Ivalua rejoint le Pacte Mondial des Nations Unies

Ivalua, le spécialiste international sur le marché des solutions de gestion des dépenses dans le cloud, annonce avoir rejoint le Pacte mondial des Nations Unies. De plus, une étude dévoile que moins d'un quart des entreprises européennes contrôlent les émissions de carbone de leurs fournisseurs.
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Etude Ivalua

En devenant partie prenante du Pacte mondial des Nations Unies, Ivalua inscrit ses valeurs dans un cadre complet et exploitable au sein de sa stratégie métier. De plus, il alignera ses axes opérationnel et stratégique avec les dix principes des Nations Unies relatifs aux droits de la personne, à la gestion de la main-d’oeuvre, aux pratiques environnementales et à la lutte contre la corruption. En outre, Ivalua souhaite oeuvrer stratégiquement en faveur de progrès sociétaux plus vastes sous-tendus par les objectifs de développement durable des Nations Unies, en plaçant l’accent sur la collaboration et l’innovation.
« Chez Ivalua, nous nous efforçons d’avoir un impact socio-économique positif, non seulement à travers notre coeur de métier, mais aussi à travers notre façon de travailler : ce sont pour nous deux approches interconnectées. Au sein du Pacte mondial des Nations Unies, Ivalua appuiera sa stratégie ESG sur un cadre de travail éprouvé. À mesure que nous renforcerons notre plateforme mondiale de développement durable, nous pourrons déployer nos solutions de gestion des dépenses auprès de certaines des plus grandes marques internationales et apporter ainsi une contribution hautement significative. Notre comportement en matière de dépenses a son importance, et nous nous engageons collectivement en faveur d’une croissance viable à long terme. », affirme David Khuat-Duy, fondateur et PDG d’Ivalua.

Par ailleurs, selon une étude d’Ivalua, très peu de fournisseurs européens font l’objet d’évaluations régulières de leurs pratiques en faveur de la durabilité. Moins d’un quart d’entre eux (24%) sont soumis à des mesures fréquentes de leurs émissions de carbone. L’étude révèle aussi que la plupart des entreprises ne communiquent pas à l’échelle de toute la chaîne d’approvisionnement afin d’inciter les initiatives écologiques. À peine un fournisseur sur 10 (10%) déclare que les entreprises incluent systématiquement des clauses relatives au développement durable dans les contrats et les accords. L’étude effectuée par Coleman Parkes, a interrogé des fournisseurs situés en France, au Royaume-Uni, en Allemagne et en Suisse. Elle a enquêté comment la collaboration peut renforcer les actions en faveur de l’environnement. L’étude note aussi qu’il est nécessaire d’agir davantage dans toute la chaîne d’approvisionnement afin d’évaluer et mesurer régulièrement la crédibilité écologique. En effet, seul un petit pourcentage de fournisseurs déclare que les entreprises leur appliquent systématiquement des mesures d’évaluation en fonction de critères environnementaux comme la pollution de l’air (22%), la pollution de l’eau (21%) et la déforestation (20%).

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Valérie Brenugat
J’ai toujours eu le goût des sciences et de la communication notamment écrite. C’est pour cette raison que j’avais choisi de faire des études de sciences et de communication. Puis une vingtaine d’années d’expériences dans les médias, l’industrie et les organismes de recherche m’ont permis de devenir la rédactrice en chef des revues Maintenance & Entreprise et Qualité Références.
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