils sont indispensables et donc à portée de main de l’opérateur. Ainsi, ce concept élimine efficacement la cause première de gaspillage dévoilée par l’étude.
« Grâce à notre compréhension des entreprises industrielles, nous sommes en mesure non seulement de les aider à identifier de nouvelles sources de gaspillage, mais aussi de leur fournir une solution adaptée. Nos solutions et produits innovants peuvent les aider dans leur processus d’amélioration continue en réduisant les déchets causés par les déplacements et la gestion des stocks », affirme Sébastien Daleyden, Responsable des ventes Secteur Industrie Essity Professional Hygiène.
Un nouvel outil facile à utiliser pour diminuer les déchets
Enfin, Tork a créé un nouvel outil facile à utiliser : le calculateur de mouvements inutiles. Avec cet outil en ligne, il est possible de se faire une idée rapide de l’impact réel de l’emplacement des distributeurs sur le travail quotidien des employés.
Assa Abloy investit pour valoriser le savoir-faire industriel français
Longué-Jumelles figure parmi les quatre sites du groupe Assa Abloy en France. Assa Abloy s’attache aussi à faire vivre ce site historique du tissu industriel français, en valorisant le savoir-faire de cette usine spécialisée dans la fabrication de produits de quincaillerie architecturale : poignées et butées de portes, poignées de fenêtre, patères, protection sur sols et murs, mains courantes, etc. Autre caractéristique distinctif, sa fonderie de zamak, l’une des plus grandes en France : cet alliage de zinc et d’aluminium permet de fabriquer des composants techniques et des pièces à la fois de qualité et esthétiques. En outre, le site est triplement certifié Iso : 9001 pour le management de la qualité, 14001 pour le management environnemental et 50001 pour le management de l’énergie.
L’usine produit déjà pour plusieurs marques du groupe Assa Abloy dont Vachette et JPM. Mais Assa Abloy ambitionne de faire de Longué-Jumelles un centre d’excellence pour la quincaillerie architecturale, au sein de la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique), à travers la R&D et la Fabrication. Le groupe s’est aussi engagé à relocaliser la production de ses composants zamak en France et devrait ainsi contribuer à la pérennisation des emplois. Devenir centre d’excellence permettra de faire rayonner le savoir-faire du site auprès des autres entités à l’étranger.
Avec un volume de production de 1 600 tonnes de zamak par an en 2021, la fonderie présente une réserve capacitaire qui permet de produire à des prix très compétitifs. Pouvant travailler tous les types de composants zamak qui sont actuellement achetés au niveau externe, la fonderie a vocation à fournir toutes les entités du groupe en France ainsi qu’en Finlande, en Suède et en Angleterre.
Pour atteindre ses objectifs, Assa Abloy est en train d’investir dans un centre d’usinage afin d’augmenter sa productivité, ainsi que dans de l’outillage avec notamment la création de nouveaux moules. Par ailleurs, soucieux des conditions de travail de ses salariés, 250 personnes dont 150 en production, le groupe a prévu de développer des moyens ergonomiques afin d’intégrer la charge.
Dans le cadre de la montée en compétence voulue pour la création de ce centre d’excellence, Assa Abloy qui investit chaque année 800 000 euros pour la modernisation de son site de Longué-Jumelles, a décidé un plan d’investissement plus important d’un montant total de 1 247 000 d’euros. Débuté en 2022, ce plan continuera sur 2023.
Pour récolter les fonds nécessaires à la réalisation de ce projet, le dossier a été soumis au plan France Relance, dont la vocation est d’accélérer les transformations écologique, industrielle et sociale du pays. Ce plan de relance déployé par les pouvoirs publics vise notamment à faire de l’industrie française un pilier de la relance économique, à soutenir sa transformation et sa modernisation. En raison de sa forte valeur ajoutée pour le territoire français, ce projet de
relocalisation a été choisi, et sera soutenu à hauteur de 50 % soit 623 500 €. Cette stratégie de relocalisation engagée par Assa Abloy fait écho aux ambitions du plan France Relance avec un intérêt commun, faire rayonner le savoir-faire industriel français.
Douane française : la Qualité en action
PYX4, France Qualité, le Mouvement Québécois pour la Qualité, France Processus et le Baromètre de la Performance des Organisations
Trois principaux enseignements Une démarche Qualité en plein essor bénéficie du soutien accru des Directions et de la reconnaissance des autres services. Les partenaires le ressentaient depuis plusieurs années, le baromètre le confirme de manière nette : la démarche Qualité connaît un véritable décollage. Sa valeur ajoutée est désormais plus largement reconnue. Les difficultés d’interaction avec la Direction, longtemps invoquées par les professionnels de la Qualité ont pratiquement disparu : en 2018, 31 % des répondants souffraient d’un manque de soutien de leur Direction dans la mise en place de leur démarche Qualité contre seulement 7 % aujourd’hui. Désormais, les services Qualité et leur Direction privilégient la co-construction (47 %), et la concertation (27 %), renforçant ainsi la crédibilité des approches et l’attrait pour la qualité. Au sein des organisations, tous métiers confondus, en 2018, 75 % des interrogés considéraient la qualité comme au mieux « un mal nécessaire ». Aujourd’hui, 73 % jugent la démarche comme « essentielle à l’efficience de l’organisation » ou un « vecteur de progrès significatif ». Cependant, le premier frein à la mise en place d’une démarche Qualité demeure le manque d’implication des parties prenantes (19 %). 33 % des organisations interrogées prévoient une augmentation de l’effectif de leur service Qualité en 2022 tandis que 62 % envisagent de le stabiliser. Aujourd’hui, ces services comptent à 45 % moins de 3 personnes, à 33 % plus de 5 personnes. Le périmètre couvert par la démarche Qualité augmente : la certification n’est plus la priorité, la maîtrise des risques gagne en importance. La certification n’est d’ailleurs plus considérée comme la finalité de la fonction, elle ne se place qu’au 5ème rang des objectifs poursuivis, devancée par cette maîtrise des risques qui arrive à la 4ème place. En 2022, 93 % des organisations sondées ont mis en place une démarche de gestion des risques, à un niveau de robustesse des processus qui reste toutefois encore relativement faible (niveau 1/5 dans 35 % des cas). Cette ouverture sur la gestion des risques permet de toucher à différents domaines : hygiène, environnement, santé, sécurité au travail… La pandémie aura permis de découvrir ou redécouvrir des outils et méthodes Qualité, qui se sont révélés particulièrement adaptés à la situation. Le lien entre la qualité et la performance est aussi beaucoup plus affirmé. Partout, la qualité touche à l’excellence opérationnelle. De fait, la notion de management de systèmes de plus en plus intégrés est prégnante. En 2022, 28 % des organisations mesurent la performance de manière formalisée et globale afin de piloter les processus, les produits / services et la satisfaction client. Mais encore 30 % d’elles mesurent cette performance de façon formalisée et limitée aux indicateurs critiques (ventes, finances…). En outre, le premier enjeu de demain lié à la performance est de loin la définition d’indicateurs pertinents de processus, pour 24,5 % des sondés. La fonction Qualité évolue vers une vision plus holistique, et nécessite des compétences de plus en plus liées au savoir-être. Les Directions font confiance aux responsables Qualité pour leur contribution à l’intégration des systèmes et à la fédération des collaborateurs. L’approche transverse est désormais indissociable de la fonction Qualité qui traite avec de nombreux interlocuteurs (opérateurs terrain, RH, experts financiers…), à réunir les énergies et à mixer les compétences. L’aspect savoir-être (relationnel, ouverture…) sera donc de plus en plus dominant pour le Manager Qualité. En 2022, seulement 4,2 % des professionnels du métier notent un déficit de ressource financière contre 19 % en 2018, et seuls 3,7 % manquent d’outils adaptés contre 18 % en 2018. En 2022, 34 % d’entre eux situent leur budget annuel entre 10 et 50 K€ tandis qu’en 2016, ils le situaient plutôt à 10 K€. Trois tendances pour l’avenir Même si un intérêt grandissant se manifeste pour la démarche Qualité, la corrélation avec la stratégie des organisations reste à renforcer (lien entre équipe et Direction). Comment la Qualité peut-elle intervenir en amont de la définition de la stratégie (écoute des parties prenantes, analyse préventive…) ? Comment la fonction Qualité peut-elle ensuite aider à son déploiement (suivi des résultats, amélioration continue…) ? Par ailleurs, la valeur ajoutée de la qualité doit être associée davantage à des réalisations opérationnelles : atteinte des objectifs, bonification de la performance, impact de l’utilisation des méthodes et outils. La performance est désormais une attente. Il faut avoir une vision complète et intégrée, au service des clients et des différentes parties prenantes. Elle ne doit pas être seulement en termes de tableau de bord mais aussi de management, de pilotage et d’animation du suivi des résultats. De plus, les organisations vont aussi compter sur l’équipe Qualité pour que la logique processus soit déclinée dans toute l’entreprise, avec la performance globale en ligne de mire. Les réponses en faveur de la synergie entre qualité et RSE connaissent une nette progression par rapport aux précédentes éditions de ce baromètre. Les responsables Qualité, pour autant qu’ils aient à assurer cette dimension, auront un important rôle d’éclairage et de soutien à jouer auprès de la Direction et des services RH. Ainsi, ils devront développer de nouvelles compétences sur les aspects très sociaux, qui participent de la RSE : QVT, bien-être au travail, engagement citoyen… Edouard Kodsi, Président de PYX4 déclare : « Cette enquête est née en 2015 du constat qu’il n’existait aucune étude des tendances de la qualité. Cette année, elle devient le « Baromètre de la Performance des Organisations » et s’enrichit de plusieurs nouveautés dont : l’ouverture de l’enquête à l’international (notamment au Canada) ; l’ajout d’une partie dédiée à la gestion des risques ; et surtout une co-analyse des résultats avec nos prestigieux partenaires France Qualité, le Mouvement Québécois de la Qualité et France Processus. Un partenariat qui a permis à l’enquête de prendre de l’envergure, avec un panel de plus de 600 participants cette année. Nous sommes fiers, grâce à ce baromètre, de donner à la qualité la place structurante qu’elle mérite au sein de la stratégie des entreprises. » Pierre Girault, Président de France Qualité ajoute : « Les lignes bougent, et elles bougent très vite ! À partir du moment, comme cela ressort dans le baromètre, où l’on considère la qualité comme le pivot des démarches de progrès et de maîtrise des risques, il faut se préparer dès aujourd’hui aux challenges de demain (notamment liés à la cybersécurité et à tel ou tel type de risque émergent). Si je devais adresser un message aux futurs professionnels de la qualité, je leur dirais d’avoir confiance en l’avenir car ils ont choisi une fonction porteuse, aussi bien en termes de contenu que d’emploi ! ». Le Baromètre peut être téléchargé sur ce lien |
Triple certification pour Still France
Still France a commencé à être certifiée ISO 9001 en juin 2019. Son système de management de qualité mis en place pour améliorer la satisfaction des clients a été reconnu en offrant des produits et services conformes, homogènes et reproductibles.
Puis en 2021, Still France s’est engagé dans la certification ISO 14001, qui reconnaît la démarche déployée par l’entreprise pour minimiser son impact environnemental, et l’ISO 45001, qui certifie son engagement pour le bien-être de ses collaborateurs à travers une amélioration continue des performances sécurité.
« Beaucoup de choses étaient déjà faites en interne, comme des achats de produits Ecolabel ou des audits sécurité auprès de nos techniciens, mais il a fallu les formaliser et produire de nouveaux documents tels que l’étude environnementale qui analyse nos impacts et l’actualisation de notre bilan carbone », explique Jocelyn Gourlet, Directeur Général de Still France.
« Nous n’étions pas en terrain inconnu car nos démarches internes sur les process et étapes 5S étaient déjà en place, mais nous les avons optimisées durant cette année de préparation », déclare Yannick Duhem, Directeur Régional Nord.
Conscientes de l’enjeu, les équipes se sont fortement impliquées pour produire des données, comme la comptabilité, les achats ou l’administration des ventes, ou pour mettre en place des actions d’amélioration.
« Tous nos collaborateurs se sont investis avec coeur. Nous n’avons jamais été inquiets sur l’issue du projet car nos équipes ont un attachement particulier à l’entreprise et à sa culture », note Yannick Duhem.
L’équipe Qualité-Santé-Sécurité-Environnement (QSSE) s’est donc déplacée dans le Réseau afin d’effectuer des audits internes puis identifier avec les agences comment atteindre les exigences des normes ISO, sur des sujets comme le rangement de l’atelier ou le suivi administratif des habilitations et formations des techniciens…Car selon Jocelyn Gourlet, « on peut rédiger toutes les procédures que l’on veut, si l’on n’embarque pas le terrain, elles ne seront pas appliquées sur la durée ».
Des bénéfices concrets pour les clients
Pour les clients, cette triple certification est l’assurance d’une qualité de service homogène sur l’ensemble du Réseau national, d’une maitrise des risques et d’une démarche éco-responsable. « De la livraison à la maintenance des chariots, en passant par les devis et la facturation, nos clients peuvent compter sur des procédures claires, efficaces, sûres et tournées vers leur satisfaction » conclut Jocelyn Gourlet.
Apizee au salon VivaTech 2022
Fondée en 2013, Apizee est un fournisseur CPaaS (Communication Plateform as a Service) de communication vidéo temps-réel web, sur tout type de terminaux mobiles, sans installation pour les applications métiers et basées sur la technologie WebRTC. Parmi les 150 clients entreprises en France et à l’international utilisant des solutions et API d’Apizee, figurent Safran Aircraft Engines, Groupe Atlantic, le Crédit Agricole, la Caisse d’Epargne, Enedis, Eurexo, le GCS E-santé Bretagne et de plusieurs intégrateurs et éditeurs d’applications métiers.
Et vous, comment voyez-vous la Nouvelle Qualité de demain ?
La « Nouvelle Qualité » serait si prégnante que nombre d’acteurs au sein des organisations feraient de la qualité sans s’en rendre compte ; Une nouvelle qualité qui ne dit pas son nom, bien présente, et tournée vers l’expérience des parties prenantes, touchant aux fonctions connexes comme la RSE ou même la cybersécurité. Comment les acteurs socio-économiques l’appréhendent-ils aujourd’hui pour mieux se l’approprier dans dix ans et nourrir la confiance dans leur marque ? Donnez-nous votre point de vue ! Le groupe Afnor vous invite à partager votre vision de « la Nouvelle Qualité » dans le cadre d’une grande étude internationale menée avec l’institut BVA, qui sera close le 1er juillet 2022. Vous faites partie d’une start-up, d’un grand groupe, d’une petite entreprise, d’une collectivité ? Prenez 15 minutes en cliquant sur ce lien. Vous aurez accès aux résultats en fin d’année.